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Les Confessions de Jean-Jacques Rousseau

Publié le 21/07/2010

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rousseau
 
Sommaire :
I. Recherches initiales. II. Parcours thématiques Parcours 1 : Expériences et éducation. 1) Première confession. 2) Seconde confession. 3) La personnalité de Rousseau. Parcours 2 : Plaisirs et difficultés de l’écriture autobiographique. 1) Première confession. 2) Seconde confession. 3) Les objectifs de Rousseau.
Travail : Guide pour la lecture intégrale de l’œuvre : Les Confessions de Jean-Jacques Rousseau Livres 1 à 6 I. Recherches initiales.
Jean-Jacques Rousseau (1712-1778), écrivain et philosophe genevois de langue française, auteur des Confessions, est l’une des principales figures du siècle des Lumières. Né dans la république calviniste de Genève, Jean-Jacques Rousseau perd sa mère quelques jours après sa naissance. Vers l’âge de douze ans, il commence un apprentissage de graveur mais, malheureux chez son maître, il prend la fuite au bout de quelques années et passe à pied en Savoie (1728). Il est recueilli par Mme de Warens, jeune dame pieuse qui devient sa protectrice et le convertit au catholicisme. Après de nouvelles errances, il revient auprès de Mme de Warens, devenue sa maîtresse, goûter les délices d’un bonheur paisible. Les Charmettes, près de Chambéry, prêtent à cet amour leur cadre idyllique et bienveillant jusqu’en 1737, date d’arrivée d’un nouveau rival. En 1742, Jean-Jacques Rousseau se rend à Paris pour y gagner sa vie comme maître de musique, copiste et secrétaire particulier. Il se lie d’amitié avec Denis Diderot et rédige des articles pour l’Encyclopédie. Son nouveau système de notation musicale n’ayant pas été admis par l’Académie, il se met à composer un opéra, Les Muses galantes, qui ne remporte pas le succès attendu. En 1745, il rencontre une jeune lingère, Thérèse Levasseur, qui sera sa compagne jusqu’à sa mort. Cinq enfants naissent de ce couple, tous placés par leur père à l’hospice des Enfants-Trouvés. La vocation littéraire de Rousseau, qu’il racontera par la suite, survient un jour de 1749. En allant rendre visite à Diderot enfermé au donjon de Vincennes, il lit le sujet du concours de l’Académie de Dijon. Une foule d’idées se pressent alors dans son esprit. Il prend la plume et rédige son Discours sur les sciences et les arts, soutenant que les progrès de la civilisation dénaturent l’Homme. Un an plus tard, il apprend qu’il a remporté le prix. Publié en 1750, ce premier ouvrage provoque immédiatement des réactions diverses et, en six mois, son auteur se trouve au centre de tous les cercles intellectuels et mondains. Après les triomphe d’un nouvel opéra, le Devin du village (1752), Rousseau compose coup sur coup ses grandes œuvres : le Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes (1755), la Lettre à D’Alembert sur les spectacles (1758), Julie ou la Nouvelle Héloïse (1761), Du contrat social (1762) et Emile ou de l’Education (1762). En 1762, ce dernier ouvrage est condamné par le parlement de Paris. Pour échapper à son arrestation, Rousseau mène une vie errante pendant huit années. Fuyant de refuge en refuge, notamment en Angleterre à la rencontre du philosophe David Hume, il compose divers écrits, parmi lesquels les Lettres écrites de la montagne (1764), où il répond à ses accusateurs. Les attaques de ses détracteurs et la solitude aggravent chez Rousseau un sentiment de persécution déjà latent et le persuadent peu à peu qu’il est la proie d’un complot, en particulier de la part des encyclopédistes avec qui il est brouillé. En 1770, il revient se fixer à Paris et s’engage à ne plus rien publier de son vivant. Les Confessions (1765-1770, édition posthume 1782-1789), Rousseau juge de Jean-Jacques ou Dialogues (1772-1776, édition posthume 1789) et les Rêveries du promeneur solitaire (1776-1778, posthume 1782) ne paraîtront qu’après sa mort, survenue à Ermenonville. Ses cendres ont été transférées au Panthéon par la Convention en 1794. Rousseau est, certes, un philosophe des Lumières, en raison du caractère révolutionnaire de ses idées, mais il est aussi à contre-courant de la confiance de son époque dans le progrès. Ce paradoxe qui anime l’ensemble de ses écrits s’applique à la morale, à la politique, à l’éducation et à la religion. Constant leitmotiv, la nature est le fondement et le principe auquel il ne cesse de se référer. L’influence des idées de Rousseau est très nette dans la doctrine politique révolutionnaire mais elle perdure également tout au long du XIXème siècle dans l’ensemble des sciences humaines. L’héritage de Rousseau n’est pourtant pas seulement d’ordre philosophique, puisqu’il est aussi à l’origine d’une nouvelle forme de sensibilité. Son univers hanté par la rêverie, la contemplation de la nature, le goût insulaire et la solitude ont un effet marqué la littérature du siècle