Aristote, La politique Résumer des chapitres 1 à 5 du premier livre Livre 1
Publié le 21/07/2010
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1 - Aristote nous parle dans le premier chapitre de la cité et explique qu'elle est une sorte communauté indépendante, automne et coutume. Mais également, que cette vie sociale fonctionne car elle est organisée "en vue" d'un bien. En effet, cela permet aux individus de la société d'aller vers un but commun à la cité et donc d'agir pour la communauté. Ensuite, le philosophe nous explique plus précisément ce qui différencie une cité d'une communauté simple. En effet, il nous montre que la cité est un degré au dessus de la communauté, la cité est politique, « la plus haute de toutes et englobe toutes les autres «. Dans le deuxième paragraphe, il nous dit qu'il existe de degré de différences entre les chefs. En effet, il y a une caractérisation plus profonde par rapport à la pensée commune, l'homme est ou chef de famille ou chef politique mais pas les deux. Il y a donc une idée de nature, l'homme est dés sa naissance, pas avec l'expérience (nombres de personnes qu'il gouverne), un chef particulier. Le troisième paragraphe : le philosophe explique comment il a fonctionné (méthode). Il part en effet d'une idée complexe, « composée « jusqu'aux éléments simple et presque incohérent. Plutôt c'est bien ce qu'il a appliqué, il est partie de l'Idée de la cité, donnée compliquée puisqu'établie sur de nombreuses organisations sociales, pensées sociales, pour en tiré des vérités (les différentes autorités) et montrer que le peuple se trompe.
2 - Il existe une union qui forme une première étape pour créer la famille ensuite : le couple. Il compare l'union nécessaire de deux êtres (femelle et mâle : pour la procréation) à l'union du commandé et du commandant afin de montrer le caractère à la fois naturel et nécessaire pour la vie. En effet, il y a une idée de réciprocité, de « conversation commune « à la fois naturel et comme inévitable. Il affirme d'abord idée de nature en approfondissant : celui qui n'est avec une grande intelligence est inévitablement le maître, le chef et celui qui à la force du corps est l'esclave. Afin de montrer la pertinence de la fonction unique pour l'homme, il va prendre l'exemple du couteau Delphes qui lui semble inutile (le couteau) mais aussi des barbares. En effet, il dit que les barbares confondent esclave et femme car euxmêmes sont esclave : il y a une esclave femelle et un esclave mal. Aristote nous montre donc que chaque individu à sa propre nature : les grecs sont chefs, les être de corps sont esclave et barbare et les femmes sont esclaves de la procréation. Puis Aristote, après avoir analysé le caractère de ces individus nous dit qu’ils font partie, comme nous l'avons dis au début, du premier stade de la famille, « Une maison en premier lieu, ainsi qu'une femme et un bœuf de labour «. C'est ces individus qui prodiguent à la famille ce dont ils ont besoin, ce sont des instruments quotidiens. Ensuite nous trouve la deuxième étape est une première communauté : le village (composé de plusieurs familles - « extension de la famille «). Et c'est ici qu'Aristote explique la naissance de la monarchie, dans un peuple (plein de consanguinité « sucé le même lait «) c'est toujours l'homme le plus âgé, surement le plus sage qui contrôle le village. Il nous dévoile ensuite ces intérêts à la fois pour permettre un équilibre économique mais aussi une bonne qualité de vie. Puis, il nous montre ensuite que la cité est la fin, l'essence de la communauté. Pour prouver cela il donne l'exemple de l'homme et du cheval : ils ont bien comme cause final la cité après avoir été dans une communauté et dans une famille (causalité nécessaire ou encore causalité des causes). Ensuite, il nous dit que tous ces éléments soulevés nous montrent que la cité est faite de beaucoup de réalités, d'éléments complexes et révèle même la nature des choses : l'homme est un animal politique, c'est la cité (communauté politique le dévoile). Afin de mettre en avant son idée, il nous dit qu'il existe certains individus appartenant pas aux cités et qui sont alors esclaves et hors de l'humanité (contre la nature humaine). Aristote revient ensuite à l'homme politique et nous dit qu'il n'est pas née du hasard, que la nature est un art immanent qui lui à donné cette essence. Il prend l'exemple de la parole, de la voix : l'homme est le seul être vivant à parler. Il lui a donc accordé une intelligence particulière : le discours lui sert à dire tous et son contraire et pas seulement des sentiments