Allostérie

« 4 En pariant d'un nombre relativement f.aible de principes, on a pu élaborer une théorie de l'aJiostérle qui rend compte des effets ob'servés et qui se trouve confirmée dans ses prévisions.

Les principes choisis comme base à la théorie énoncent des propriétés générales sur la struc­ ture des protéines allostériques.

Gelles-C'i seraient compo­ sées de pfuiHeurs unités ldenttques, l'ensemble possédant un axe de symétrie.

5 Un principe remarquable mis en lumière par la théorie est la conservation de la symétrie moléculaire au cours des transformations (transitions allostériques) subies par la protéme.

Les équations dérivées de la théorie contien­ nent oofles de l'enzymologie c:Nlssique au titre de cas partlcufter.

6 Des considérations d'ordre conservatif et structurel préconisées par la théorie découlent de façon rigoureuse les propriétés remarquable's des systèmes allostériques.

Notamment l'existence, pour ces protéines, de seuils de concentration en su·bstanoes allostériques au-delà des­ quels elles sont activées ou rnhibées d'une manière significative.

La protéine al.lœtérique foncfionnerai ·t comme un mfcro-ordlnateur, capab:le d'· intégr.er plusieu· ns signaux simultanés (inhibiteur, activateur, substrat) et de fournir, en amplificateur, les réponses appropriées (action adaptée aux besoins cellulai·res) .. »