suivant, à tel point que Rousseau est généralement considéré comme l’un des précurseurs du romantisme. L’écriture des Confessions est liée à deux événements : - le 27 décembre 1764, à Genève apparaît le libelle anonyme Sentiment des citoyens qui révèle que Rousseau a abandonné ses enfants. - Le 31 décembre 1764, Rousseau reçoit ce libelle qu’il attribue faussement au pasteur Vernes, alors qu’il est de voltaire. Rousseau décide d’écrire Les Confessions. Le mot « confession «. Les différents sens du mot confession sont : - l’aveu de ses péchés à un prêtre catholique - la déclaration que l’on fait d’un acte blâmable - l’action de faire profession de sa foi religieuse - montrer son appartenance à une religion. Avant Rousseau, ce titre avait déjà été choisi par Saint Augustin pour ses « Confessions «. Les connotations de ce mot sont religieuses d’une part et péjorative d’une autre part car on avoue ses fautes.
II. Parcours thématiques
Parcours 1 : Expériences et éducation.
1) Première confession. La première expérience choisie dans le cadre d’une confession est lorsque Rousseau est en pension chez les Lambercier à Bossey. Monsieur Lambercier a fait planter un noyer près de la terrasse pour l’ombrager et Jean-Jacques et son camarade d’étude trouvent qu’il serait amusant et glorifiant pour eux de planter eux aussi un arbre près de la terrasse. Ils coupent une bouture à un jeune arbre et creusent un bassin au pied de leur arbre et au pied du noyer puis font passer une rigole entre les deux afin que l’eau du noyer aille arroser leur arbre. Mais Monsieur Lambercier découvre la supercherie mais ne dit rien et rit même avec sa sœur. Le récit correspond à une confession car Rousseau raconte cet évènement de sa vie en expliquant ses sentiments, ses impressions et ses pensées lors de ce moment dont il narre l’histoire. Les actions présentées sont répréhensibles car ils auraient dû demander l’autorisation de planter un arbre à Monsieur Lambercier qui ne leur aurait certainement pas refusée de plus, au lieu de creuser un bassin, ils auraient dû arroser eux-mêmes leur arbre au lieu de voler l’eau du noyer. Rousseau présente cette petite histoire comme une horrible tragédie alors qu’il ne s’est pratiquement rien passé. Il exagère un peu les faits et les conséquences de leur acte. Il explique sa conduite en prétextant un mouvement de vanité et un excès d’orgueil. Ils acceptent tous les deux les responsabilités de leur acte mais ne sont pas déçus lorsque Monsieur Lambercier détruit leur œuvre car il ne leur dit rien et ne leur fait pas de reproches. Dans cette situation, on peut dire que le camarade de Rousseau, en ayant la même idée que lui, contribue à faire exécuter son projet à Jean-Jacques. On peut aussi dire aussi que si cet ami n’avait pas été là, peut-être qu’il n’y aurait pas eu de bouture d’arbre de plantée. On peut donc dire que la présence de quelqu’un près de soi peut encourager à faire des choses que l’on ne ferait pas seul et que quelques fois s’il nous reste des réticences face à certaines choses, la présence d’une personne nous les enlève toutes. 2) Seconde confession. La seconde expérience choisie dans le cadre d’une confession est lorsque Rousseau devient apprenti chez un graveur, Monsieur Ducommun. Cet emploi lui plait beaucoup. Le maître surprend Jean-Jacques entrain de fabriquer des médailles, pour ses camarades et lui, devant leur servir d’ordre de chevalerie. Monsieur Ducommun croit qu’il s’entraîne à faire de fausses pièces de monnaie et le roue de coup. « La tyrannie de son maître l’a rendu insupportable «. Le récit correspond à une confession car Rousseau raconte cette histoire en expliquant ses intentions, ses motifs et ses sentiments lors de cet évènement. Les actions présentées sont répréhensibles car il aurait dû demander la permission à son maître avant de graver ces médailles. De plus, avec les armes de la République gravées dessus, on peut aisément comprendre que Monsieur Ducommun ait pris les médailles pour de fausses pièces de monnaie et ainsi on peut comprendre son emportement vis-à-vis de son apprenti. Rousseau présente cette aventure comme une sorte de malentendu. Ce n’est pas sa faute, c’est son maître qui n’a pas compris ce qu’il voulait faire et qui ne lui a pas laissé le temps de s’expliquer correctement. A partir de cette histoire, Rousseau dit que la brutalité de son maître est la cause de l’apparition chez lui de vices comme le mensonge, le vol et l’effronterie. Il rejette sa faute sur son maître en quelque sorte et l’accuse de ses erreurs. Il explique sa conduite en prétextant un malentendu entre le maître et l’apprenti. On peut dire, dans cette situation, que parfois un excès de gentillesse ou de bonnes intentions peut conduire à faire des erreurs grossières sans s’en rendre compte. Ainsi en voulant faire une surprise à ses amis, mais peut-être aussi en voulant se faire bien voir d’eux, son excès de confiance lui a fait faire une bêtise qu’il n’aurait pas faîte s’il avait plus réfléchi avant de se lancer dans son projet ou s’il en avait parlé à son maître avant de le commencer. On peut ainsi dire que parfois l’excès de bonté ou de générosité peut nous nuire si nous n’y réfléchissons pas consciencieusement avant et si nous n’en parlons à personne car quelques fois, le fait de parler évite de faire des erreurs irréparables. 