55 résultats pour "vivons"
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Pourquoi vivons-nous le malheur comme une injustice ?
A. Schopenhauer, Le Monde comme volonté et comme représentation : « C'est bien l'idée que nos maux sont accidentels qui leur donne leur aiguillon » : le malheur est d'autant plus scandaleux qu'il n'est pasessentiel, qu'il ne traduit aucune nécessité ; c'est en cela que nous le vivonscomme une injustice : l'expérience de la contingence nous insupporte parcequ'elle témoigne d'une erreur , d'un processus finalisé entravé. c) ... et ce qui devait ne pas arriver L'injustice prop...
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Pourquoi vivons-nous le malheur comme une injustice ?
L'injustice propre au malheur est parfaitement représentée par le personnage biblique Job, le juste persécuté. De même Sade s'amusera de ce paradoxe en intitulant deux de ses ouvrages « les infortunes de la vertu » et « lesprospérité du vice » : tout se passe comme si la bonté n'était pas récompensée mais au contraire, cruellementréprimée. Telle est ce qui s' appelle être victime : subir un malheur sans en être responsable. Injustice = déséquilibre ou écart flagrant entre le mal moral (commi...
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Dans quel monde vivons-nous ?
Il est quand même bien vrai que sans la sensation il n’y aurait pas de connaissance parce que la conscience n’aurait rien à appréhender. Mais en même temps la perception n’est pas seulement une sensation, car si la sensation me présente une qualité sensible, c’est bien la perception qui m’apporte un « objet », quelque chose ayant une forme objective repérable dans l’espace. Donc la perception est un phénomène de conscience g...
- Pourquoi vivons-nous ensemble ?
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RAMBOUILLET (Catherine de Vivonne, marquise de)
Powered by TCPDF (www.tcpdf.org)La marquise de Rambouillet (1588-1665) Catherine de Vivonne naît à Rome en 1588. Elle est la fille de l'ambassadeur de France Jean de Vivonne, marquis dePisani, et de Julie Savelli, une dame italienne. A l'âge de 12 ans, elle épouse Charles d'Angennes, marquis deRambouillet. Belle et pleine d'esprit, la jeune femme ne tarde guère à briller à la cour d'Henri IV. Elle conservecependant la nostalgie des raffinements de la vie italienne. La cour fr...
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Vivons-nous tous dans le même monde ?
ou moins large. Les mondes sont séparés entre eux, mais ces séparations ne sont pas d'ordrephysique, mais de valeurs. · En d'autres termes, nous pouvons constituer un monde dans lequel nous vivons tous sur le critère matérialiste. Car la vie, justement, est celle de la matière. Nous pourrions y opposé un mondeintangible, tel celui des idées, cela n'empêcherais que son existence resterait convaincante pour direque nous vivons tous dedans. · De plus, els mondes que...
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Pour vivre heureux, vivons cachés ?
Le bonheur c'est vivre caché – une conception du bonheur autarciqueI. 1. Le bonheur, c'est vivre en autarcie EPICURE« Ainsi, nous considérons l'autosuffisance comme un grand bien : non pour satisfaire à uneobsession gratuite de frugalité, mais pour que le minimum, au cas où la profusion ferait défaut, noussatisfasse . Car nous sommes intimement convaincus qu'on trouve d'autant plus d'agréments à l'abondance qu'on y est moins attaché, et que si tout ce qui est naturel est plutôt facile à s...
- Dissertation « Le roman est t-il un genre littéraire capable de nous faire comprendre le monde ou nous vivons ? »
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- Le roman vous semble-t-il un genre littéraire capable de nous faire comprendre le monde où nous vivons?
- Expliquez et discutez cette pensée de Pascal : « Nous ne vivons jamais; nous espérons de vivre. »
- Les nymphéas de la Vivonne.
- Du fait que nous vivons le présent, sommes-nous plus à même de le comprendre ?
- Vivons-nous dans l'espace de la géométrie ?
- Vivonne (Louis Victor de Rochechouart.
