LES METEORES, DISCOURS SIXIEME, DE LA NEIGE, DE LA PLUIE, ET DE LA GRELE. DESCARTES
Publié le 29/07/2010
Extrait du document
Enfin, je ne m’étonnai point de ces étoiles doubles à douze rayons qui tombèrent après, car je jugeai que chacune avait été composée de deux simples à six rayons, par la chaleur qui, étant plus forte entre les deux feuilles où elles étaient qu’au dehors, avait entièrement fondu les petits filets de glace qui les conjoignaient, et ainsi les avait collées ensemble ;
Et il tombait aussi parmi ces étoiles plusieurs autres parcelles de glace en forme de filets, et sans autre figure déterminée.
Et les parcelles de glace qui n’avaient aucune figure déterminée m’assuraient que toutes les nues n’étaient pas composées de petits noeuds ou pelotons, mais qu’il y en avait aussi qui n’étaient faites que de filets confusément entremêlés.
et l’air devenant clair et serein tout aussitôt, je jugeai que cette grêle s’était formée de la plus haute partie des nues, dont la neige était fort subtile et composée de filets fort déliés, en la façon que j’ai tantôt décrite, Enfin, à trois jours de là, voyant tomber de la neige toute composée de petits noeuds ou pelotons environnés d’un grand nombre de poils entremêlés et qui n’avaient aucune forme d’étoile, je me confirmai en la créance de tout ce que j’avais imaginé touchant cette matière.
L’HOMME.
Et sachez que l’agitation que reçoivent les petites parties de ces viandes en s’échauffant, jointe à celle de l’estomac et des boyaux qui les contiennent, et à la disposition des petits filets dont ces boyaux sont composés, fait qu’à mesure qu’elles se digèrent, elles descendent peu à peu vers le conduit par où les plus grossières d’entre elles doivent sortir ;
Car, au moment que les artères s’enflent, les petites parties du sang qu’elles contiennent vont choquer çà et là les racines de certains petits filets, qui, sortant des extrémités des petites branches de ces artères, composent les os, les chairs, les peaux, les nerfs, le cerveau, et tout le reste des membres solides, selon les diverses façons qu’ils se joignent ou s’entrelacent :
Voyez aussi qu’en chacun de ces petits tuyaux, il y a comme une moelle, composée de plusieurs filets fort déliés, qui viennent de la propre substance du cerveau N, et dont les extrémités finissent d’un côté à sa superficie intérieure qui regarde ses concavités, et de l’autre aux peaux et aux chairs contre lesquelles le tuyau qui les contient se termine.
pensez que les petits filets, que je vous ai déjà tantôt dit venir du plus intérieur de son cerveau, et composer la moelle de ses nerfs, sont tellement disposés en toutes celles de ses parties qui servent d’organe à quelques sens, qu’ils y peuvent très facilement être mus par les objets de ces sens ;
et par ce moyen tirant le petit filet, c, c, que vous voyez y être attaché, elles ouvrent au même instant l’entrée du pore d, e, contre lequel ce petit filet se termine :
Sachez donc, premièrement, qu’il y a un grand nombre de petits filets semblables à c, c, qui commencent tous à se séparer les uns des autres, dès la superficie intérieure de son cerveau, d’où ils prennent leur origine, et qui, s’allant de là épandre par tout le reste de son corps, y servent d’organe pour le sens de l’attouchement.