vitaux. C'est là qu'Aristote fait surgir l'idée de morale, il nous dit que c'est ces sentiments qui engendrent les idées de famille et de cité. La cité est donc bien nature puisqu'elle est créée par celle-ci grâce au pouvoir de l'homme. Part la suite, il nous parle de la construction établit autour de la cité, de l'état. En effet, pour Aristote la cité est comme l'esprit qui dirige un corps (celui-ci est la famille, les communautés et les villages). Toutes éléments à une fonction mais il est relier par une chose supérieur car sinon il n'aurait pas d'intérêt « main morte «. En outre, il nous dit aussi qu'il existe des hommes qui n'appartiennent pas à la cité, et eux sont où des brutes ou des Dieux. Dans le dernier paragraphe, il nous dit qu'il y a deux côtés à la puissance de l'homme, à la fois il est capable en créant la communauté d'une grande vertu et de prudence, mais il est capable d'être très dangereux. Il y a donc la complexité de l'homme qui est mit en avant ici. Mais Aristote nous montre aussi que des choses se créent dans la cité ; la justice engendrant la politique. 3 - Dans le premier paragraphe, Aristote nous parle de l'économie domestique qui se divise en branches selon les individus présents dans la famille. Dans une économie domestique complète on trouve à la fois des esclaves et des hommes libres. Le philosophe, ensuite, s'efforcer à analyser toutes les groupes et les relations naturelles qui les caractérises (maître et esclave, homme et femme puis père et enfant). Mais il existe un autre type de relation au cœur l'art qu'acquérir des richesses (chrématistique), ce sont les rapports entre la famille et les biens destinés à assurer sa subsistance, et les talents intellectuels qui s'y rattachent. C'est alors qu'Aristote s'attache à analyser la relation entre maître et esclave. D'abord premiers points de vue : certains croit que le maître a tous les pouvoirs (royale, politique) -confondent la nature des chefs- sur l'esclave, et certains croit que le pouvoir sur l'esclave est contre nature (les sophistes). Aristote nous montre que ce sont seulement des idées conventionnelles : il n'y a pas de différence de nature. 4- Dans cette partie il nous montre sa thèse, Dans l'économie domestique chacun à sa propre tâche (exemple de l'artisan, il est nécessairement en possession des instruments qui lui servent dans sa propre tâche) pour atteindre la cause final (cité, Souverain Bien). Il nous montre que le chef de famille possède lui aussi des instruments et c'est l'esclave qui est un de ces instruments premiers. En effet, il est un instrument d'action, qui anime les choses qui l'entour, et c'est essentiellement pour le bien d'autrui afin de permet l'homme d'être libre. Ensuite Aristote parle du terme de propriété, l'esclave est aussi, comme on la vue toute à l'heure, une partie d'un tout et l'intelligence est le mettre, lui il est le corps. En effet, il est donc la propriété, la chose de l'homme libre. Et c'est bien grâce à cette esclave, cette propriété que l'homme peut être libre et qu'il peut former les un ensemble, un tout. C'est pourquoi le maitre est seulement maitre et l'esclave n'est pas seulement esclave mais la partie d'un tout, la dépendance d'un être supérieur. Aristote nous révèle donc la nature de l'esclave et ce dont il est capable (sa potentialité). Il n'appartient pas à lui-même même s'il est un homme de qualité, il ne sert qu'à être un instrument d'action et lier à un propriétaire. 5 - Dans le premier paragraphe, Aristote remet en question les thèses cités dans le chapitre 3 : il se pose des questions sur l'esclavage. Il apporte ensuite une réponse claire : résumer par l'idée de nature : l'esclavage est une loi universelle et naturelle. La nature a en effet dés le début séparé les choses, les réalités. L'autorité est nécessaire pour garder une communauté, atteindre le Souverain bien (pour que le travail soit bien fait, il faut un esclave). Le dominant et le dominé guide en effet vers une œuvre commune déterminé par nature. L'argument de la nature est encore une fois lier au corps et à l’âme, le dirigeant est l'homme qui possède une âme et le corps est l'esclave. Il prend pour exemple les gens vicieux pour montrer ces idées : le corps commande et non l'âme : il y a une idée de perversité, Alors que pour les hommes politiques et libre c'est l'âme en toutes tranquillité qui gouverne le corps. Une idée claire de hiérarchie dans la cité, tous ne peuvent pas être des hommes libres. Aristote nous montre que l'utilité de la subordination du corps à l'âme et que la partie affective à l'intellect ne peut être