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Blaise PASCAL: Nous ne vivons jamais, mais nous espérons de vivre
seulement le témoignage d'une « pensée » écrite à la hâte, mais l'expression réfléchie d'une lettre rédigée endécembre 1656 par Pascal à l'intention de Mlle de Rouanez, au moment où elle souhaite entrer en religion : « Lepassé ne doit pas nous embarrasser, puisque nous n'avons qu'à avoir regret de nos fautes ; mais l'avenir nousdoit encore moins toucher, puisqu'il n'est point du tout à notre égard, et que nous n'y arriverons peut-êtrejamais. Le présent est le seul temps qui est véritablement à n...
- HOP-LA ! NOUS VIVONS ! Ernst Toller (résumé et analyse)
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SYSTÈME SOLAIRE
La planète sur laquelle nous vivons, la Terre, fait partie d'une très grande famille.
2 Il existe enfin une classe très nombreuse de corps mineurs du Système solaire, qui gravitent, soit dans l'espace compris entre les deux groupes de planètes, soit bien au-delà de l'orbite de Pluton. Selon leur nature, ces corps sont appelés astéroïdes (ou petites planètes), comètes ou météorites. Les astéroïdes sont des corps solides de petites dimensions, qui occupent pour la plupart l'espace compris entre les orbites de Mars et de Jupiter. Les comètes sont des conglomérats de roches et de gl...
- LA CHATAIGNERAIE, François de Vivonne, Seigneur de (1519-1547) Gentilhomme, favori d'Henri II, il meurt au cours d'un duel avec le baron de Jarnac.
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Albert Camus affirmait en 1948 que «dans le monde où nous vivons... les hommes sont privés d'avenir». Dans le cadre d'un développement composé, de 30 à 50 lignes, vous exposerez les raisons d'espérer ou de désespérer aujourd'hui.
d'un encadrement bureaucratique et collectif sont évidents. • La source principale du pessimisme de Camus provient de l'impossibilité d'agir pour modifier cet état de fait.L'homme serait alors dépassé par le mouvement général qui anime la société. Deuxième partie : les raisons d'espérer Elles sont de deux sortes. • On estime que le tableau précédemment dressé est trop sombre. La science, si souvent mise en accusation, apermis d'améliorer les conditions de vie, plus encore de surm...
- «Notre civilisation est une somme de connaissances et de souvenirs accumulés par les générations qui nous ont précédés. Nous ne pouvons y participer qu'en prenant contact avec la pensée de ces générations... » A. Maurois, mai 1961 «Les jeunes gens admettent très difficilement la valeur de l'expérience... la mutation brusque que nous vivons, l'avènement de la société scientifique, disqualifie sérieusement, il faut le dire, l'expérience des générations précédentes. » J. de Bourbon-Busset
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La mort est-elle un désordre ?
d'existence. Rien n'est statique dans la nature. La mort est tout à fait essentielle pour qu'une espèce puisseévoluer. L'apparition des uns suppose la disparition des autres. La mort individuelle peut donc être vue comme unenécessité imposée par l'ordre de la nature pour la survie de l'espèce. Ainsi, la nature ne prend pas en considérationl'individu en tant que tel, mais il semble bien difficile pour l'homme d'en faire autant et de vivre sa propre mortcomme une nécessité, nous nous...
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Dissertation : Vivons-nous pour être heureux ?
DISSERTATION PHILOSOPHIE Nous pouvons tout faire pour être heureux et échouer quand même. Le bonheur ne dépend pas de nous, mais de circonstances indépendantes de notre volonté absolue. Dire que le bonheur dépend de nous signifie que si vous voulez être heureux, vous pouvez être heureux. Cet argument optimiste ne tient pas compte de l'expérience d'être malheureux : si vouloir être heureux suffit, pourquoi le malheur existerait-il ? Nous commencerons par mettre l'accent sur les facteurs e...
