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L'Exploration de l'espace

Publié le 20/09/2011

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Poser un homme sur la Lune était un défi d'envergure : au moment où le pari fut lancé, la conquête spatiale ne comptait à son actif que quelques satellites automatiques et une poignée de vols habités en orbite terrestre. Les Russes et les Américains développèrent chacun de leur côté une stratégie visant à acquérir l'expérience des vols de longue durée et des manoeuvres de rendezvous entre vaisseaux en orbite, indispensables pour les vols lunaires.

« nedy prit le monde à témoin en promettan t que le premier homme sur la Lune serait amér icai n , e t que le vol aurait lieu avant la fin des années soixante.

La course à la Lune Fbser un homm e sur la Lune éta it un déf i d'enver­ gure : au moment où le pari fut lancé, la conquête spatiale ne comptait à son actif que que lques sat e llites automatiques et une poignée de vols habités en orbite terrestre.

Les Russes et les Améri­ cains développèrent chacun de le ur côté une stratégie visant à acquérir l'expérience des vols de longue durée et des manœuvres de rendez­ vous entre vaisseaux en orbite, indispensables pour les vols lunaires.

En mars 1965, devançant à nouveau les Amé­ ricains, les Russes effectuaient une nouvelle «pre­ mière»: le cosmonaute A lexei Leonov quittai t sa cab ine Yoskhod 2 en orb ite terrestre pour devenir le premier «piéton » de l'espace .

Pendant dix minutes, Leonov flotta le long de son vaisseau, au bout d'un cordon omb il ical de cinq mètres.

Dans le domaine des sondes automatiques, les Russes marquèrent également des points: l eur vaisseau Luna 9 se posa en douceur sur la Lune en f évrier 1966 et envoya les premi ères images du sol sélène.

Quant à Luna 10, elle d evint la premiè­ re sonde à se satelliser autour de la Lun e.

Mais les Américains rattrapaient progr ess ivement leur retard: en 1966 et 1967 , ils posaient cinq sondes automatiques sur la Lune et sat e ll isaient quatre vaisseaux de reco nnaissance Lunar Orbiter, char­ gés de cartographier la Lune et de choisir les sites d'alunissage (prise de contact avec le sol) pour l es futurs vols Apollo.

En orbite terrestre, les Am éricains enchaî­ naient n euf missions pilotées Gemini, mettant au antenne directionnelle .

UN MODULE DE DESCENTE ARIANE 4 Les lanceurs Ariane développés par l'Agence spatiale européenne (ESA pour European Space Agency) ont rencontré un vif succès tech­ nologique et commercial: ils dominent le mar ­ ché international des lancements de satellites en orbite géostationnaire.

Le modèle Ariane-4, avec une poussée de 600 tonnes (ci. »

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