lutte (sport) - sport.
Publié le 25/05/2013
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règlement spécifique.
La FILA est également responsable de la tenue des compétitions lors des jeux Olympiques, et organise les Championnats du monde de lutte gréco-romaine depuis 1950 et de lutte libre depuis 1951.
3 ÉLÉMENTS DE PRATIQUE ET RÈGLES DE COMPÉTITION
La lutte libre et la lutte gréco-romaine disposent de règles de compétition très proches, la seule différence résidant dans les types de saisies et de prises autorisées, lessaisies aux jambes étant interdites en lutte gréco-romaine.
3.1 L’organisation de la compétition
Les deux styles de lutte font l’objet de compétitions organisées selon des catégories de poids contrôlées la veille de la compétition.
Les catégories seniors hommes sont : - 54 kg (mais plus de 48 kg), - 58 kg, - 63 kg, - 69 kg, - 76 kg, - 85 kg, - 97 kg, + 97 kg (mais moins de 130 kg).
Les catégories seniors femmes sont : - 46 kg (mais plusde 41 kg), - 51 kg, - 56 kg, - 62 kg, - 68 kg, + 68 kg (mais moins de 75 kg).
Le temps de combat est de deux périodes de 3 minutes avec une pause de 30 secondes pourles seniors masculins et féminins, suivies d’une éventuelle prolongation de 3 minutes.
La surface de compétition, un cercle de 9 m de diamètre, est constituée d'un tapisdont les qualités sont définies par la FILA.
La tenue des lutteurs est un maillot ajusté de couleur bleue ou rouge, qui peut couvrir l'ensemble du corps en lutte gréco-romaine et doit s'arrêter à mi-cuisse en lutte libre.Les lutteurs portent également des chaussures de lutte et un protège-oreilles, facultatif pour les seniors masculins.
Trois personnes se partagent la responsabilité de l'arbitrage : un arbitre, un juge qui confirme ou conteste la décision de l'arbitre et inscrit le score, et un chef de tapis quiveille à la bonne tenue du combat et n’intervient dans les décisions qu'en cas de litige entre l’arbitre et le juge.
3.2 Le combat
Les lutteurs commencent la rencontre debout, mais celle-ci peut se poursuivre à terre.
Le combat peut être arrêté avant la fin du temps réglementaire en cas d’obtentiond’un « tombé », d’une supériorité technique évidente (différence de 10 points entre les deux combattants), ou en cas de disqualification, d’abandon, de blessure ou deforfait de l'adversaire.
En cas de déroulement normal, la victoire finale revient au lutteur qui a marqué le plus de points (au moins trois) pendant le temps réglementaire oula prolongation.
En cas d’égalité ou de résultat inférieur à trois points à la fin de la prolongation, c’est l’arbitre qui désigne le vainqueur.
Est considéré comme « tombé » le lutteur maintenu par son adversaire les deux épaules au sol pendant une durée suffisante pour permettre à l'arbitre de constater lecontrôle total.
Pour que le tombé soit reconnu comme valable, l’arbitre doit obtenir l’accord du juge et / ou du chef de tapis.
Pour toutes les autres actions ne se soldant paspar un tombé, le lutteur se voit attribuer un, deux, trois ou cinq points, en fonction de l’amplitude de sa technique et de la mise en danger de l’adversaire qui en résulte.
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