LES PANATHENEES
Publié le 17/01/2022
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I. Les jeux étaient divisés en jeux réservées aux Athéniens et ceux qui étaient ouverts à tous les Grecs. Ces derniers étaient à peu près les mêmes qu’aux jeux aolympiques, avec de la boxe, de la lutte, du pancrace (sport de combats dans lequel tous les coups étaient permis, même des coups mortels), du pentathlon et de la course de chars, l’épreuve la plus prestigieux.
I. Que sont les Panathénées et quand ont-elles lieues ?
II. Comment se déroulent-elles ?
III. Quel est le trajet suivi par la procession ?
«
Les jeux reservés aux Athéniens étaient différents.
Ils incluaient une
course à la torche juqu’au Parthénon, des batailles d’infanterie et de
cavalerie, un lancer de javelot à cheval, une course d’apobatai
(pluriel d’ ἀποϐάτης : c’est l’athlète d’une course de char dans
laquelle le conducteur devait sauter du chariot courir à côté puis
sauter dedans), le pyrriche (des exercices militaires en musiques,
apparemment mais nous ne savons pas exactement ce que c’était)
et l’euandrion (un concours de beauté parmi les athlètes).
Dans les
dernières années il y avait également une course de trières.
Les
vainqueurs sportifs étaient récompensés par une couronne d’olivier
venant des oliviers sacrés d’Athéna, ainsi que des amphores d’huiles
d’olive, de même provenance.
Ces vases appelés
« panathénaïques » ont été retrouvés en grand nombre en Grèce, en
Sicile et en Italie.
Ils comportaient d’un côté une représentation
d’Athéna, de l’autre une illustration de l’épreuve dans laquelle s’était
illustré le vainqueurs.
Les vainqueurs dans le domaine artistiques
remportaient eux une couronne d’or.
Toutes ces épreuves gymniques et artistiques ont lieus durant les
trois premiers jours.
Le point culminant des « grandes panathénées » était atteint le jour
d’anniversaire de la déesse, le 28 du mois, le quatrième jour des
panathénées.
Un long cortège empruntait la voie sacrée, il partait du
quartier des potiers appelé le Cramique, traversaient la place
publique : l’agora et gravissait les pentes de l’Acropole.
Des jeunes
filles (les Ergastines) apportaient, pour revêtir la vieille statue en bois
d’Athéna, le péplos, une tunique sacrée tissées pas les arrhéphors.
La procession comprenait des prêtres et des jeunes filles (les
canéphores) portant les outils du sacrifice, des vieillards portant des
rameaux d’oliviers et des jeunes gens en armure de hoplite, les.
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