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c< NOUS NE VIVONS JAMAIS, MAIS NOUS
ESPÉRONS DE VIVRE; ET. NOUS
DISPOSANT TOUJOURS ÊTRE HEUREUX,
IL EST INÉVITABLE QUE...
c< NOUS NE VIVONS JAMAIS, MAIS NOUS ESPÉRONS DE VIVRE; ET. NOUS DISPOSANT TOUJOURS ÊTRE HEUREUX, IL EST INÉVITABLE QUE NOUS NE LE SOYONS JAMAIS. » A Pascal C'est vers les années 1657-1660 que Blaise Pascal (16231662), qui s'est fait un nom illustre panni les scientifiques de son temps tout en prenant le parti des jansénistes de Port-Royal contre l'Eglise (Les Provinciales), commence à travailler à une Apologie de la religion chrétienne. Mais, dès 1659, les premières atteintes de la maladie an...
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Le désir chez ROUSSEAU
L'imagination nous rend l'objet de notre désir « sensible », c'est-à-dire que nous pouvons imaginer cet objet enfonction de nos sens, nous pouvons imaginer son apparence, son odeur, son goût… cela nous rend donc cet objet «présent ».En outre nous pouvons la modifier en fonction de nos envies, nous sommes maîtres de l'image que nous nous enfaisons. C'est un grand bonheur que de pouvoir grâce à notre imagination, réaliser virtuellement nos plus grandsrêves, c'est un outil très développé, nous po...
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Dissertation : Pour vivre heureux vivons cachés ?
Pour vivre heureux, vivons cachés T1-2020 Rappel des consignes méthodologiques : 1. Pour l’introduction : -Pas d’auteur en intro -Analyser tous les termes du sujet, chercher les synonymes, les antonymes, les expressions courantes, les mots de la même famille -Problématiser : chercher le problème philosophique posé par la question -Annoncer le plan par des hypothèses ou des questions -Travailler les liens logiques entre chaque hypothèse 2. Pour le développement : -Questionner -Ne pa...
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Vivons-nous dans une société autoritaire, sécuritaire et disciplinaire ?
Là encore, pour défendre la thèse selon laquelle nous vivons dans une société disciplinaire, il faut identifier desintentions de discipliner les comportements. Etre disciplinaire, c'est vouloir instaurer une discipline. Mais ces intentions peuvent-elles être indirectes ; la discipline peut être involontaire ? Par ailleurs, l'expression « notre société » a une acception large, et on peut s'efforcer de trouver en elle lesattitudes disciplinaires selon divers points de vue. TRA...
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Vivons-nous dans le meilleur ou dans le pire des mondes possibles ?
La trop fameuse formule : « Tout est pour le mieux dans lemeilleur des mondes possibles» apparaît en substance dans unouvrage de Leibniz (1646-1716) qui sut mettre son génie delogicien au service de la religion : La Théodicée (1710), dont letitre exact est : Essais de théodicée sur la bonté de Dieu, laliberté de l'homme et l'origine du mal. La Théodicée est un ouvrage où Leibniz s'efforce de résoudrequelques problèmes classiques posés à la théologie, et qu'ilénonce...
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dissertation
Il est vrai que le thème de l’oppression produit un effet important dans le poème puisque la poète attribue le rôle des dominants aux anglais et celui des opprimés aux québécois. En premier lieu, les québécois possèdent de mauvaises conditions de vie: « Nous sommes un peu durs d’oreille / Nous vivons trop près des machines. » Ici, on perçoit l’image des travailleurs québécois « vivons très près des machines », pratiquant leur métiers dans des endroits misérables et insalubres. De plu...
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Jean-Marie DOMENACH, Le Retour du Tragique
DO MEN A CH 123 et de vieux villages, sans avoir l'idée que tout cela pouvait servir à habiter, à prier; pour eux, ça sert à photographier. De même la littérature, devenue objet de cours. Cessons donc de nous comporter en écoliers ou en touristes ! Vivons avec les œuvres que nous aimons, vivons d'elles. Jean-Marie DOMENACH, Le Retour du Tragique, Seuil. Vous montrerez quels sont, d'après ce texte, les rapports de la littérature et de la cri...
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Lorenzaccio, une oeuvre aux nombreuses interprétations.
première représentation avec Sarah Bernhardt qui jouait Lorenzo : texte coupé et remanié avec une unité de lieu par acte, intrigue florentine au 2nd plan, disparition de l'anticléricalisme et de l'éloge de la courtisane (AI S1) et fin de la pièce à la mort du duc : en centrant l'intérêt sur le personnage mélancolique, la représentation efface la satire politique et religieuse, la dimension transgressive, et se rend plus acceptable pour la censure et la morale. Le choix d'une femme pour interprét...