Et remarquez qu’encore que les filets dont je vous parle soient fort déliés, ils ne laissent pas de passer sûrement depuis le cerveau jusques aux membres qui en sont les plus éloignés, sans qu’il se trouve rien entre deux qui les rompe, ou qui empêche leur action en les pressant, quoique ces membres se plient cependant en mille diverses façons :
Comme, premièrement, si les petits filets, qui composent la moelle de ces nerfs, sont tirés avec tant de force qu’ils se rompent, et se séparent de la partie à laquelle ils étaient joints, en sorte que la structure de toute la machine en soit en quelque façon moins accomplie :
Que si plusieurs de ces petits filets sont tirés ensemble également, ils feront sentir à l’âme que la superficie du corps qui touche le membre où ils se terminent est polie ;
Et même, qu’il peut y avoir quelques-uns de ces corps, dont les parties, quoique assez grosses, ne laisseront pas de se glisser contre ces petits filets si doucement, qu’elles les presseront ou couperont tout à fait, sans que leur action passe jusqu’au cerveau :
Mais les petits filets qui composent la moelle des nerfs de la langue, et qui servent d’organe pour le goût en cette machine, peuvent être mus par de moindres actions, que ceux qui ne servent que pour l’attouchement en général :
Et pour celles qui sont si grosses, ou jointes si fort l’une à l’autre, qu’elles ne peuvent être séparées par l’action de la salive, ni aucunement pénétrer dans les pores de la langue, pour agir contre les petits filets des nerfs qui y servent pour le goût, autrement que contre ceux des autres membres qui servent pour l’attouchement général, et qui n’ont point aussi de pores en elles-mêmes, où les petites parties de la langue, ou bien pour le moins celles de la salive dont elle est humectée, puissent entrer :
Le sens de l’odorat dépend aussi de plusieurs petits filets, qui s’avancent de la base du cerveau vers le nez au-dessous de ces deux petites parties toutes creuses, que les anatomistes ont comparées aux bouts des mamelles d’une femme, et qui ne diffèrent en rien des nerfs qui servent à l’attouchement et au goût, sinon qu’ils ne sortent point hors de la concavité de la tête qui contient tout le cerveau, et qu’ils peuvent être mus par des parties terrestres encore plus petites que les nerfs de la langue, tant à cause qu’ils sont un peu plus déliés, comme aussi à cause qu’ils sont plus immédiatement touchés par les objets qui les meuvent.
et qu’à l’entrée de cet espace elles rencontrent les extrémités de ces petits filets toutes nues, ou seulement couvertes d’une peau qui est extrêmement déliée, ce qui fait qu’elles n’ont pas besoin de beaucoup de force pour les mouvoir.
Vous devez aussi savoir que ces pores sont tellement disposés, et si étroits, qu’ils ne laissent passer jusqu’à ces petits filets aucunes parties terrestres qui soient plus grosses que celles que j’ai ci-dessus nommées Odeurs pour ce sujet ;
Pour les petits filets qui servent d’organe au sens de l’ouïe, ils n’ont pas besoin d’être si déliés que les précédents ;
Ce sens dépend aussi en cette machine de deux nerfs, qui doivent sans doute être composés de plusieurs petits filets, les plus déliés, et les plus aisés à mouvoir qui puissent être ;
GHI est le nerf, dont les petits filets HG, HI, étant épars tout autour depuis H jusques à G et I, couvrent entièrement le fond de l’oeil.
E, N, sont de petits filets noirs, qui viennent du dedans de la peau D, E, F, et qui embrassent tout autour cette humeur cristalline, qui sont comme autant de petits tendons, par le moyen desquels sa figure se peut changer, et se rendre un peu plus plate, ou plus voûtée, selon qu’il est de besoin.
La couleur noire, tant de la superficie intérieure de la peau EF, que des petits filets EN, sert aussi à rendre la vision plus distincte :
Remarquez donc, premièrement, que , si la main A, par exemple, touche le corps C, les parties du cerveau B, d’où viennent les petits filets de ses nerfs, seront autrement disposées, que si elle en touchait un qui fût d’autre figure, ou d’autre grandeur, ou situé en une autre place ;
Lorsque les liqueurs que j’ai dit ci-dessus servir comme d’eau forte dans son estomac, et y entrer sans cesse de toute la masse du sang par les extrémités des artères, n’y trouvent pas assez de viandes à dissoudre pour occuper toute leur force, elles la tournent contre l’estomac même, et agitant les petits filets de ses nerfs plus fort que de coutume, font mouvoir les parties du cerveau d’où ils viennent ;
Secondement, pour ce qui est des pores du cerveau, ils ne doivent pas être imaginés autrement que comme les intervalles qui se trouvent entre les filets de quelque tissu :
et pensez que de chaque partie de ce réseuil il sort plusieurs filets fort déliés, dont les uns sont ordinairement plus longs que les autres ;
et qu’après que ces filets se sont diversement entrelacés en tout l’espace marqué B, les plus longs descendent vers D, puis de là composant la moelle des nerfs se vont épandre par tous les membres.
