Devoir de Philosophie

L'ETONNEMENT PHILOSOPHIQUE chez ARISTOTE

Publié le 22/02/2012

Extrait du document

aristote
Problème / Doit-on considérer que la philosophie est à elle-même sa propre fin ? Thèse / Aristote remonte aux origines de la philosophie pour en analyser l'utilité. Il part de l'ignorance et de l'étonnement des hommes face aux choses du monde pour expliquer la naissance de la philosophie puis conclut finalement qu'elle n'a pas d'autre but que de satisfaire la soif de savoir des hommes. La thèse d'Aristote repose en fait en deux points : - l'étonnement et l'ignorance constituent les bases de la philosophie. - la philosophie est à elle-même sa propre fin puisque les philosophes poursuivent le savoir en vue de la seule connaissance. Démonstration / 1. Aristote commence par démontrer que l'étonnement et la reconnaissance de son ignorance constituent la base même de la philosophie. « Ce fut l'étonnement qui poussa […] les premiers penseurs aux spéculations philosophiques. » « […] s'étonner, c'est reconnaître sa propre ignorance » Pour Aristote la philosophie s'explique donc par un étonnement qui cache et qui est du à une ignorance certaine ; les philosophes poursuivraient finalement, en faisant de la philosophie, le but de la connaissance. 2. «[…] si ce fut pour échapper à l'ignorance que les premiers philosophes se livrèrent à la philosophie, il est clair qu'ils poursuivaient le savoir en vue de la seule connaissance et non pour une fin utilitaire. » Aristote considère que la philosophie est inutile en tant qu'elle ne sert à rien d'autre qu'à elle-même. Les philosophes s'adonnent à la philosophie dans le seul but de savoir ; savoir pour savoir sans autre fin. 3. Selon Aristote, la philosophie est libérale, toujours en tant qu'elle est à elle-même sa propre fin. « […] de même que nous appelons homme libre celui qui est à lui-même sa fin et n'existe pas pour un autre, ainsi cette science est aussi la seule de toutes les sciences qui soit une discipline libérale, car seule elle est à elle-même sa propre fin. » Par là Aristote considère également que la philosophie est une activité de plaisir et que l'on peut faire de la philosophie quand tout les problèmes de la vie sont réglés, seul l'homme « libre » peut s'y adonner. Objections / La philosophie serait selon Aristote inutile, sinon utile à elle-même. Le simple fait de se poser des questions sur tout ce qui nous entoure où sur nous même n'est-il pas utile à l'homme dans un but d'épanouissement ? La philosophie n'est-elle pas une nécessité morale, n'a t-elle pas un intérêt politique ? Ne produit t-elle pas des idées utiles à la création des conditions de notre vie ? Finalement ne pas philosopher reviendrait à ne pas se questionner sur tout ce qui fait notre vie et laisser quelqu'un d'autre penser pour nous. Ce comportement n'est-il pas dangereux pour tous ?
aristote

« C'est enfin Paul Verlaine qui apprécie son génie.

Verlaine lui paie un billet de train et après l'avoir logé brièvement dans l'hôtel particulier de ses beaux-parents, il l'adresse à ses amis artistes dont Charles Cros et Théodore de Banville . En octobre 1871, Arthur Rimbaud dîne avec les Vilains Bonshommes et collabore à l' Album du Cercle Zutique.

Le Parnasse l'acclame lorsqu'il dit son Bateau Ivre . Rimbaud encanaille Verlaine qui se met à boire .

Ils s'adonnent à l'absinthe et leur liaison fait scandale.

Début 1872, Verlaine se dispute violemment avec sa femme Mathilde.

Elle le quitte une première fois pour se réfugier à Périgueux.

En mai Henri Fantin-Latour expose au Salon Le coin de Table, sur lequel figurent entre autres poètes Verlaine et Rimbaud.

Ils alternent les séjours à Londres et sûr le continent, Verlaine essayant de récupérer sa femme et Rimbaud obéissant à sa mère.Lors d'un séjour dans la ferme maternelle de Roche, Rimbaud se met à rédiger un Livre Païen ou Livre Nègre qui deviendra Une Saison en Enfer . A Londres, ils vivent en donnant des cours de français et grâce à l'aide de la mère de Verlaine.

Alcoolisés, drogués,ils se disputent régulièrement.

Le 10 juillet 1873 Verlaine tire sur Rimbaud et l'atteint au poignet.

Verlaine est arrêtépuis condamné le 8 août à deux ans de prison. Rimbaud vagabonde en Europe En août 1873 Arthur Rimbaud fait publier Une Saison en Enfer chez Jacques Poot à Bruxelles, mais, ne pouvant le financer, il n'en édite qu'une poignée, à compte d'auteur. En novembre, Arthur Rimbaud fait la connaissance du poète Germain Nouveau avec qui il part à Londres en mars 1874.

Ils travaillent ensemble aux Illuminations .

Nouveau, craignant la mauvaise réputation de Rimbaud, repart en Juillet. En 1875, Rimbaud commence à voyager, en gueux, dans toute l'europe.

En 1875 il se rend à Stuttgart ou il rencontre Verlainerécemment libéré.

Ils se disputent une dernière fois et Rimbaud lui remet le manuscrit des Illuminations .

En mai et juin il voyage en Italie.

En décembre il est grandement attristé par la mort de sa sœur Vitalie. En 1876 il se fait détrousser en allant à Vienne puis s'engage à Rotterdam dans l'armée coloniale Hollandaise.

Il déserte aprèsquelques semaines.

En 1877 il voyage à Cologne et Brême, est engagé comme traducteur dans un cirque et tente de s'engagerdans la marine américaine.

Il fait un séjour à Rome. Bateau ivre" (été 1871) ContexteRimbaud écrit ce poème alors qu'il va vivre définitivement à Paris, il va y être accueillit par Verlaine.

Rimbaud veut se faireconnaître des poètes parisiens. FormePoème très long de 25 strophes, quatrains, rimes croisées.On peut divisé ce poème en 4 parties:1)Les 7 premières §: la libération progressif du bateau2)§ 8 à 17: expérience de la course (navale), pas de destination3)§ 18 à 25: la désillusion:-18 à 21: prise de conscience de le désillusion-21 à 25: désillusion finale (Le) Bateau ivreRimbaud ne désirait pas l'article, "le" est un déterminant or R voulait garder la généralisation, de plus c un bateau ki n'existe pa Ce poème peu fair office de suite au "poètes de sept ans", application de l'art poétique (c.f.

lettre à Paul Demeny). »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles