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Régulation et fonctionnement de l'appareil reproducteur chez l'homme

Publié le 26/04/2012

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Comme chez l’homme, l’activité ovarienne est stimulée par les gonadostimulines hypophysaires FSH et LH (elles-mêmes sécrétées sous l’action de la GnRH) ; cependant les hormones ovariennes exercent un rétrocontrôle généralement négatif sur le système de commande. Toutefois, ceci évolue au cours du temps :

Le cycle ovarien se met en place à partir de la puberté sous l'effet du complexe hypothalamo-hypophysaire. La sécrétion pulsative de GnRH stimule la libération de FSH (croissance des follicules) et de LH (responsable de l'ovulation et de la transformation du follicule en corps jaune).

La sécrétion est cyclique car il y a un rétrocontrôle négatif des oestrogènes à faible concentration sur le complexe hypothalamo-hypophysaire et il y a une rétroaction positive des oestrogènes à forte concentration, responsable du pic de LH et de FSH. Il y a enfin un rétrocontrôle négatif des oestrogènes, car comme le corps jaune diminue, la concentration des hormones ovariennes diminue, c'est pour cela qu'il y a un rétrocontrôle négatif.

« 2 : Le système réglant comprenant les capteurs qui détectent les variations du paramètre réglé (la testostéronémie), le centre intégrateur qui intègre ces variations et répond grâce à un système de transmission qui véhicule les messages jusqu’aux effecteurs qui répondent en ramenant la valeur du paramètre à sa valeur de référence. Les cellules du complexe hypothalamo-hypophysaire constituent les capteurs et les centres intégrateurs de cette régulation. Le système réglant est composé de 3 niveaux de contrôle : L’hypothalamus : 1 erniveau de contrôle : sécrétion de la GnRH L’hypophyse antérieure : 2 ème niveau de contrôle La GnRH va stimuler l’hypophyse antérieure : il va y avoir une sécrétion d’hormones gonadostimulines : la FSH et la LH qui contrôlent le fonctionnement testiculaire. Le taux de testostérone :3 ème niveau de contrôle Lorsque le taux de testostérone sera en trop grande quantité, elle freinera la production de GnRH et donc de LH et de FSH. Ceci constitue le rétrocontrôle négatif qui ajuste la testostéronémie aurour d'une valeur stable.. »

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