mémoire à court terme

« et une composante active, qui retient l’info dynamique sur le mouvement est la disposition des objets dans l’espace.

Ce module permet de conserver une forme visuelle suffisamment longtemps en mémoire pour pouvoir par ex l’explorer mentalement, la faire « tourner dans sa tête ».

Ces deux types de traitements sont caractérisés et mesuré au moyen de tests spécifiques couramment employés en psychologie cognitive et neuropsychologie. 3ème composantes : tampon ou dépôt épisodique, dépôt temporaire dans lequel des infos de plusieurs source peuvent être intégrer.

L’administrateur central le contrôle ; il est responsable du liage d’infos disparaitre en un événement cohérent qu’il peut récupérer pour les rendre conscient ou pour les traitées et les modifier.

Il peut modifier le contenu du dépôt épisodique en dirigeant l’attention sur une source particulière d’info, que celle-ci vienne de la périphérie sensorielle ou d’une autre composante de la mémoire de travail, ou même extraite de la MLT.

De la sorte, le dépôt épisodique peut créer de nouvelles représentations de l’environnement, ce qui ne manque pas de faciliter la résolution de certains problèmes cognitif.

Ce dépôt est appelée épisodique pck il conserve des événements qui ne sot autres que des agrégats d’info reliée dans l’espace et étendus dans le temps, alors que les deux autres composantes esclaves , la boucle phonologique et le bloc notes visuel, ne gardent que des items simples , des chiffres, des lettres des mots des figures des positions dans l’espace.

Il ne faut pas confondre ce dépôt épisodique avec la mémoire épisodique.

La mémoire épisodique est une forme de MLT, alors que le dépôt épisodique et à court terme et qu’il est présenter chez des patients amnésique dont la MLT est sévèrement touchée. La consolidation Après que l’info à mémoriser a été enregistré, un processus neural entre en jeu pour l’entreposer de façon permanente.

Ce processus appelle consolidation, est révéler par l’amnésie rétrograde (AR) qui montre en effet que ce qui est appris n’est pas instantanément fixé de façon permanente, que ce qui a été acquis dans une certaine période précédent la lésion est perdu.

On avait encore remarqué depuis longtemps qu’une info fraichement apprise pouvait être effacé par une plus récente encore, ce qui suggère que le processus présidant aux mémoires nouvellement apprise s restes fragile pendant un moment. »