3) La personnalité de Rousseau. Les expériences vécues ont contribuées à différentes orientations de la personnalité de l’auteur, d’après lui. Le fait de ne pas avoir été réprimandé pour avoir fait quelque chose sans en demander la permission lui a fait gagner de la confiance en lui mais fait aussi qu’il n’a plus peur, en quelque sorte, de faire quelque chose sans savoir si c’est permis ou non. Cela se produira plusieurs fois à travers le récit de ses confessions. En mettant le fait de devenir effronté sur le dos de son maître est la preuve qu’il est déjà un menteur avant car faire croire au lecteur que c’est à cause de lui qu’il a eu certains vices comme le mensonge, la fainéantise, le vol et l’effronterie est aberrant car ce genre de vices est inné. On peut ainsi dire que tous ces évènements ont formé sa personnalité par l’apprentissage de certaines choses qu’il a acquises au cours de ses différentes expériences. De plus, la manière dont il rapporte les évènements montre qu’il n’est pas tout à fait honnête car rien n’est jamais de sa faute et ce sont toujours les autres qui ne le comprennent pas mais lui ne se demande pas si cela ne vient pas de lui. Pour les actes répréhensibles que l’auteur rapporte, il utilise un ton léger pour ne pas aggraver ses fautes et utilise un ton ironique pour leur donner moins d’importance et lui donner l’air innocent. Il raconte les faits de telle manière que l’on pourrait croire qu’il est toujours la victime des erreurs des autres. Parcours 2 : Plaisirs et difficultés de l’écriture autobiographique.
Première confession. La première expérience racontée dans le cadre d’une confession est lorsque Rousseau sort de chez Madame de Vercellis et veut absolument rencontrer des femmes car il brûle de désir d’en connaître. Pour cela, il va s’exposer au bord d’un puits qu’il a repéré près duquel plusieurs filles viennent chercher de l’eau. L’une d’elle le voit et crie, il se cache dans le puit mais un homme le trouve et prétextant être un étranger de haute naissance et inventant toute une histoire, celui-ci le laisse partir avec seulement quelques réprimandes. Le récit est assez bref, il est à l’imparfait et au passé simple, il n’y a pas beaucoup de détails. Il y a présence d’analyse car l’auteur explique les attitudes et impressions des personnages. Le registre du récit est courant et la tonalité est ironique. Dans cette confession, le lecteur est confident de Rousseau car celui-ci explique tout son désir de rencontrer des femmes mais il est aussi son témoin car la scène est décrite de telle manière que le lecteur a l’impression de la voir se jouer devant lui et peut contempler les réactions des femmes face à Rousseau.
Seconde confession. La seconde expérience dans le cadre d’une confession est lorsque Rousseau observe les étoiles alors qu’il est malade. Il vit chez Madame de Warens. Il est habillé de telle manière que les voisins le prennent pour un sorcier et préviennent les jésuites qui les rassurent et leur disent que c’est faux. Le récit est à l’imparfait et au passé simple, il est assez bref et ne comporte pas beaucoup de détails. L’auteur analyse le comportement des voisins face à son apparence et à leurs observations. Le récit est écrit dans un registre courant et à une tonalité humoristique. Dans cette confession, le lecteur est témoin car il assiste à la scène et peut pratiquement voir la réaction des voisins de Rousseau. Il est possible d’identifier un véritable plaisir de raconter chez le narrateur grâce aux nombreux détails qu’il donne, à la tonalité qu’il utilise et à la manière dont il raconte les faits et évènements de sa vie. Les objectifs de Rousseau.
Les objectifs que Rousseau s’était fixés sont : - faire un portrait de lui - faire un témoignage de la misère humaine ainsi qu’une justification. Je pense que Rousseau a atteint ses objectifs dans ces six premiers livres car il réussit à dresser un portrait de lui-même, même si personne ne peut savoir s’il est fidèle à l’auteur. Quant à dresser un témoignage de la misère humaine, je pense également que cet objectif a été atteint car je pense que peux de gens ont connu un tel destin : de ne jamais savoir quoi faire, tomber amoureux de chaque femme qu’il rencontre, changer de métier comme de chemise et avoir autant de problèmes en une seule vie. Malgré cela, je pense que c’est un bon témoignage d’une vie et un portrait assez réaliste.
Sources : La biographie de Jean-Jacques Rousseau provient de l’Encyclopédie Encarta.
 

