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Les aéroports et le contrôle du trafic aerien

Publié le 18/03/2012

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De 1920 à 1940, la plupart des lignes aériennes étaient desservies à partir de terrains en gazon pourvus d'équipements et d'installations rudimentaires. En partie à cause des dimensions réduites des terrains d'aviation, une proportion importante des plus grands avions de transport était des hydravions faisant escale, à l'instar des navires, dans des bases navales. Les plus grands aérodromes du monde allaient pourtant se développer pendant la Seconde Guerre mondiale et créer l'industrie aérienne moderne, utilisant des avions basés à terre. Ces avions nécessitent des pistes, recouvertes en dur, longues de 1,5 à 3,4 km environ. Jusqu'à l'aube de l'ère des avions à réaction, il était courant de prévoir trois pistes dans des axes différents pour permettre aux avions de décoller dans une direction proche de celle du vent.

« un système permettant de contrôler la vitesse de descente à l'approche de la piste et un mécanisme de correction permettant de compenser la composante latérale du vent.

Après 1980, 1 'ILS sous sa forme actuelle sera progressive­ ment remplacé par le MLS (Microwave Landing System ou système d'atterrissage à micro-ondes), dans lequel les faisceaux radio sont d'une autre nature et balaient le ciel A droite: Le radar météorologique d'un DC-9 est installé dans son nez.

'Voir et être vu', telle est la règle d'orde la sécurité dans l'aviation.

Ci-dessous : Le syst ème d'atterrissage à micro-ondes (MLS) permet à un ;!Vion d'atterrir dans un brouillard dense avec une précision de 60 cm sur une piste de 3 kilomètres.

terminal aérien Ci-dessus : Terminal aérien d'un aéroport (en bleu) et routes aériennes (en bleu clair) qui y aboutissent .

La circulation au sol et les décollages sont réglés suivant les instructions reçues du centre de contrôle .

de part en part.

Un des avantages du MLS tient au fait que l'avion ne sera plus astreint à suivre une longue finale d'approche rectiligne.

Le contrôle de la circulation aérienne est assuré par diffé-. »

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