La Bible

« livres de l'Ancien Testament rediges en h6breu (avec quelques passages en arameen) constituentl' ecrIture sainte.

Ces livres sont partages en trois groupes :Ia Tora (Loi ou Pentateuque : les cinq premiers livres, attri- bues a MoIse), les Nevi'im (Prophates) et les Ketouvim (twits, dont le livre des Psaumes).

Les initiales de ces trois mots (T, N et K) Torment le mot Tanakh, qui designe Ia Bible en hebreu.

Les chretiens y ajoutent d'autres livres, ecrits a I'origine en arameen et en grec, que Ies juifs ne considerent pas comme sacres mais qu'ils ont inclus dans leur tradition historique.

Au sein des Eglises chretiennes, sielles s'accordent generalement sur le Nouveau Testament, it y a des divergences notables a propos de l'Ancien :Ies catholiques romains admettent, par exemple, les deux !lyres des Macchabees, qui sont consideres comme apocryphes tant par les grecs-ortho- dozes que par les protestants. 4 Le Tanakh, avec ses commentaires (Mishna et Talmud) et sa tradition orale (Halakha) codifies, est la source de l'hebreu, redevenu langue vivante, et base des lois qui regissent les communautes juives dans is diaspora et en Israel (mariage, heritage, alimentation, repos heb- domadaire, etc.), dans la mesure ou ces Juifs sont pra- tiquants.

A ('exception des ecoles de Ia branche arabe, le Tanakh est la reference de I'enselgnement de la langue dans les ecoles israeliennes.

II y est egalement etudie, de maniere laique, dans le cadre des cours d'histoire, de litterature, de sociologie, etc.

Un contours biblique international annuel a ete tree par David Ben Gourion, sous les auspices des autorit6s laIques, a Jeru- salem, et a demontre que ce ne sont pas toujours les Israellens qui ont la meilleure connaissance litterale de l'Ancien Testament. livres de l'Ancien Testament rédigés en hébreu (avec quelques passages en araméen) constituent l'écriture sainte.

Ces livres sont partagés en trois groupes : la Tora (loi ou Pentateuque : les cinq premiers livres, attri­ bués à Moise), les Nevl'lm (Prophètes) et les Ketouvlm (Écrits, dont le livre des Psaumes).

Les initiales de ces trois mots (T, N et K) forment le mot Tanakh, qui désigne la Bible en hébreu.

Les chrétiens y ajoutent d'autres livres, écrits à l'origine en araméen et en grec, que les juifs ne considèrent pas comme sacrés mais qu'ils ont inclus dans leur tradition historique.

Au sein des églises chrétiennes, si elles s'accordent généralement sur le Nouveau Testament, il y a des divergences notables à propos de l'Ancien : les catholiques romains admettent, par exemple, les deux livres des Macchabées, qui sont considérés comme apocryphes tant par les grecs-ortho­ doxes que par les protestants.

4 Le Tanakh, avec ses commentaires (Mishna et Talmud) et sa tradition orale (Halakha) codifiés, est la source de l'hébreu, redevenu langue vivante, et base des lola qui régissent les communautés juives dans la diaspora et en Israël (mariage, héritage, alimentation, repos heb­ domadaire, etc.), dans la, mesure où ces Juifs sont pra­ tiquants.

A l'exception des écoles de la branche arabe, le Tanakh est la référence de l'enseignement de la langue dans les écoles israéliennes.

Il y est également étudié, de manrère laique, dans le cadre des cours d'histoire, de littérature, de sociologie, etc.

Un concours biblique International annuel a été créé par David Ben Gourion, sous les auspices des autorités laïques, à Jéru­ salem, et a démontré que ce ne sont pas toujours les Israéliens qui ont la meilleure connaissance littérale de l'Ancien Testament .. »