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Femme dans le sport d'homme

Publié le 19/10/2011

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 En 1896 aux premiers jeux olympiques modernes, le baron Pierre de Coubertin, fondateur des jeux, considère que les femmes devaient se limiter à applaudir les athlètes masculins. Plus d'un siècle plus tard, la situation a radicalement changer. En effet, la position de la femme dans la société a évolué, et a conduit la femme au quasi même niveau que l'homme. Elles sont devenues des actrices essentielle du sport mondial. Pour une grande partie d'entre elles ce sont les sport de l'esthétique ou encore de la forme qui les intérressent. En effet on retrouve les femmes dans les pratiques sportives dites «  gracieuses « comme la danse ou la gym où l'on cherche plutôt le coté esthétique, l'on se maquille et les tenues sont très importante. Néanmoins il existe une part des femmes qui pratiquent des sports plutôt « masculins . Cette situation est paradoxale car les valeurs des sport « de femmes « sont à l'opposé des sport dit «  masculin «. Ainsi pour les femmes qui pratiquent de tels sport , il y a un phénomène de dispositions « inversées «. C'est a dire qu'elles se retrouvent, et se sentent à l'aise plutôt dans les sports d'hommes. Dans cette mesure, on peut se demander qu'elles est l'origine de cette socialisation «  inversée « et l'impact qu'elle aura dans le domaine du sport. De même, si l'investissement des femmes dans le domaine « masculin « du sport, est considérée comme naturel .

« les pratiques dites « masculines » et ce surement ce qui le différence le plus de la pratique féminine.

Ainsi lesfemmes qui pratiquent des sport masculins ne semble pas avoir les mêmes logiques.

C'est Christine Mennesson quiest sociologue, maître de conférence habilitée à diriger des recherches au laboratoire Elle a réalisé sa thèse sur lesmodes de socialisation des femmes dans des sports dits masculins (football, boxe et haltérophilie).

Dans « Hardwomen and « soft » women » , Mennesson s'attache à analyser la construction de l'identité des femmes investiesdans des « sports masculins ».

En effet, l'auteur propose un modèle combinant la théorie de l'habitus de PierreBourdieu, c'est a dire ceux qui est incorporé dès l'enfance et comment ces actions passées jouent dans laconstruction des actions présente et de la socialisation secondaire.

Ainsi c'est femmes doivent répondre a deux« contraintes : Maitriser une gestualité sportive « masculine » , tout en démontrant leur appartenance à lacatégorie « femme ».

Pour démontrer ses propos , elle a suivie pendant deux ans, l'entrainement de plusieurscentres de boxe avec douze boxeuses et leur coaches. Pour qu'une fille pratique une activité quelle soit masculine ou féminines il faut avoir un plaisir.

C'est souvent l'enviequi nous pousse a pratiquer un sport par exemple.

Mais pour les femmes qui pratiquent des sports masculins , il y aforcément des envies différentes que des femmes qui pratiquent des sport clairement féminins.

C'est au cour de lasocialisation primaire que l'on explique ces dispositions sexués leur permettant d'éprouver une certaine « appétencepour des activités qui ne leur étaient pas socialement destinées » .

Ainsi lors de l'enfance le rôle de socialisation denos parents est immense.

Dans le cas des femmes qui ont un penchant pour les pratique d'hommes, ce sont souventl'influence de leurs pères, ou plus rarement de leurs frères.

Par exemple , si notre père est un joueur de foot , et unfan de cette pratique on sera forcément pousser dans se domaine dès notre plus jeunes ages.

On va donc assimilerse monde du foot et il nous semblera normal.

Nous serons familiariser avec ses modes de sociabilité.

Ce cas estfréquents , pour une famille qui comprends que des filles Dans ce cas, le père qui n'aura pas de garcons auratendance considérée une des fille comme un « garcons manquant » en la ramenant au foot par exemple.

Il va doncrépondre en quelques sorte aux attentes décues car il n'as pas eu de garcons .

De plus, il y a aussi socialisation ausein du groupe des pairs masculins, comme le fréres , le cousins ou encore les copains .

C'est filles ou femmesauront le goût des sport masculins car il auront evoluer dans se domaine durant toute leurs enfances et cela vas'accompagner d'un dénigrement du féminin.

La socialisation au sein de personnes masculines va donc engendrer desdispositions sexuées que l'on peut qualifiées « d'inversées » et donc donner le goût et les moyens au femmes depratiquer des sport masculins . Dans ces pratiques masculines, les femmes font ressortir plus au moins leur coté féminin selon le contexte, lasituation.

En effet, une étude mené par Roussel sur « le corps féminin culturiste » en 2000 montre que l'apparencephysique des femmes culturistes n'est pas un simple troc de répéres féminins contre d'autres masculins.

Il ne s'agitpas d'une pure pérmutation des normes esthétiques.

En effet , les seins silliconés et le maquillage abondant sont parexemple des moyens pour contre balancer la virilisation des muscles .

Dans le football , la joueuse est durant lasocialisation secondaire diriger vers une pratique où elle fais ressortir une son coté féminin ; Dans le cas contraire,la femme va totalement négliger son coté féminin pour se consacrer totalement au masculin. Durant la classe secondaire on va reprodruire ce que l’on a appris durant notre enfance avec quelques petites différences.Ainsi laféminisation que nous alons faire dans les sport "masculin" depends plus ou moins de notre vécus.

Exemple de laboxeuse qui est devnue meuf grace a son . La pratique sportive, que ce soit pour les hommes ou les femmes permet d'affirmer son caractère, de ce forger unopinion, de ce débrouiller face aux situations de la vie ou encore de former son corps.

En revanche, n'est ce pas lesvaleurs traditionnels de l'homme même ? C'est bien là, où la question de la féminité de certaines sportives est remisen cause.

Ainsi, les débats dans les affaires des années 60 incarnent bien ce problème de « trop de virilité » desfemmes.

Ainsi l'on a mis en place le test de féminité dans les compétitions officiels sous la suspicion de la prised'hormones mâles des athlètes féminins.

Ce sont des femmes qui ont complétement oublier leur coté féminin est quisont quasiment des « hommes » du a la prise d'hormones masculin qui transforme le corps, comme par exemple de lamoustache.

Le problème de l'homosexualité des sportives fait aussi l'objet de scandale.

Par exemple, Mauresmo est-elle une vrai femme? La pratiquante de natation synchronisée comme la danseuse représente le« modèle » de lafemme sportive.

Ainsi lorsque que l'on voit une femme pratiquer un sport plutôt masculin et qu'elle ne rentre pasdans les critères esthétiques elle est souvent montrer du doigt car elle ne peut échapper aux critiques.

Le sportforme les femmes idéales, censé être belle pour séduire, alors lorsque celle-ci rentre dans le domaine du virils ellessont logiquement mise à nue.

Il faut d'apres beaucoups de personne que le sport reste féminin à travers les femmessouriante, gracieuse même pendant l'effort.

En effet, l'image de Florence Griffith Joyner remportant 100 mètres. »

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