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Le temps, l'espace - La mémoire, la perception
Introduction ~~~~~~~~~~- Imaginons un peintre, un botaniste et un géologue réunis au cours d'un déjeuner de campagne un beau jour d'été. Imaginons la perception que chacun aurait du paysage de forêts et de plaines qui s'offre à eux. Le peintre aurait des intérêts de peintre, portés vers les couleurs, les variations de tons, les ombres et l'harmonie des formes. Sa perception serait surtout esthétique. La perception plus rationnelle du botaniste identif...
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Si l'on veut penser par soi-même, faut-il craindre toutes influences ?
est liée à la non conscience des différences culturelles et du coup la non remise en cause des enseignements en lienavec notre contexte de vie.Ensuite, il faut noter que lorsque l'on ne s'interroge pas sur le contenu des informations des interlocuteurs(professeurs, amis, famille), «il est fort à craindre que peut-être certains germes d'erreurs, contractés à partir d'unelecture trop assidue de leurs ouvrages (les ouvrages des Anciens), ne s'accrochent à nous» (Descartes, Règles pourla direc...
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Peut-on être plus ou moins libre ?
peut faire obstacle ou que l'on peut jeter malgré lui dans quelque entreprise est un esclave. « Si tu t'attaches àl'une de ces choses comme à ton bien propre, tu subiras le châtiment que mérite celui qui désire ce qui lui estétranger. Telle est la route qui conduit à liberté ».Bien que nous ayons le sentiment de la liberté et que nous agissions comme si nous étions libres, le sommes-nousréellement ? II ) MOINS « Je suis libre » ? L'enfant apprend assez tôt qu'il ne jouit pas d'une liberté to...
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Qu'est-ce que l'histoire que nous vivons?
Formées par l'héritage des coutumes, la volonté et la raison des hommes, les civi lisations naissent et meurent. La violence anime l'histoire, mais peut-être aussi une sorte de Providence qui fait que l'humanité dure et se transforme, qu'elle ne se détruit pas intégralement (même si elle en a aujourd'hui les moyens avec les bombes atomiques). Des civilisations péries, il nous reste principalement des œuvres d'art et de science, parfois aussi des leçons...
- Vivons nous dans un rêve ?
- Savons-nous pourquoi nous vivons ?
- Qu'est-ce que l'histoire que nous vivons ?
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Une philosophie ancienne ne peut pas être actuelle
Les philosophies anciennes sont dépassées. Nous ne vivons
plus dans le même...
Une philosophie ancienne ne peut pas être actuelle Les philosophies anciennes sont dépassées. Nous ne vivons plus dans le même monde que Socrate ou Rousseau. Les connaissances et la notion de vérité ont évolué. On ne peut plus penser comme on pensait autrefois. La philosophie andenne est désuète L e s œuvres de Pla ton , d'Aristote, de Hegel n'ont plus qu'un • C h a c u n...
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Merleau-Ponty
► Expliquer le texte suivant :
Nous ne vivons pas d'abord dans la conscience de nous-même - ni
même...
Merleau-Ponty ► Expliquer le texte suivant : Nous ne vivons pas d'abord dans la conscience de nous-même - ni même d'ailleurs dans la conscience des choses - mais dans l'expérience d'autrui. Jamais nous ne nous sentons exister qu'après avoir déjà pris contact avec les autres, et notre réflexion est toujours un retour à nous5 même, qui doit d'ailleurs beaucoup à notre fréquentation d'autrui. Un nourrisson de quelques mois est déjà fort habile à distinguer la bien veillance, la colère, la peur sur...
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Dissertation philosophie: Peut-on réellement affirmer que notre identité reste immuable face aux transformations que nous vivons ?