que dangereux. Il faut donc séparer ces deux notions, il doit y avoir un supérieur deux un duo (ex du mâle et de la femme, le mâle à une nature supérieur). Il est donc préférable pour l'esclave naturelle d'être gouverné pour à la fin être conserver et pour servir la cité. L'esclave est donc par nature celui qui appartient quelqu'un mais qui possède aussi un semblant de raison. Toutefois Aristote nous dis qu'il existe (même s'il peut exister des ratés un homme libre qui aurait le pouvoir du corps et un esclave qui pourrait avoir le pouvoir de l'âme) une différence physique et intellectuel entre l'esclave et l'homme libre. L'esclave est souvent fort et peut perspicace alors que l'homme libre et plus frêle et droit. 6- Dans cette partie Aristote nous dit que les termes « être esclave « ou « esclave « sont pris en deux sens, un positif dont il nous a parlé au paravent et un négatif. En effet, le négatif est la loi qui donne un accord général pour dire que tous prisonniers de guerre fait esclave doit le rester. C'est là que Aristote nous montre que c'est un droit très contestés par certains juristes (ils trouvent monstrueux qu'un homme libre, par la force, puisse devenir esclave). Et il nous montre aussi que le débat va plus loin : et qu'il existe deux théories qui se contredisent. Aristote nous montre alors que tous ces individus confondent le lien entre la vertu et la force et la justice. La vertu quand elle est puissance exploite la force, il y a une réciprocité. Pourtant le débat oppose deux idées basés sur la notion de la justice ; certaine pensent que celle-ci consiste dans la « bienveillance mutuelle « et d'autre qu'elle est basé sur la « loi du plus fort «. Puisque ces deux théories son diamétralement opposées, Aristote nous montre qu'elles n'ont plus de sens. Pourtant, il nous dit que certain admette quand même que le droit général qui dit que l'esclavage par la guerre est juste. Et c'est en se contredisent qu'ils nous amènent à la philosophie d'Aristote. En effet, il montre que le droit est injuste quand se sont des hommes libres qui sont fait prisonnier quand on pensant à l'esclavage naturel. Et nous montre que par cette pensée il trouve son idée : un être capable de noblesse et éprouvant de façon absolue et l'autre qui n'en est pas capable. Aristote nous amène donc à dire que ce débat nous amène à réfléchir sur la nature des choses, sur la distinction qu'elles ont entre elles et les bien fait que la nature apporte (esclave née esclave, l'homme libre née homme libre). Et il revient encore sur l'idée de corps et d'âme, d'union de deux être (maitre et esclave) pour n'en formé qu'un. 7 - Il fait une différence entre le pouvoir du maitre sur l'esclave et le pouvoir du chef politique sur toutes les autorités existantes (l'une adressé à des hommes libres -famille-, l'autre à des esclaves tant dis que pour la politique ce sont pour des hommes libres et égaux). Il existe une science du maitre et une science de l'esclave : d'abord pour esclave devoirs domestiques (comme quand on enseigne à un animal des choses) et pour le mettre c'est l'utilisation de l'esclave. Schéma pour aider 1 : Famille :: réalisation après couple maître/esclave et homme/ femme → 2 : Village → 3: Communauté → 4 : Cité (politique)
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Dans cette partie il nous montre sa thèse, Dans l'économie domestique chacun à sa propre tâche (exemple del'artisan, il est nécessairement en possession des instruments qui lui servent dans sa propre tâche) pour atteindre lacause final (cité, Souverain Bien).
Il nous montre que le chef de famille possède lui aussi des instruments et c'estl'esclave qui est un de ces instruments premiers.
En effet, il est un instrument d'action, qui anime les choses quil'entour, et c'est essentiellement pour le bien d'autrui a fin de permet l'homme d'être libre.
Ensuite Aristote parle duterme de propriété, l'esclave est aussi, comme on la vue toute à l'heure, une partie d'un tout et l'intelligence est lemettre, lui il est le corps.
En effet, il est donc la propriété, la chose de l'homme libre.
Et c'est bien grâce à cetteesclave, cette propriété que l'homme peut être libre et qu'il peut former les un ensemble, un tout.
C'est pourquoi lemaitre est seulement maitre et l'esclave n'est pas seulement esclave mais la partie d'un tout, la dépendance d'unêtre supérieur.
Aristote nous révèle donc la nature de l'esclave et ce dont il est capable (sa potentialité).
Iln'appartient pas à lui-même même s'il est un homme de qualité, il ne sert qu'à être un instrument d'action et lier àun propriétaire.
