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Résumé chapitre 1 du livre Le langage politique de l’islam de Bernard Lewis

Publié le 21/07/2013

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Résumé Le corps politique de l'islam Tiré du livre: Le langage politique de l'islam Auteur: Bernard Lewis Fait par: Hosni Meryem Biographie de l'auteur Bernard Lewis, né le 31 mai 1916 à Londres est professeur d'études du Proche-Orient à l'université Princeton, Spécialiste de l'histoire de l'islam et du monde musulman. Il est l'auteur de nombreux ouvrages dans le domaine tel que: The Arabs in History, Sémites et antisémites, Race et couleur en Islam, etc. Résumé: Ce travail consiste en une étude exhaustive d'un chapitre du livre, le langage politique de l'islam, rédigé par Bernard Lewis et traduit au français par Odette Guitard. Ce chapitre s'intitule le corps politique de l'islam. L'ensemble de l'ouvrage constitue un essai très important pour citer et comprendre le vocabulaire politique utilisé, tout au long de l'histoire de la civilisation islamique. Dans son analyse du discours politique islamique, B. Lewis avait recours, après les sources religieuses (Coran et Hadiths), à une grande partie de l'archive islamique rédigée par différentes classes d'écrivains de la société musulmane (juristes, philosophes, bureaucrates...), pour retracer l'évolution du langage politique islamique de l'époque du prophète Mohammed à nos jours. Par un style clair et fascinant, B. Lewis permet aux lecteurs intéressés par l'histoire politique islamique, de comprendre la manière avec laquelle les musulmans ont conçu leur corps politique, les relations entre gouvernants et gouvernés, la légitimité et l'illégitimité, l'obéissance et la rébellion, la justice et l'oppression. Le corps politique de l'islam B. Lewis débute ce chapitre par une métaphore introduite par l'écrivain Kâtib Celebi, pour expliquer le pourquoi, le comment et les raisons de la situation financière dégradante de l'État Ottoman pendant l'ère du sultan Med IV. Il avait souligné les trois phases de la vie en partant de la croissance pour finir par la mort en passant bien entendu par la maturité et le déclin. Les trois phases du passage des humains correspondent parfaitement à celles des États. Pour prolonger la v...
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« Par un style clair et fascinant, B.

Lewis permet aux lecteurs intéressés par l'histoire politique islamique, de comprendre la manière avec laquelle les musulmans ont conçu leur corps politique, les relations entre gouvernants et gouvernés, la légitimité et l'illégitimité, l'obéissance et la rébellion, la justice et l'oppression. Le corps politique de l'islam B.

Lewis débute ce chapitre par une métaphore introduite par l’écrivain Kâtib Celebi, pour expliquer le pourquoi, le comment et les raisons de la situation financière dégradante de l’État Ottoman pendant l’ère du sultan Med IV.

Il avait souligné les trois phases de la vie en partant de la croissance pour finir par la mort en passant bien entendu par la maturité et le déclin.

Les trois phases du passage des humains correspondent parfaitement à celles des États.

Pour prolonger la vieillesse, cela nécessite une bonne prise en charge médicale pour le corps humain, un bon gouvernement pour le corps politique. L’histoire de la civilisation musulmane qui date de plusieurs siècles est pleine de littérature riche qui s’est intéressées aux fonctions et aux maladies du corps politique, à la nature et aux méthodes d’acquisition de la souveraineté et aux qualités de la bonne gouvernance.

Cette littérature diversifiée s’est développée dans les principales langues du Proche-Orient, l’arabe en premier lieu puis le persan et le turc.

Malgré les différences nettes dans les structures de ces trois langues, l’ossature de la littérature politique islamique reste unifiée et fondée sur les mêmes références, Coran et Sunna.

Contrairement à la civilisation chrétienne qui a commencé par un ensemble de défaites et de destruction dû à plusieurs guerres sans foi ni loi, la gloire et le triomphe étaient le départ de l’islamique.

Et à partir de cet état de fait, il est presque normal que les deux civilisations prennent des chemins différents, voire même opposés.

Pour les premiers théoriciens politiques chrétiens (comme Saint Augustin), le corps politique était considéré comme quelque chose de mauvais du fait qu’il émane de l’Homme et que seule l’Église pourrait garantir le salut.

Ce n’est. »

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