Pensez aussi que les principales qualités de ces petits filets sont de pouvoir assez facilement être pliés en toutes sortes de façons, par la seule force des esprits qui les touchent, et, quasi comme s’ils étaient faits de plomb ou de cire, de retenir toujours les derniers plis qu’ils ont reçus, jusqu’à ce qu’on leur en imprime de contraires.
Enfin, pensez que les pores dont il est ici question ne sont autre chose que les intervalles qui se trouvent entre ces filets, et qui peuvent être diversement élargis et rétrécis, par la force des esprits qui entrent dedans, selon qu’elle est plus ou moins grande, et qu’ils sont plus ou moins abondants ;
et que les plus courts de ces filets se vont rendre en l’espace c, c, où chacun se termine contre l’extrémité de quelqu’un des petits vaisseaux qui y sont, et en reçoit sa nourriture.
mais la source qui produit ces esprits est ordinairement si abondante, qu’à mesure qu’ils entrent dans ces concavités, ils ont la force de pousser tout autour la matière qui les environne, et de l’enfler, et par ce moyen de faire tendre tous les petits filets des nerfs qui y viennent, ainsi que le vent, étant un peu fort, peut enfler les voiles d’un navire, et faire tendre toutes les cordes auxquelles ils sont attachés ;
Vous pouvez voir, en la figure marquée M , que les esprits qui sortent de la glande H, ayant dilaté la partie du cerveau marquée A, et entrouvert tous ses pores, coulent de là vers B, puis vers C, et enfin vers D, d’où ils se répandent dans tous ses nerfs, et tiennent par ce moyen tous les petits filets, dont ces nerfs et le cerveau sont composés, tellement tendus, que les actions qui ont tant soit peu la force de les mouvoir se communiquent facilement de l’une de leurs extrémités jusques à l’autre, sans que les détours des chemins, par où ils passent, les en empêchent.
Mais, afin que ces détours ne vous empêchent pas aussi de voir clairement, comment cela sert à former les idées des objets qui frappent les sens, regardez en la figure ci-jointe (1) les petits filets 12, 34, 56, et semblables, qui composent le nerf optique, et sont étendus depuis le fond de l’oeil 1, 3, 5, jusques à la superficie intérieure du cerveau 2, 4, 6.
Et pensez que ces filets sont tellement disposés, que, si les rayons qui viennent, par exemple, du point A de l’objet, vont presser le fond de l’oeil au point I, ils tirent par ce moyen tout le filet 12, et augmentent l’ouverture du petit tuyau marqué 2.
il est évident que les diverses façons, dont les petits tuyaux, 2, 4, 6, sont ouverts par les filets 12, 34, 56, etc.
