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l'élitisme a l'école

Publié le 07/12/2022

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« Philosophie : L’OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques) a publié sa dernière enquête sur les acquis des élèves, le PISA, un programme qui analyse le niveau scolaire des jeunes de 15 ans dans le monde le 3 décembre 2021.

La France se situe dans la moyenne 6300 élèves ont été interrogés.

Ils ont obtenu des résultats légèrement supérieurs à la moyenne en mathématiques et en sciences.

Mais c’est le pays où les inégalités sont les plus fortes avec une différence de 107 points entre les élèves issus d’un milieu favorisé et ceux issus d’un milieu défavorisé.

Cette différence est nettement supérieure à celle observée en moyenne dans les pays de l’OCDE (89 points).

Au cœur du problème se trouve la nature élitiste du système éducatif dans son ensemble avec L’argument de la méritocratie individuelle qui cherche à nous convaincre que l’accès aux élites ne serait qu’affaire de travail et de volonté, voire de don ou de potentialités.Ce qui n’est pas réellement le cas. L'élitisme en France est l'attitude favorisant la formation d'une élite et l'accession des individus jugés comme étant les meilleurs aux postes de pouvoir, en France.

Nous allons alors nous demande en quoi l’école en France est elle élitiste ? Dans un premiers temps nous allons voir sa hiérarchie rigide et son aboutissement dans les grandes écoles et dans un second temps le cercle vicieux de l'échec et l'aide boiteuse de l'éducation face a cela Du collège aux très grandes écoles, les parcours scolaires des élèves se caractérisent par l’élimination progressive des enfants des catégories populaires, essentiellement les enfants d’employés, d’ouvriers et d’inactifs.

Si ce phénomène d’élimination est présent dans tous les systèmes scolaires, il est particulièrement marqué pour l’école française.

Dégager une liste est nécessaire.E cela peut commencer dés le lycée.

En effet le taux d'accès en seconde générale ou technologique est deux fois plus élevé pour les élèves d'origine favorisée (84,8 % contre 42,4 %) une grande division des classes que fait son apparition avec les lycées professionnels ou la plupart sont issus de milieux défavorisés et les lycées privés ou à peu près tous les élèves sont issus de milieux favorisée.

Ensuite dans les lycées général on voit apparaître les filières qui selon ce que l’on prend peu ou pas peut nous mettre des barrières aux futurs grandes écoles dans lequel on postule en l’occurrence si on ne prend pas comme spécialité les mathématiques toutes les grandes écoles nous seront refusés dans la plupart et c’est pour cela que les mathématiques demeure la spécialité la plus choisie par les élèves d’origine aisée exemple vivant du poids de l'élitisme dans les mentalités Puis viens l’accès aux grandes écoles fréquenter essentiellement par les élèves issue de milieux favorisés car il faut pour y entrer avoir les moyens financier ou alors passer par un concours sauf dans les cas des filières telle que le droit ou la médecine.

Le fossé se creuse encore dans l'enseignement supérieur : les enfants de cadres supérieurs sont 2,9 fois plus nombreux que les enfants d'ouvriers parmi les étudiants alors qu'ils sont presque deux fois moins nombreux dans la population totale.

Sur les bancs de l'université, le tri social continue de progresser.

Les enfants d'ouvriers composent 13 % des étudiants en licence, qui ne sont plus que 9 % en master; et 7 % en doctorat.

les recrues des grandes écoles prestigieuses sont à plus de 60% issus de familles de cadres.... »

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