« Christian Science Monitor »
Publié le 17/01/2022
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Le quotidien américain « Christian Science Monitor « (Boston) figure, malgré un tirage relativement faible, parmi les journaux les plus influents du monde. Distribué dans 120 pays, il est souvent sur le bureau des chefs d'Etat. Créé en 1908 par Mary Baker Eddy, fondatrice de l'Eglise scientiste chrétienne (mouvement spiritualiste mettant l'accent sur la guérison des maladies par la foi), qui entendait réagir contre le journalisme souvent marron....
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en vingt langues, notamment a The Sentinel
et surtout
le «
Christian Science Journal ».
Pub lied'abord tres
modestement sur huit pages, le a Christian Science Moni-
tor s'est transforms rapidement en quotidien national
(ce que memo le New York Timesn'est pas), avec
quatre editions aux Etats-Unis (Californie, Middle West, Est, Nouvelle-Angleterre) et une it Londres.
5 Son existence a cependant ete menacee a cause de
son refus de tout sensationnalisme et de son austerite redactionnelle.
Le « Christian Science Monitor a d0 alors
faire appel a de bons techniciens de Ia presse, en pare-
culler W.
Abbot, de Ia chaine Hearst, pour se restructurer.
Son tirage, tombe a moins de 20 000, atteint 300 000 exem-
plaires en 1976, ce qui le met permi les trente premiers
de Ia presse americaine.
Depuis 1965, it
a double les
effectifs de sa redaction, elargi Ia liste des sujets traites
et multiplie ses correspondents a retranger (Londres,
Paris, Bonn, Le Caire, Hong Keng, etc.).
6 Le a Christian Science Monitor » ne compte qu'une
vingtaine de pages, d'une grande Made typographique.
Des articles complets (sans a tournes* vers les pages
interieures) occupent la une, ainsi qu'une synthese des
grandes nouvelles dujour.
II
publie de nombreuses
rubriques (financiere, sportive, feminine, artistique, etc.).
Propriete de Ia First Church of Christ, Scientist, Boston
(Premiere Eglise du Christ, scientiste,
appelee I'Eglise
mere) depuis 1921,itvolt son avenir assure par un
efflux constant de publicite que lui envient bien d'autres
journaux : 28 000 annonceurs par an.
en vingt langues, notamment « The Sentinel » et surtout
le « Christian Science Journal ».
Publié d'abord très modestement sur huit pages, le « Christian Science Moni
tor » s'est transformé rapidement en quotidien national (ce que même le « New York Times »
n'est pas), avec
quatre éditions aux Etats-Unis (Californie, Middle West, Est, Nouvelle-Angleterre) et une à Londres.
5 Son existence a cependant été menacée à cause de son refus de tout sensationnalîsme et de son austérité rédactionnelle.
Le « Christian Science Monitor » a dû alors
faire appel à de bons techniciens de la presse, en parti culier W.
Abbot, de la chaîne Hearst, pour se restructurer.
Son tirage, tombé à moins de 20 000, atteint 300 000 exem plaires en 1976, ce qui le met parmi les trente premiers
de la presse américaine.
Depuis 1965, il a doublé les
effectifs de sa rédaction, élargi la liste des sujets traités
et multiplié ses correspondants à l'étranger (Londres,
Paris, Bonn, Le Caire, Hong Kong, etc.).
6 Le « Christian Science Monitor » ne compte qu'une
vingtaine de pages, d'une grande clarté typographique.
Des articles complets (sans «tournes» vers les pages intérieures) occupent la une, ainsi qu'une synthèse des
grandes nouvelles du jour.
Il publie de nombreuses rubriques (financière, sportive, féminine, artistique,
etc.).
Propriété de la First Church of Christ, Scienfist, Boston
(Première Eglise du Christ, scientiste, appelée l'Eglise mère) depuis 1921, il voit son avenir assuré par un
afflux constant de publicité que lui envient bien d'autres
journaux : 28 000 annonceurs par an..
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