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Citations avec alentour, adverbe

Publié le 12/01/2015

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Définitions de alentour, adverbe PhonétiqueAfficher l’API alentour [alâtur] Étymologie IXe XXIe s. XIVe De à l’entour ; du latin tornus, ‘tour’ au sens de ‘instrument’. Indice de fréquence : 44 assez fréquent Parmi les 20 000 mots les plus fréquents. Recherches par critères Définition contient alentour Rime avec alentour Anagrammes de alentour Dans l’espace avoisinant; autour, à proximité. Il n’y avait personne alentour. Les écoles alentour. D’alentour : des alentours. Produits des fermes d’alentour.Dans l’intérieur de la vallée, les mêmes cyprès règnent alentour. Florian, Galatée : pastorale imitée de Cervantès, Gallica Quand l’épervier se lamente - devant son nid vide, - les étourneaux voltigent alentour, - insultant à sa douleur. Prosper Mérimée, Colomba, ABU, la Bibliothèque universelle Les deux oiseaux de proie voltigeaient alentour, et d’autres arrivaient aussi. Thomas Mayne Reid, les Chasseurs de chevelures, traduction d’Allyre Bureau, Projet Gutenberg Le bruit de ce miracle se répandit tout alentour, et les dames d’Amiens firent des quêtes pour le Christ de Saint-Valéry. Anatole France, Crainquebille, Putois, Riquet et plusieurs autres récits profitables, ABU, la Bibliothèque universelle Il rôdait alentour, pour me transmettre par signes convenus quelque rendez-vous d’Aziyadé, et je tremblais d’impatience en songeant à la nuit qui allait venir. Pierre Loti, Aziyadé, ABU, la Bibliothèque universelle En montant sur la petite falaise, on n’apercevait âme qui vive, dans la plaine un peu nue et désolée qui s’étendait alentour. Pierre Loti, les Désenchantées, Projet Gutenberg Observant la surabondance alentour, Bernarda y reconnut une puissance absolutiste, barbare, et ne put réprimer un sentiment d’oppression. Aline Apostolska, Neretva, Québec Amérique On jetait des coups d’½il alentour, on échangeait des regards dans la première lueur du matin. Guy Gavriel Kay, le Feu vagabond, Québec Amérique Il regarda alentour s’il pouvait espérer un quelconque secours. Maryse Rouy, les Jardins d’Auralie, Québec Amérique

« comment vivait un tel en­ semble et comment il faisait vivre la région alentour .

» En des temps où les salaires étaient payés en nature, les réserves et les cuisines ne fournissaient pas seulement les offrandes.

Elles servaient aussi à rémunérer les artisans du village de Deir el-Bahari pour la construct ion et l'en­ tretien des tombes et des temples .

» Des documents datant de la xx · dynastie re­ latent ainsi les grèves et les manifestations de ces fonc­ tionnaires royaux qui vien­ nent réclamer leurs arriérés de salaire aux portes des temples de millions d'années, notamment à la porte sud du Ramesséum », raconte Chris­ tian Leblanc.

Le temple de la Reine blanche T andis que les cuisines sor­ tent du sol, de l'autre cô­ té de l'enceinte, à la limite nord du complexe écono­ mique, une autre équipe tra­ vaille sous la direction de l'égyptologue Monique Nel­ son et accumule, elle aussi, les trouvailles.

Cette zone est connue co m­ me celle du temple de la « Reine blanche ».

C'est là, en effet, que l'archéo logue britannique Petrie découvrit en 1898 une magnifique sta­ tue de femme qui, depuis, a été identifiée comme étant celle de Méritamon, fille et grande épouse royale de Ramsès Il.

Mais, au lieu d'un temple, l'équipe d'ar chéo­ logues a découvert tout un enchevêtrement de struc­ tures .

« En fait, explique Mo­ nique Nelson , la statue de Mér itamon se dressait sans doute à l'origine dans le Ra­ messéum .

Elle a été traînée et détruite ici à un moment ou un autre de son histoire .

» Sous la pioche des archéo­ logues, la zone nord révèle peu à peu son histo ire : elle fut durant un millénaire une. »

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