Frédéric Melchior Grimm
Publié le 22/02/2012
Extrait du document
1723-1807
Il écrit beaucoup mieux que Fréron, mais il est loin d'avoir sa courageuse indépendance. Et sa Correspondance littéraire, philosophique et critique ne parut qu'après sa mort, étant dans le principe une correspondance privément adressée à des souverains étrangers, qui l'appointaient pour cela. C'est une mine de renseignements pour l'histoire de l'époque. “ Lancé ” par Voltaire à l'occasion de son Petit prophète de Bochmischbroda (1753), vilipendé par Rousseau qui avait d'ailleurs à se plaindre de lui, constant ami de Diderot qui l'aida dans sa Correspondance, c'est une figure plus brillante que sympathique et curieusement représentative d'un certain cosmopolitisme : ce critique français, né à Ratisbonne, mourut à Gotha, après avoir rempli des missions diplomatiques pour la Russie et pour la ville libre de Francfort.
Liens utiles
- GRIMM, Frédéric Melchior (1723-1807) Lancé par Voltaire à l'occasion de son
- GRIMM, Frédéric Melchior (1723-1807) Lancé par Voltaire à l'occasion de son
- GRIMM (Frédéric Melchior, baron de)
- GRIMM, Frédéric Melchior
- Argenson, marquis d'F183A Calonne, Charles Alexandre deF183C Grimm, Frédéric MelchiorF183D L'Averdy, Clément Charles