Le passage et le rituel de la mort dans le bouddhisme
Publié le 17/01/2022
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Intégrer la mort à la vie fait partie du quotidien tibétain, du moins pour nombre d'entre eux. L'une n'existe pas sans l'autre, et la notion cardinale d'impermanence ou de devenir, autorise à y percevoir la pierre de touche d'une manière d'être. "Tôt ou tard, dit le dalaï-lama, la mort viendra. Y penser et s'y préparer peut se révéler utile quand elle arrive. Si vous croyez juste en cette vie, et n'acceptez pas qu'elle se poursuive, il n'est guère important d'être ou non conscient de la mort. S'il existe une autre vie, il peut être utile d'être prêt
à la mort, car ainsi on est moins effrayé par son processus et l'on ne complique pas la situation par ses propres pensées." Pour le sage tibétain, méditer la mort revient à reconnaître un territoire aux repères incertains.
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