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Le Réchauffement de la planète

Publié le 26/10/2011

Extrait du document

Sous l'impulsion des mouvements écologistes concernés par les problèmes résultant de l'effet de serre et des émanations de gaz industriel, la prise de conscience de la part des gouvernements s'est traduite par des mesures restrictives tant au niveau de la quantité de combustibles polluants consommés que de la qualité de leur traitement.

« Outre la s ituation dr am a tique due a u dioxy d e d e carbo ne, d'autres gaz contri b ue nt à l'é lé va tion d e la te mp é ra tur e: l' o xyd e nitriqu e (N20 ) émis par le s véhicules et l e di oxy de de soufr e (S0 2) prod uit par l es industri es lo rs de la combu stio n de pét role, d e gaz et d e c ha r bon.

Le mé than e (CH a est aussi un ga z à e ffe t d e ser re q ui connaît une hau sse n o ta ble da ns l'at­ mosphère te rrestre, cette fo is e n ra ison d e pro­ cess us natur els .

L e mé thane est cr éé d e f aço n mé ta b o liqu e pa r un certain nombr e de b actéries v ivant d ans les sols humid es et l es m ara is ainsi q ue dans l es sys tè m es diges tif s d 'anim aux supé­ rie ur s, p ar exe mpl e le s vac hes e t l es m o utons.

Cette contributi on involont air e du béta il à l'e ffe t de serre e st bie n r éelle e t sera it re spons able du doubl em e nt de la co ncentr a tion en m é than e dans l'atmosph è re a u cours du xx·· siècle .

T o ut a ussi sérieuse est l'activité microbi enne du sol qui a concentré de vas tes quantit és d e ce gaz dans les to undr as du Grand N o rd.

Celui-ci y est p rov iso irem e nt empris onné da ns le so us-s o l Une centrale thermique à charbon : ..,.._ ces centrales sont les principaux responsables de l'effet de serre dans la mesure où la combustion de carbone fossile relâche d 'importants volumes de gaz carbonique dans l'atmosphère.

.- - ! La destruction de la couche d 'ozone A par les gaz polluants a réduit la protection naturelle dont disposait la Terre contre les rayons ultraviolets.

De ce fait , les risques de cancers de la peau sont augmentés , lors de l'exposition au soleil .

Les bovins , notamment les moutons ..,.._ et les vaches , contribuent à l'effet de serre! Le méthane produit par leur système digestif est encore plus efficace que le dioxyde de carbone dans l'interception de la chaleur solaire.

par le ge l d e s urf ace; mais lo rs que le r échauffe­ me nt global fe ra fo ndr e cette cou ch e de gel, d e g ra nde s qua ntit és d e m é than e sero nt lib ér ées.

U ne a utre fa mill e de gaz participe indir ecte ­ me nt a u r éch auff em e nt plan éta ir e : celle d es chlo­ rofluo roca rbon es (CF C) qu e l'industri e utilis e comm e fluid e ré frigérant dan s l es clim atiseurs et l es r éfrigéra te u rs et comm e gaz propul sif da ns les bomb es aérosols.

Lorsqu e les CFC s'éc h appent à l 'air libr e, ils peu vent gag ne r la s trat osphè re o ù il s s'a ttaquent aux m ol écules d'ozo ne.

O r, c'es t l' ozo n e stratosphériqu e qui no us pr ot ège des dan gereux rayo ns ultr avio le ts du sole il: sa des­ tru c tion p ar l es C FC autorise le p assage d'un rayo nnem e nt plu s intense.

Outre son e ffet n éf aste sur les o rganism es v ivants , ce surplu s de r ayo nne­ me nt contribu e au r échauffem e nt de la p lanèt e.

La fonte des glaces Parmi les méca nism es qui a m plifi e nt un cyc le de r éch auffem e nt, le rô le d es glaces pola ir es es t très souvent cité.

Il faut savo ir en e ffet q u e no tre p la nète r e n voie ve rs l 'es pace un e g ra nd e parti e d es rayons qu'elle r eço it du So le il: d e l'e fficac it é de cette ré flexio n d ép e nd la te mp é ra ture à l aquelle la Te rre se sta bili se.

O r le dé but d 'un réchauff e­ m e nt plan éta ir e fa it r eculer l es glaces e t f ond re l es banquis es, diminuant la surf ace des terrains les plus ré fléchissa nts .

L a lumi ère sola ir e connaît alo rs une ré flexio n m oindr e vers l'espace et la t e mp é ra tur e mo nte: en r éac tio n, l es glaces fon­ d ent dava ntage et acce ntu e nt a insi l e p h énomène.

Les cercles vic ie u x de ce genr e jouent u n rôle imp ortant da ns l es déso rdres clima tiques actue ls.

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La hau sse de temp é ra ture de 0,5 ° C au cours de ce s iècle a p eut-être déjà la issé son empre inte sur l es calottes p o lair es et le niveau des mers.

Un e imp ortante fracture, vra i sem bl ablement due a u cycle d e r échauffem e nt, est en ef fet observée dans l es glaces de l'oues t de l'Antarctique.

Par a ill eur s, la hau sse du nivea u des mers due à la f o nte d es glaces est p er ceptib le: les mesures très précises du sate llit e To p ex- Posé idon f o nt aui our­ d 'hui éta t d ' une hau sse d e 3 à 4 mm par an.

A ce 1ythm e, la mer aur a mo nté d'un demi-mètre à la fin du sièc le p r ocha i n, et bea u coup plus si le. »

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