Pensées d’août
Publié le 13/10/2018
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Pensées d’août
Ce dernier recueil fut accueilli, en 1837, par l’indifférence ou l’hostilité de la critique. Les procédés romantiques usés cèdent ici la place à un prosaïsme agressif, à un style volontairement artificiel et terne. L’épître nouvelle, où domine le récit, tend à remplacer la confidence, et bientôt la narration se produit sans prétexte subjectif, comme dans « Pensée d’août » ou « Monsieur Jean », histoires en vers; le discours critique envahit des « épî-tres morales » qui tentent de renouveler la manière de Boileau ou de Pope (« A M. Villemain », « A M. Patin »).
Liens utiles
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- C. E. 7 août 1909, WINKELL, Rec. 826 et 1296, concl. Tardieu
- C. E. 4 août 1905, MARTIN, Rec. 749, concl. Romieu (S. 1906.3.49, note Hauriou; D. 1907.3.49, concl. Romieu; R. D. P. 1906.249, note Jèze)
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