CHIRoN
Publié le 28/08/2013
Extrait du document
Greek A CENTAUR of great wisdom and kindness, friend of both humans and gods. Possibly the son of CRONUS and Phylira, Chiron lived on Mount PELION in THESSALY. He received his education from the divine twins, APOLLO and ARTEMIS. In turn, the gods entrusted him with the education of ASCLEPIUS, god of healing, and the heroes JASON and ACHILLES.
HERACLES inadvertently wounded Chiron during a brawl with the centaurs, who were mostly wild and unruly. Heracles rushed to the side of Chiron but there was nothing either he or Chiron could do, for the arrow of Heracles had been dipped in the poisoned blood of HYDRA, the many-headed water serpent. Since Chiron was immortal, he was doomed to suffer eternal pain. ZEUS solved the dilemma by allowing Chiron to confer his immortality on PROMETHEUS in return for the peace of dying. Zeus then placed Chiron in the heavens as part of the SAGITTARIUS or Centaurus constellations.
Chiron, half human and half horse, represented ancient wisdom. He was the symbol of the wild horse, full of strength, tamed to be of enormous help to humans.
«
d’une réponse aux questions posées.
Pyrrhus s’exprime comme un héros tragique confronté a un terrible dilemme.
Ce discours est formulé sous forme de questions, il veut donc persuader et convaincre Andromaque de
devenir sa femme tout en faisant du chantage.
En réaction au chantage grotesque de Pyrrhus , Andromaque lui répond
par le biais d’un réquisitoire dans lequel , elle accuse le personnage de Pyrrhus et lui fait ressentir de la
honte.
C’est a présent au tour d’Andromaque de convaincre le roi .Elle réplique par des questions, a valeur oratoire
pour persuader Pyrrhus, elle répond « Non, non » (au vers 305) et elle tente de préserver la vie de son fils
sans accepter les conditions que lui pose le roi « Sans me faire payer son salut de mon cœur ».
Elle veut
qu’il sauve son fils, pour cela elle utilise des arguments censés le ramener à la raison tout en l’accusant.
Andromaque tente de susciter chez Pyrrhus un sentiment de honte, « qu’un cœur montre tant de faiblesse »
, « Passe pour le transport d’un esprit amoureux ».
Andromaque tente également de faire passé Pyrrhus pour un roi cruel et sans pitié avec notamment le
champ lexical de la violence et de l’injustice «vous prononcerez un arrêt si cruel » ;« vos coups » ; « le
sang » ; « combattre encor vos cruautés » …tous cela étant responsable du malheur qu’endure Andromaque
.
Les questions d’Andromaque remette donc en question Pyrrhus et peuvent faire apparaître chez celui ci un
sentiment de doute « Faut -il qu’un si grand cœur montre tant de faiblesse ?»
A ceci s’ajoute une perte d’honneur et la mise en évidence de la faiblesse du roi .
De plus le nom « seigneur », résume sa fonction de roi en manque de sentiments et de pitié.
Les répliques de l’héroïne sont de véritable plainte, son objectif
est de susciter la pitié de Pyrrhus tout en le tenant à distance.
Le registre pathétique est utilisé ici pour
obtenir la liberté de son fils mais également sa propre liberté.
L’interjection « Hélas ! » est caractéristique de la plainte et suscite la pitié.
Elle utilise aussi le domaine des sentiments avec la relation maternelle d’une mère envers son fils pour
l’attendrir », « les larmes de sa mère », v.
277 –278..
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