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Une ville disparaît - Chine, 28 juillet 1976 (catastrophe naturelle)

Publié le 15/03/2012

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'Une des plus importantes catastrophes de l'histoire de l'humanité', c'est ainsi qu'un fonctionnaire gouvernemental chinois caractérisait l'épouvantable tremblement de terre qui, le 28 juillet 1976, a causé, dans la ville de T'ang-Shan, la mort d'un nombre de personnes tenu secret, mais qu'on évalue à 750 000. T'ang-Shan n'existe plus. Quand elle existait encore, c'était une ville située au coeur d'une région très peuplée de la Chine, à 125 km à l'est-sud-est de Pékin. Bien que les Chinois aient compté quelques succès dans la prévision  des tremblements de terre, ce séisme survint dans une partie de la Chine qui n'était pas considérée comme ...

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« Ci-dessus et ci-dessous: Des soldats de l'armée chinoise viennent en aide aux survivants de la ville de T'ang-Shan pour dégager les ruines .

Le 28 juillet 1976, cette ville fut détruite par le plus important tremblement de terre jamais enregistré .

Cette catastrophe naturelle èausa la mort de plus de 655 000 personnes.

Les milliers de mineurs, qui travaillaient sous terre, furent ensevelis pour toujours sous les roches .

Les liaisons par chemin de fer avec la ville furent gravement endommagées.

Après la secousse, des effondrements s'étant produits, dans les mines, un train et un hôpital furent complètement engloutis.

A droite: Des habitants de Pékin passent provisoirement leurs journées en dehors de la ville, par crainte des séismes qui pourraient se produire après le tremblement de terre .

les travaux de sauvetage.' Lorsque Che revint à la maison, il v it que ses enfants étaient morts, mais il ne ressentit ni chagrin ni peine.

Il n'avait pas hésité, selon la conclusion du rapport, à sacrifier ses enfants aux intérêts de ses voisins .

· Des sources chinoises officieuses donnent un chiffre de 655 000 morts, bien que des données ultérieures aient ajouté 100 000 morts à ce chiffre.

Onze mois plus tard seulement, des journalistes étrangers furent autorisés à visiter la région dévastée.

Peter Griffiths, du 'Times' de Londres, écrivit: 'Lorsqu'on se rapproche de la ville, on aperçoit de nombreux ponts et villages reconstruits, des tombes fraîches, rangée après rangée, dans le style villageois, et de temps en temps un monticule de ruines dans les champs.

C'était là qu'il y avait une ville, qui comptait jadis plus d'un million et demi d'habitants.. »

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