rousseau

« littérature du siècle suivant, à tel point que Rousseau est généralement considéré comme l'un des précurseurs duromantisme.L'écriture des Confessions est liée à deux événements :- le 27 décembre 1764, à Genève apparaît le libelle anonyme Sentiment des citoyens qui révèle que Rousseau aabandonné ses enfants.- Le 31 décembre 1764, Rousseau reçoit ce libelle qu'il attribue faussement au pasteur Vernes, alors qu'il est devoltaire.

Rousseau décide d'écrire Les Confessions.Le mot « confession ».Les différents sens du mot confession sont :- l'aveu de ses péchés à un prêtre catholique- la déclaration que l'on fait d'un acte blâmable- l'action de faire profession de sa foi religieuse- montrer son appartenance à une religion. Avant Rousseau, ce titre avait déjà été choisi par Saint Augustin pour ses « Confessions ».Les connotations de ce mot sont religieuses d'une part et péjorative d'une autre part car on avoue ses fautes. II.

Parcours thématiques Parcours 1 : Expériences et éducation. 1) Première confession.La première expérience choisie dans le cadre d'une confession est lorsque Rousseau est en pension chez lesLambercier à Bossey.Monsieur Lambercier a fait planter un noyer près de la terrasse pour l'ombrager et Jean-Jacques et son camaraded'étude trouvent qu'il serait amusant et glorifiant pour eux de planter eux aussi un arbre près de la terrasse.

