Synode des évêques

« des eg Uses orthodoxes autoc6phales.

Pour lea Eglises protestantes, son aspect democratique, malgr6 ('absence d'une autorite veritable, est plus admissible qua Ia struc- ture pyramidale traditionnelle de I'Eglise romaine. 4 Rassemble le 29 septembre 1987, le premier synode s'est attaque a des problemes fondamentaux : reforme du drolt canonique, reforme des s6minaires, :Worms litur- gigue, mariages mixtes, atheisme contemporain.

II demande qua le nouveau code de droit canon soft soumis aux conferences episcopates avant d'etre promulgue.

II obtlent Ia creation d'une commission Internationale de theologiens (de diverses, tendances).

Le deuxierne synode a lieu on 1989 :a Synode extraordinaire », dana lequel lea confe- rences episcopates sont represented:3 par leur president at non par des delegues 6Ius, et qui eat rassembi6 a en fonction de problemes appelant une solution rapids D. Paul Vi le convoque a la suite des remous provoques par l'encyolique a Humanae Vitae ». 5 Le trolsieme synods se tient en 1971 et porte sur deux themes : sacerdoce ministerial (celibat des pretres, ordi- nation eventuelle d'hommesmaries) ;justicesociale dans le monde, qui donne lieu a un document appeiant les Eglises locales a l'autocritique et a ('action.

Le qua- trlerne synode rassemble 207 participants a Rome, en septembre 1974, autour du theme de ('evangelisation du monde contemporain.

Innovation : le Pasteur Philip Potter, secretaire general du COE, y expose le point de vue des Egilses non cathollques.

D6s 1971, un.

Conseil du secre- tariat du synods (12 a 15 eveques :blue) suit le develop- pement des decisions synodales entre les sessions. II annonce le V° Synode pour 1977 sur le theme de ['even- gelleition et de la leatechese. des Églises orthodoxes autocéphales.

Pour les Églises protestantes, son aspect démocratique, malgré l'absence d'une autorité véritable, est plus admissible que la struc­ ture pyramidale traditionnelle de l'Eglise romaine.

4 Rassemblé le 29 septembre 1967, le premier synode s'est attaqué à des problèmes fondamentaux : réforme du droit canonique, réforme des séminaires, réforme litur­ gique, mariages mixtes, athéisme contemporain.

Il demande que le nouveau code de droit canon soit soumis aux conférences épiscopales avant d'être promulgué.

Il obtient la création d'une commission Internationale de théologiens (de diverses tendances).

Le deuxième synode a lieu en 1969 : « Synode extraordinaire », dans lequel les confé­ rences épiscopales sont représentées par leur président et non par des délégués élus, et qui est rassemblé « en fonction de problèmes appelant une solution rapide ».

Paul VI le convoque à la suite des remous provoqués par l'encyclique « Humanae Vltae ».

5 Le troisième synode se tient en 1971 et porte sur deux thèmes : sacerdoce ministériel (célibat des prêtres, ordi­ nation éventuelle d'hommes mariés) ; Justice sociale dans le monde, qui donne lieu à un document appelant les Églises locales à l'autocritique et à l'action.

Le qua­ trième synode rassemble 207 participants à Rome, en septembre 1974, autour du thème de l'évangéllsatlon du monde contemporain.

Innovation : le pasteur Philip Potter, secrétaire général du COE, y expose le point de vue des Églises non catholiques.

Dès 1971, un Conseil du secré­ tariat du synode (12 à 15 évêques élus) suit le dévelop­ pement des décisions synodales entre les sessions.

Il annonce le Ve Synode pour 1977 sur le thème de l'évan­ géllsatlon et de la catéchèse.. »