5 - Dans le premier paragraphe, Aristote remet en question les thèses cités dans le chapitre 3 : il sepose des questions sur l'esclavage.
Il apporte ensuite une réponse claire : résumer par l'idée de nature : l'esclavageest une loi universelle et naturelle.
La nature a en effet dés le début séparé les choses, les réalités.
L'autorité estnécessaire pour garder une communauté, atteindre le Souverain bien (pour que le travail soit bien fait, il faut unesclave).
Le dominant et le dominé guide en effet vers une œuvre commune déterminé par nature.
L'argument de lanature est encore une fois lier au corps et à l'âme, le dirigeant est l'homme qui possède une âme et le corps estl'esclave.
Il prend pour exemple les gens vicieux pour montrer ces idées : le corps commande et non l'âme : il y aune idée de perversité, Alors que pour les hommes politiques et libre c'est l'âme en toutes tranquillité qui gouverne lecorps.
Une idée claire de hiérarchie dans la cité, tous ne peuvent pas être des hommes libres.
Aristote nous montreque l'utilité de la subordination du corps à l'âme et que la partie affective à l'intellect ne peut être que dangereux.
Ilfaut donc séparer ces deux notions, il doit y avoir un supérieur deux un duo (ex du mâle et de la femme, le mâle àune nature supérieur).
Il est donc préférable pour l'esclave naturelle d'être gouverné pour à la fin être conserver etpour servir la cité.
L'esclave est donc par nature celui qui appartient quelqu'un mais qui possède aussi un semblantde raison.
Toutefois Aristote nous dis qu'il existe (même s'il peut exister des ratés un homme libre qui aurait lepouvoir du corps et un esclave qui pourrait avoir le pouvoir de l'âme) une différence physique et intellectuel entrel'esclave et l'homme libre.
L'esclave est souvent fort et peut perspicace alors que l'homme libre et plus frêle et droit.
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Dans cette partie Aristote nous dit que les termes « être esclave » ou « esclave » sont pris en deux sens, un positifdont il nous a parlé au paravent et un négatif.
En effet, le négatif est la loi qui donne un accord général pour direque tous prisonniers de guerre fait esclave doit le rester.
C'est là que Aristote nous montre que c'est un droit trèscontestés par certains juristes (ils trouvent monstrueux qu'un homme libre, par la force, puisse devenir esclave).
Etil nous montre aussi que le débat va plus loin : et qu'il existe deux théories qui se contredisent.
Aristote nousmontre alors que tous ces individus confondent le lien entre la vertu et la force et la justice.
La vertu quand elle estpuissance exploite la force, il y a une réciprocité.
Pourtant le débat oppose deux idées basés sur la notion de lajustice ; certaine pensent que celle-ci consiste dans la « bienveillance mutuelle » et d'autre qu'elle est basé sur la« loi du plus fort ».
Puisque ces deux théories son diamétralement opposées, Aristote nous montre qu'elles n'ont plusde sens.
Pourtant, il nous dit que certain admette quand même que le droit général qui dit que l'esclavage par laguerre est juste.
Et c'est en se contredisent qu'ils nous amènent à la philosophie d'Aristote.
En effet, il montre quele droit est injuste quand se sont des hommes libres qui sont fait prisonnier quand on pensant à l'esclavage naturel.Et nous montre que par cette pensée il trouve son idée : un être capable de noblesse et éprouvant de façonabsolue et l'autre qui n'en est pas capable.
Aristote nous amène donc à dire que ce débat nous amène à ré fléchirsur la nature des choses, sur la distinction qu'elles ont entre elles et les bien fait que la nature apporte (esclave néeesclave, l'homme libre née homme libre).
Et il revient encore sur l'idée de corps et d'âme, d'union de deux être(maitre et esclave) pour n'en formé qu'un.
7 - Il fait une différence entre le pouvoir du maitre sur l'esclave et lepouvoir du chef politique sur toutes les autorités existantes (l'une adressé à des hommes libres -famille-, l'autre àdes esclaves tant dis que pour la politique ce sont pour des hommes libres et égaux).
Il existe une science du maitreet une science de l'esclave : d'abord pour esclave devoirs domestiques (comme quand on enseigne à un animal deschoses) et pour le mettre c'est l'utilisation de l'esclave.
Schéma pour aider
1 : Famille :: réalisation après couple maître/esclave et homme/ femme 2 : Village 3: Communauté 4 : Cité(politique).
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