Pensez donc à cet effet qu’après que les esprits qui sortent de la glande H y ont reçu l’impression de quelque idée, ils passent de là par les tuyaux 2, 4, 6, et semblables, dans les pores ou intervalles qui sont entre les petits filets dont cette partie du cerveau B est composée ;
et qu’ils ont la force d’élargir quelque peu ces intervalles, et de plier et disposer diversement les petits filets qu’ils rencontrent en leurs chemins, selon les diverses façons dont ils se meuvent, et les diverses ouvertures des tuyaux par où ils passent :
ou qui du moins, s’ils se referment, laissent une certaine disposition dans les petits filets dont cette partie du cerveau N est composée, par le moyen de laquelle ils peuvent beaucoup plus aisément être ouverts derechef, que s’ils ne l’avaient point encore été :
Mais comme un corps attaché seulement à quelques filets, qui serait soutenu en l’air par la force de la fumée qui sortirait d’un fourneau, flotterait incessamment çà et là, selon que les diverses parties de cette fumée agiraient contre lui diversement :
Que si les esprits changeant leur cours tournaient ce tuyau vers quelque autre point de la glande, comme vers c, les petits filets 8, 7, qui sortant d’autour de lui se vont rendre dans les muscles de ce bras, changeant par même moyen de situation, rétréciraient quelques-uns des pores du cerveau qui sont vers D, et en élargiraient quelques autres :
Car si les rayons qui tombent sur le point 3, par exemple, viennent tous du point B, comme ils font lorsque l’oeil regarde fixement vers là, il est évident que leurs actions doivent tirer plus fort le petit filet 34, que s’ils venaient, partie du point A, partie de B, et partie de C, comme ils font sitôt que l’oeil est un peu autrement disposé ;
les petits filets qui composent la substance du cerveau, étant ensuite un peu plus tendus ou plus lâches les uns que les autres, conduiront les esprits vers certains endroits de sa base, et de là vers certains nerfs, avec plus ou moins de force que vers les autres.
La troisième, en la disposition des petits filets qui composent la substance du cerveau.
Et que, si cet objet ABC était d’une autre couleur, ou d’une autre figure, ce ne serait pas justement les petits filets qui sont vers N et vers o, qui détourneraient les esprits qui entrent par 2, 4, 6, mais quelques autres de leurs voisins.
Pour la disposition des petits filets qui composent la substance du cerveau, elle est ou acquise, ou naturelle ;
Mais, afin que je vous dise en quoi consiste la naturelle, sachez que Dieu a tellement disposé ces petits filets en les formant, que les passages qu’il a laissés parmi eux peuvent conduire les esprits, qui sont mus par quelque action particulière, vers tous les nerfs où ils doivent aller, pour causer les mêmes mouvements en cette machine, auxquels une pareille action nous pourrait inciter, suivant les instincts de notre nature ;
d’autant que la situation de cette tête, qui est maintenant cause que les petits filets de la substance du cerveau qui sont vers x sont beaucoup plus lâches et aisés à écarter l’un de l’autre que ceux qui sont vers z, étant changée, ferait, tout au contraire, que ceux qui sont vers z seraient fort lâches, et ceux qui sont vers x fort tendus et resserrés.
car, premièrement, il ne faut que jeter les yeux sur cette 50e figure , et voir comment les petits filets D, D, qui se vont rendre dans les nerfs, y sont lâches et pressés, pour entendre comment, lorsque cette machine représente le corps d’un homme qui dort, les actions des objets extérieures sont pour la plupart empêchées de passer jusqu’à son cerveau, pour y être senties ;
Ils ne sauraient aussi rien imaginer de plus vraisemblable, touchant le cerveau, que de dire qu’il est composé de plusieurs petits filets diversement entrelacés, vu que toutes les peaux et toutes les chairs paraissent ainsi composées de plusieurs fibres ou filets, et qu’on remarque le même en toutes les plantes :
