La dangerosité du cannabis
Publié le 24/06/2024
Extrait du document
«
Le cannabis est la drogue la plus consommée en France.
Cette drogue est
redoutable car elles développent une addiction et sa consommation peut s’avérer
dangereuse pour la personne qui consomme et les personnes qui l’entourent.
On
cherche donc a expliquer comment le cannabis perturbe le fonctionnement
cérébral et peut mener à l’addiction.
Premièrement, Le document 1 nous renseigne sur les critères qui font
qu’un homme souffre d’addiction : besoins irrépressibles de consommer,
beaucoup de temps consacré à la recherche des substances, augmentation de la
tolérance à la substance addictif, syndrome de sevrage, usage en tout temps
(même lorsqu’il y a un risque), activités réduites pour consommer ou poursuite
de la consommation volontaire malgré les dégâts physiques ou psychologiques.
On sait que lorsqu’un individu présente au moins deux de ces critères, alors il est
considéré comme étant addict.
Par ailleurs, le document 2 qui est une affiche de prévention routière contre la
consommation de cannabis nous apprends que lorsqu’un conducteur consomme
du cannabis le risque d’accident mortel est multiplié par 2 tandis que lorsqu’il
consomme du cannabis ET de l’alcool, le risque d’accident est multiplié par 15.
Cela est dû au fait qu’il y a une plus grande chance de perte de contrôle, des
réflexes ralentis et une diminution drastique de la vigilance.
On peut donc en
déduire que même si le cannabis reste dangereux à la consommation, lorsqu’il
est combiné à une autre substance addictif les conséquences sont beaucoup plus
larges et amplifiés.
Ensuite, le document 3 et 4 montre les résultats d’une enquête issue d’une
étude réalisée en 2011 auprès de 8000 jeunes ayant consommée du cannabis au
cours des 12 derniers mois et un témoignage d’une personne étant devenu
addict au cannabis.
L’étude nous montre les différents risques liés à la
consommation de cannabis : cela passe d’une tentative en vain d’arrêt de
consommation de cannabis (6% de jeune ayant déclaré avoir fumé), des
problèmes de mémoire en fumant du cannabis (5%) et des problèmes liés à
cause de la consommation (5%).
Cela nous montre donc que les conséquences
du cannabis ne dépendent pas que d’une personne mais qu’elle est réelle pour
tous.
Le témoignage nous parle quand à lui des conséquences sociales de la
consommation liée au cannabis : démotivation, absence scolaire, relation familial
très tendue, sauts d’humeurs et manque de confiance.
(transition stp)
Deuxièmement, le document 5 va nous présenter deux molécules : le THC
et l’anandamide.
Je peux voir une certaine correspondance/similarité aux niveaux
de certains zone moléculaire (entourée en rouge et bleu sur la capture d’écran)
et certaines zones de groupements permettant la fixation de ces molécules sur
leur récepteur lors de l’étude du structure moléculaire des 2 molécules cités
précédemment :
Titre : Observation des similarités qu’on a pû déterminer sur le document 5
présentant les structures moléculaires du THC et de l’anandamide.
Le document nous
informe tout d’abord que
le THC est un
cannabinoïde, un molécule exogène et qui n’est pas présent naturellement dans
notre corps (seulement par consommation de plante de cannabis) et que
l’anandamide est une molécule endogène (donc produit à l’intérieur de notre
organisme), présent de manière naturelle dans notre cerveau et qui peut jouer le
rôle de neurotransmetteur en se fixant sur les récepteurs synaptiques : les
« récepteurs aux cannabinoïdes ».
On peut donc en déduire que l’anandamide
est lui aussi un cannabinoïde.
Je vois aussi sur le document 6 que l’anandamide
est bien fixé sur un récepteur aux cannabinoïdes qui sont eux présents un peu
partout dans le cerveau.
Cela me permet donc d’en déduire de manière global
que la similarité de certaines zones moléculaires et de certaines zones de
groupements permettant la fixation de ces molécules aux récepteurs concernés
nous instruit sur la possibilité du THC à pouvoir se positionner sur le même
emplacement que l’anandamine.
Troisièmement, le document 7 qui est un tableau de comparaison de
quelques caractéristiques des molécules de THC et d’anandamide nous instruit
maintenant sur les « différences » entre ces 2 molécules.
En effet, l’anadamide à
un temps de demi-vie de quelques minutes seulement tandis que le THC à un
temps de demi-vie de 25 à 36 heures dans l’organisme (ce qui est très très
considérable).
On remarque aussi que la quantité d’anadamide est très minime
dans le cerveau, à telle point qu’elle n’est pas mesurable tandis que pour la THC,
on mesure environ 225 ng/ml seulement pour une dose ingérée de THC de 10
mg/kg.
Enfin, on note que le THC a une affinité ligand/récepteur beaucoup plus
forte que l’anandamide car il a une constante d’affinité (pour récepteurs
cannabinoïdes) de seulement 40 à 80 nmol/L tandis que pour l’anandamine la
constante est de 60 à 550 nmol/L.
Je sais que plus la constante d’affinité est
faible est plus l’affinité ligand/récepteur est forte.
Le document qui nous
permettrait de déduire de manière correcte et plus simple les effets des
différences soulignés au sein des mêmes caractéristiques entre les 2 molécules
cannabinoïdes c’est le document 8.
Ce document nous présente un schéma du circuit de la récompense.
On....
»
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