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Le Mouvement des océans

Publié le 08/10/2011

Extrait du document

Les courants profonds sont causés par les différences de température et de salinité (teneur en sel) de l'eau des océans. L'eau a tendance à monter à la surface lorsqu'elle est chaude et à plonger lorsqu'elle est froide (donc plus dense). L'eau salée, plus dense, s'enfonce sous l'eau faiblement salée, plus légère....

« LE PASSAGE D' UNE VAGUE Deu x a utr es phén om èn es acco mp agn ent par­ fo is le défe rle m e nt des vag ues sur le litt ora l.

L:un est l e re ss a c, qui se pr oduit lo rs qu 'une g ra nde p a rtie de la m a sse d' eau d ' une vague chemin e sous la vagu e suivant e po ur re tourn er à la m e r.

Les nage urs doiv ent s'e n m é fier, car ils p euvent se trou ver entraîn és v e rs le la rge, m êm e si le mouv e­ m e nt qui anim e l' eau en surf ace sembl e devoir l e s pouss e r v e rs la côte.

L:autr e cons équence du d éfe rle m e nt est la dérive litt o rale: il a rrive que la mass e d 'eau ne puiss e pas s'éco ule r tout entière vers le la rge.

Un c our a nt rapid e se forme a lo rs e n s urface e t d é pass e la zon e de défe rle m e nt des vag ues; il pe ut lui au ssi être la cause d'acc idents .

Le raz de marée Les trembl em e nts de te rre et l es érupti ons volca­ niques s e produisant au f o nd des mers d éclen­ ch e nt des vag ues rapid es et viol e ntes, les tsuna ­ mis , qui pro voquent des raz d e mar ée lor s qu'il s a b o rdent les côtes.

Ils ont des lon gu eur s d'o nde a llant jusqu ' à 1 6 0 km , e t l e ur vitesse dépasse p ar­ fo is 800 km/h .

En s'appro ch a nt d 'une côte, le tsu­ nami pr e nd la fo rm e d' un mur d 'ea u po uvant atteindr e des di z ain es de mè tres de haut, voir e plus , et qui inonde les plaines basses et d évas te t o ut sur son pass age.

Les marées Les mar ées résult e nt de l'a ttr actio n ex e r cée sur n o tre plan ète pa r la Lun e e t le Sol e il.

Ce phéno­ m ène n'a pas d'effets vis ib le s sur le s solides, qui sont diffi ciles à d é place r, m ais se m anif este clair e­ m e nt sur le s mass es fluid es des océa ns.

C'es t la Lun e qui ex e r ce l'influ en ce m aje ure: elle a ttire l e s mass es d 'ea u s ituées sur le côt é de l a Te rr e qui lui fait f ace, ainsi qu e s ur celles situ ées sur le cô té o pp osé.

Co mm e la Lun e r e trou ve la m êm e positi on par rapport à un p o int sur la Terre to ute s l es 24 h et 50 mn , la m ar ée est, ! La trajectoire A des molécules d 'eau est plus petite au fond q'! 'à la surface.

A l'approche du littoral , l'onde s'aplatit sous l'effet de la friction de l'eau contre le fond , et la crête de la vague se dresse puis retombe ou se brise .

La vague s 'affaisse alors tout entière sur la plage.

Surfeur ~ chevauchant une vague en Californie.

Les adeptes de ce sport profitent du mouvement des vagues déferlantes pour se faire porter jusqu 'à la plage.

e n presque to us les p oints du globe, h aute to utes les 12 h et 25 mn .

En certains e ndroits, comme d ans le golf e du Mexiqu e, e lle ne se produit que tout es les 24 h et 50 mn .

L 'influ en ce ex e r cée p ar l e Sole il est bea u­ coup m o ins se nsibl e par ce que cet astre est e nv i­ ron 400 f o is plus éloign é de no tre plan ète q ue la Lun e.

Comm e il e st cependant beaucoup plus m a ssif , l'attr action qu'il exe rce é quivaut cep en­ dant à e nviron 46% d e celle de la Lun e.

Tou s les 14 jours , le Sol eil, la Lun e e t la Te rre s e trou vent align és et l eur influ en ce s'exe r ce co njoint em e nt.

On dit alor s que la mar ée est «de vive-eau,.

(o u g rand e mar ée) e t l a diff ére n ce déferlement de la vague 1 entre la marée h aute e t la mar ée basse est max i­ ma le.

Le con tra ir e se produit lor squ e l es forces d u Sole il et d e la Lun e fo rment u n a ngle d roit: la m ar ée est a lor s «d e m o rte-ea u».

C'es t sur la côt e d es États -U nis, dan s la baie de Fund y, e ntr e la No uvell e-Écosse et l 'Éta t du M a ine, que la diff ére n ce entr e la mar ée h aute et la m ar ée basse est l a plus imp o rtante: elle a tteint e n m oye nne jusqu'à 14,5 m d e ha uteur.

D ans la b aie du M o nt-S aint-Mi ch el, o n r en co ntr e d es mar ées p ou vant atteindr e Il m.

En reva nch e, il n 'y a presqu e pas d e mar ée dans certaines m ers f e rm ées, comm e la Baltiqu e et la Médit e rranée (m o ins de 1 m ), ce qui re nd leurs côtes p articu­ li è re m e nt vuln éra bles à la polluti on.

En e ffet, l es cour a nts qui acco mp agnent les fortes m ar ées contribu ent a u n e ttoyage des plages.

Les courants de surface Les eau x d es océa ns sont agitées par d 'autr es mou vem e nts ; ainsi, d es cour a nts de s urface sont e ngendr és p ar l e vent et p ar l a rotation d e la Te rre .

Les régio ns qui s 'étendent d e part et d'a utre d ' une zone de calme à c h eva l sur l'équ at eur son t b al ayées p ar des vents dits do mi nants p arce qu'il s v ie nnent t oujour s de la m êm e d ir ection: ce sont les alizés .

Ils souffl e nt para llè le m e nt à l'équa­ te ur , m a is la rot ation d e la Te rr e l es dévie ver s le n o rd-ouest d ans l'h é misphère Nor d et vers le sud­ ouest d ans l'h é misphère Sud .

~ Lorsqu 'en 1964 un tsunami s 'abattit sur le port de Seward , en Alaska , la force de cette gigantesque vague arracha de gros bateaux de leur amarrage et les transporta à l'intérieur des terres .

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