« Et pour celles qui sont si grosses, ou jointes si fort l'une à l'autre, qu'elles ne peuvent être séparées par l'action de la salive, niaucunement pénétrer dans les pores de la langue, pour agir contre les petits filets des nerfs qui y servent pour le goût, autrementque contre ceux des autres membres qui servent pour l'attouchement général, et qui n'ont point aussi de pores en elles-mêmes, oùles petites parties de la langue, ou bien pour le moins celles de la salive dont elle est humectée, puissent entrer : Le sens de l'odorat dépend aussi de plusieurs petits filets, qui s'avancent de la base du cerveau vers le nez au-dessous de cesdeux petites parties toutes creuses, que les anatomistes ont comparées aux bouts des mamelles d'une femme, et qui ne diffèrenten rien des nerfs qui servent à l'attouchement et au goût, sinon qu'ils ne sortent point hors de la concavité de la tête qui contienttout le cerveau, et qu'ils peuvent être mus par des parties terrestres encore plus petites que les nerfs de la langue, tant à causequ'ils sont un peu plus déliés, comme aussi à cause qu'ils sont plus immédiatement touchés par les objets qui les meuvent. et qu'à l'entrée de cet espace elles rencontrent les extrémités de ces petits filets toutes nues, ou seulement couvertes d'une peauqui est extrêmement déliée, ce qui fait qu'elles n'ont pas besoin de beaucoup de force pour les mouvoir. Vous devez aussi savoir que ces pores sont tellement disposés, et si étroits, qu'ils ne laissent passer jusqu'à ces petits filetsaucunes parties terrestres qui soient plus grosses que celles que j'ai ci-dessus nommées Odeurs pour ce sujet ; Pour les petits filets qui servent d'organe au sens de l'ouïe, ils n'ont pas besoin d'être si déliés que les précédents ; Ce sens dépend aussi en cette machine de deux nerfs, qui doivent sans doute être composés de plusieurs petits filets, les plusdéliés, et les plus aisés à mouvoir qui puissent être ; GHI est le nerf, dont les petits filets HG, HI, étant épars tout autour depuis H jusques à G et I, couvrent entièrement le fond del'oeil. E, N, sont de petits filets noirs, qui viennent du dedans de la peau D, E, F, et qui embrassent tout autour cette humeur cristalline,qui sont comme autant de petits tendons, par le moyen desquels sa figure se peut changer, et se rendre un peu plus plate, ou plusvoûtée, selon qu'il est de besoin. La couleur noire, tant de la superficie intérieure de la peau EF, que des petits filets EN, sert aussi à rendre la vision plus distincte : Remarquez donc, premièrement, que , si la main A, par exemple, touche le corps C, les parties du cerveau B, d'où viennent lespetits filets de ses nerfs, seront autrement disposées, que si elle en touchait un qui fût d'autre figure, ou d'autre grandeur, ou situéen une autre place ; Lorsque les liqueurs que j'ai dit ci-dessus servir comme d'eau forte dans son estomac, et y entrer sans cesse de toute la masse dusang par les extrémités des artères, n'y trouvent pas assez de viandes à dissoudre pour occuper toute leur force, elles la tournentcontre l'estomac même, et agitant les petits filets de ses nerfs plus fort que de coutume, font mouvoir les parties du cerveau d'oùils viennent ; Secondement, pour ce qui est des pores du cerveau, ils ne doivent pas être imaginés autrement que comme les intervalles qui setrouvent entre les filets de quelque tissu : et pensez que de chaque partie de ce réseuil il sort plusieurs filets fort déliés, dont les uns sont ordinairement plus longs que lesautres ; et qu'après que ces filets se sont diversement entrelacés en tout l'espace marqué B, les plus longs descendent vers D, puis de làcomposant la moelle des nerfs se vont épandre par tous les membres. Pensez aussi que les principales qualités de ces petits filets sont de pouvoir assez facilement être pliés en toutes sortes de façons,par la seule force des esprits qui les touchent, et, quasi comme s'ils étaient faits de plomb ou de cire, de retenir toujours lesderniers plis qu'ils ont reçus, jusqu'à ce qu'on leur en imprime de contraires. Enfin, pensez que les pores dont il est ici question ne sont autre chose que les intervalles qui se trouvent entre ces filets, et quipeuvent être diversement élargis et rétrécis, par la force des esprits qui entrent dedans, selon qu'elle est plus ou moins grande, etqu'ils sont plus ou moins abondants ; et que les plus courts de ces filets se vont rendre en l'espace c, c, où chacun se termine contre l'extrémité de quelqu'un des petitsvaisseaux qui y sont, et en reçoit sa nourriture.. »
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