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Sucre, chocolaterie, confiserie, industrie de la confiture, jus de fruits

Publié le 03/11/2011

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Les techniques modernes permettent d'obtenir, pour 100 kg de betteraves en cossettes, environ 115 kg de jus sucré et 100 kg de pulpe épuisée. Ces dernières sont séchées pour en assurer la conservation et sont restituées à l'agriculture pour l'alimentation du bétail. Elles contiennent encore entre 0,4 et 0,5 % de sucre, de la cellulose, de la pectine et des matières azotées. L'épuration des jus de diffusion comprend cinq opérations, car les jus sont noir-grisâtre et contiennent environ 13 à 14 % de sucre et de 2 à 3 % d'impuretés organiques et minérales qu'il faut éliminer par épuration et de l'eau qui sera chassée par évaporation.

« Sucrerie Son activité est limitée à la durée de la récolte de la betterave, environ trois mois en France, soit de fin septembre à Noël.

L'usine fonctionne jour et nuit en raison de la fragilité constitutive de la bet­ terave dont la richesse en sucre s'appauvrit avec le temps .

Pendant les autres mois de l'année, la sucrerie procède à l'entretien du matériel de fabrication et de transport et peut avoir des activités indus­ trielles diverses, comme la distillation de la mélasse, la fabrication de levures, d'engrais et de tourteaux.

La sucrerie reçoit les betteraves, les lave, tes épierre, les épaille et les pèse à l'état propre.

Les racines sont transférées dans des coupe­ racines à la sortie desquels on recueille les. »

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