COE

« La 46 assemblee du COE se tient en 1968 a Upsal (Suede) au plus fort, de Ia tragedie biaf raise.

30p.100 des delegues y representent des pays en vole de developpe- ment.

II s'en degage la volonte de comprendre les revo- lutions de notre temps afin de Mink Ia base d'un nouvel humanisme. 4 La 5° assemblee, qui s'est tenue a Nairobi en novem- bre 1975, a essentiellement pone sur le concept d'evan- gelisation dans le monde moderne, sous forme de libera- tion de I'homme (ambiguites du pouvoir, de la technolo- gie, de Ia qualite de la vie), d'engagement politique et social, de promotion de la femme, etc.

C'est par ce biais que s'affirme egalement, pour le COE et l'Eglise catho- lique, la recherche en commun d'une participation a la transformation de da mole*, par-dela les problemes de doctrine et de structures.

Cependant, a Nairobi, le rappel d'une certaine collusion de l'Eglise orthodoxe russe, au niveau de la hierarchic, avec le pouvoir sovietique, a failli otter une rupture grave au sein du COE qui ne peut, a Ia fois, soutenir des mouvements de liberation nationale et oublier le puissant mouvement de dissidence chez les chretiens orthodoxes des pays de I'Est. 5 Les Assembler's, qui reunissent les delegues de plus de 280 Eglises (500 millions de fideles nominaux), ont lieu tous les six ou sept ans et definissent les grandes orientations du COE.

El les elisent un college presidentiel de six personnes et les 120 membres du Comite central qui se reunit tous les ans.

Celui-ci comprend un Comite executif de 16 membres.

Mais c'est le secretaire general (Philip Potter) qui est Ia cheville ouvriere du COE dont II dirige less services centraux et organise le travail. La 4e assemblée du COE se tient en 1968 à Upsal (Suède) au plus fort' de la tragédie biafraise.

30 p.

100 des délégués y représentent des pays en voie de développe­ ment.

Il s'en dégage la volonté de comprendre les révo­ lutions de notre temps afin de définir la base d'un nouvel humanisme.

4 La 5e assemblée, qui s'est tenue à Nairobi en novem­ bre 1975, a essentiellement porté sur le concept d'évan- gélisatlon dans le monde moderne, sous forme de libéra­ tion de l'homme (ambiguïtés du pouvoir, de la technolo­ gie, de la qualité de la vie), d'engagement politique et social, de promotion de la femme, etc. C'est par ce biais que s'affirme également, pour le COE et l'Eglise catho­ lique, la recherche en commun d'une participation à la transformation de la société, par-delà les problèmes de doctrine et de structures.

Cependant, à Nairobi, le rappel d'une certaine collusion de l'Eglise orthodoxe russe, au niveau de la hiérarchie, avec le pouvoir soviétique, a failli créer une rupture grave au sein du COE qui ne peut, à la fois, soutenir des mouvements de libération nationale et oublier le puissant mouvement de dissidence chez les chrétiens orthodoxes des pays de l'Est.

5 Les Assemblées, qui réunissent les délégués de plus de 280 Eglises (500 millions de fidèles nominaux), ont lieu tous les six ou sept ans et définissent les grandes orientations du COE.

Elles élisent un collège présidentiel de six personnes et les 120 membres du Comité central qui se réunit tous les ans.

Celui-ci comprend un Comité exécutif de 16 membres.

Mais c'est le secrétaire général (Philip Potter) qui est la cheville ouvrière du COE dont il dirige les services centraux et organise le travail.. »