Herbert Marcuse: L’homme unidimensionnel (fiche de lecture)

« __________________________________________________________________________________ FICHE LECTURE __________________________________________________________________________________ Herbert Marcuse est un philosophe et sociologue allemand appartenant aux membres de l’Ecole de Francfort.

Il partage dans ces écrits une pensée marxisme.

Dans son livre, L’homme unidimensionnel est un essai avec pour sous-titre Essai sur l'idéologie de la société industrielle avancée, publié en anglais en 1964 aux États-Unis puis, traduit de l'anglais par Monique Wittig et l'auteur en français, en 1968 en France en 1968 dans Les Éditions de Minuits. Dans L'Homme unidimensionnel, Marcuse propose une critique du monde moderne qui parle à la fois du capitalisme et du communisme soviétique.

Celui-ci est basée sur le constat, dans les deux blocs opposés lors de la guerre froide avec des augmentations sur des formes de répression sociale (d'ordre privé ou public). Nous allons nous intéresser à l’un de ces chapitres s’intitulant « Les formes nouvelles de contrôle ».

En ayant comme problématique les suivantes : En quoi l’idéologie Libéralisme des États Unis produit des changements sur les nouvelles formes de contrôles chez les différentes idéologies ? Comment parviennent-ils à les mettre en place ? Dans les pays ayant une pensée marxiste, la société est centrée sur une idéologie du commun autrement appelé le communisme (l’Union des républiques socialistes soviétiques).

Pour Marcuse, la bureaucratisation correspond au mode de fonctionnent de travail au sein des sociétés communistes.

A contrario, celle-ci diffère du côté des pays libéraliste. On trouve l'idée que le capitalisme constitue un crime contre l'humanité.

Marcuse a des sympathies pour l'union soviétique qu'il considère beaucoup.

Il refuse que l'Union soviétique soit assimilé au totalitarisme.

Marcuse précise sur le fait que : « si tous ne vont pas bien dans l'union soviétiques c'est la faute des Etats Unis donc au capitalisme ».

C'est la faute du capitalisme qui impose une loi à laquelle le marxisme doit se plier puisqu'il ne partage pas les mêmes idées au sein des sociétés.

L'union soviétique cherche à garder sont communisme tandis que les Etats Unis tend vers une vision libéraliste et capitaliste des populations.

Il compare les systèmes autoritaires et non autoritaires.

Il voit le libéralisme des Américains comme un régime autoritaire qui serait construit au sein d’une « société industrielle avancée ».

De plus, il voit le communisme, comme un régime harmonieux dans lequel les individus partagent tous en ayant une conception du commun. L’auteur s’interroge sur les différentes organisations mises en place par l’Etat et ces entreprises basées sur le machinisme si elle serait que physique ? Cette dernière est souvent appréciée par ces salariés qui ont une relation d’interdépendance avec elle.

Cette interdépendance est produite lors du fonctionnement de la machine et ce cette échange construit (au travail).

Pour les gouvernements de sociétés industrielle avancée, la machine est une puissance politique efficace : « la puissance de la machine est essentiellement la puissance de l’homme accumulée et projetée ».

Elle permet de créer une véritable liberté illusoire pour le salarié.

Les processus technologiques de mécanisation et d’uniformisation crée une individualisation au sein de la société.

Au sein des métiers, les salariés sont imposés par des machines dites pour les aider au travail, crée un caractère aliénant.

Cette aliénation produit une meilleure organisation et une certaine autonomie qui se centralise sur le contrôle individuel.

La « société industrielle avancée » crée des besoins illusoires qui permettent d’intégrer les individus au système de production et de consommation par, de la publicité et de la morale.

Les conséquences sont d’écarter les pensées et les comportements des individus (éviter toute sortes de résistance).

On peut trouver à cela des termes négatifs, cette.... »