Ilscoupent une bouture à un jeune arbre et creusent un bassin au pied de leur arbre et au pied du noyer puis fontpasser une rigole entre les deux afin que l'eau du noyer aille arroser leur arbre.

Mais Monsieur Lambercier découvre lasupercherie mais ne dit rien et rit même avec sa sœur. Le récit correspond à une confession car Rousseau raconte cet évènement de sa vie en expliquant ses sentiments,ses impressions et ses pensées lors de ce moment dont il narre l'histoire.

Les actions présentées sont répréhensiblescar ils auraient dû demander l'autorisation de planter un arbre à Monsieur Lambercier qui ne leur aurait certainementpas refusée de plus, au lieu de creuser un bassin, ils auraient dû arroser eux-mêmes leur arbre au lieu de voler l'eaudu noyer.Rousseau présente cette petite histoire comme une horrible tragédie alors qu'il ne s'est pratiquement rien passé.

Ilexagère un peu les faits et les conséquences de leur acte.

Il explique sa conduite en prétextant un mouvement devanité et un excès d'orgueil.

Ils acceptent tous les deux les responsabilités de leur acte mais ne sont pas déçuslorsque Monsieur Lambercier détruit leur œuvre car il ne leur dit rien et ne leur fait pas de reproches.Dans cette situation, on peut dire que le camarade de Rousseau, en ayant la même idée que lui, contribue à faireexécuter son projet à Jean-Jacques.

On peut aussi dire aussi que si cet ami n'avait pas été là, peut-être qu'il n'yaurait pas eu de bouture d'arbre de plantée.

On peut donc dire que la présence de quelqu'un près de soi peutencourager à faire des choses que l'on ne ferait pas seul et que quelques fois s'il nous reste des réticences face àcertaines choses, la présence d'une personne nous les enlève toutes. 2) Seconde confession.La seconde expérience choisie dans le cadre d'une confession est lorsque Rousseau devient apprenti chez ungraveur, Monsieur Ducommun.

Cet emploi lui plait beaucoup.Le maître surprend Jean-Jacques entrain de fabriquer des médailles, pour ses camarades et lui, devant leur servird'ordre de chevalerie.

Monsieur Ducommun croit qu'il s'entraîne à faire de fausses pièces de monnaie et le roue decoup.

» La tyrannie de son maître l'a rendu insupportable ».Le récit correspond à une confession car Rousseau raconte cette histoire en expliquant ses intentions, ses motifs etses sentiments lors de cet évènement.

Les actions présentées sont répréhensibles car il aurait dû demander lapermission à son maître avant de graver ces médailles.

De plus, avec les armes de la République gravées dessus, onpeut aisément comprendre que Monsieur Ducommun ait pris les médailles pour de fausses pièces de monnaie et ainsion peut comprendre son emportement vis-à-vis de son apprenti. Rousseau présente cette aventure comme une sorte de malentendu.

Ce n'est pas sa faute, c'est son maître qui n'apas compris ce qu'il voulait faire et qui ne lui a pas laissé le temps de s'expliquer correctement.

A partir de cettehistoire, Rousseau dit que la brutalité de son maître est la cause de l'apparition chez lui de vices comme lemensonge, le vol et l'effronterie.

Il rejette sa faute sur son maître en quelque sorte et l'accuse de ses erreurs.

Ilexplique sa conduite en prétextant un malentendu entre le maître et l'apprenti.On peut dire, dans cette situation, que parfois un excès de gentillesse ou de bonnes intentions peut conduire à fairedes erreurs grossières sans s'en rendre compte.

Ainsi en voulant faire une surprise à ses amis, mais peut-être aussien voulant se faire bien voir d'eux, son excès de confiance lui a fait faire une bêtise qu'il n'aurait pas faîte s'il avaitplus réfléchi avant de se lancer dans son projet ou s'il en avait parlé à son maître avant de le commencer.. »

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