Dans la vie quotidienne, il nous arrive souvent d'entendre des expressions comme "Je n'étais plus moi-même" ou "Je me suis senti totalement déconnecté de qui je suis". Par exemple, un individu pris dans une colère soudaine et incontrôlable pourrait affirmer a posteriori qu'il ne se reconnaissait pas dans son comportement. À l'inverse, un artiste qui atteint un état de « transe créative » pourrait déclarer qu'il n'a jamais été aussi proche de son essence profonde. Ces situations posent un di...
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« Nous ne vivons jamais, mais espérons de vivre ; et, nous disposant toujours à être heureux, il est inévitable que nous ne le soyons jamais. »
Blaise Pascal, Pensées
« Nous ne vivons jamais, mais nous espérons de vivre ; et, nous disposant toujours à être heureux, il est inévi table que nous ne le soyons jamais. >> Pascal Cette citation est extraite du fragment 172 des Pensées. Pascal s'interroge ici sur notre rapport au temps et ses conséquences. La misère de l'homme consiste, entre autres, à ne pas « tenir au temps présent », à sans cesse se tourner vers le passé qui n'est plus ou vers l'av...
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Résumé, questions, discussion
61
Ce que la communication va changer à l'infopnation.
'
Nous vivons actuellement une mutation dont les...
Résumé, questions, discussion 61 Ce que la communication va changer à l'infopnation. ' Nous vivons actuellement une mutation dont les répercussions seront profondes sur· nos modes de. consommation de . l'information: le passage d'une société d'information à une société de communication. La :première débute avec l'imprimerie et se poursuit avei: l'édition, les jou1maux et magazines, la radio, le cinéma et la télévision. Sa structure est pyramidale: l'information part du sommet pour atteindre...
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�e.rgso�J�-���-1941t
LA DURÉE
B
ergson a minutieusement décrit le temps tel que nous en
vivons l'action permanente : la durée....
�e.rgso�J�-���-1941t LA DURÉE B ergson a minutieusement décrit le temps tel que nous en vivons l'action permanente : la durée. Vivre, c'est durer; c'est dire si la durée est un concept fo,uuimental....
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L'expression "vivre au présent" a-t-elle un sens ?
par des parents de gauche socialiste, a relativement peu de chance d'avoir des idées proches de l'extrême droiteen grandissant. Bien sûr, il y'a des exceptions mais le milieu dans lequel on grandit est quand même très importantpar rapport à notre conditionnement futur. De la même manière que notre passé influe sur notre présent, l'idée de notre futur nous conditionneégalement beaucoup. Malgré l'imprévisibilité de notre futur que nous avons vu au début, nous savons que notrefutur est...
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Si nous désirions être heureux, qu'est-ce qui nous empêche de l'être ?
§ Le désir de bonheur, en tant qu'il est ce qui outrepasse les limites de la nature, serait donc ce dontla satisfaction est toujours différée, marquant ainsi le malheur et la misère de l'homme bien plusque son bonheur. Dans son ouvrage Le monde comme volonté et comme représentation , Schopenhauer évoque le désir, qui est essentiellement désir de bonheur, comme un mécanisme quientretient lui-même la souffrance qui le met en mouvement, et donne pour cela trois image dudésir comme désir toujo...
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Blaise PASCAL: Temps et bonheur
chacune leur interprétation, « les mêmes pensées formant un autre corps de discours par une disposition différente» comme l'indiqua, de manière prémonitoire, Pascal lui-même.D'où la table de concordance que l'on trouve maintenant dans chaque édition et qui permet de naviguer aisément del'une à l'autre de ces neufs cents et quelques pensées : ainsi cette pensée, classé 172 dans l'édition deBrunschvicg, est le numéro 45 dans l'édition Tourneur & Anzieu. Quant au texte il s'insère dans le...
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Oublier le passé est-ce s'en libérer ?
II- Le problème du refoulement. Dans toute son oeuvre (et notamment dans Cinq leçons sur la psychanalyse ) Freud a montré que dans la cure psychanalytique il faut parfois lutter contre l'oubli du malade. En effet, l'oubli peut n'être pas radical, avec lanotion de refoulé on comprend que l'événement peut être oublié par laconscience mais se manifester à elle sous la forme de contenus latents,entravant la vie psychique sans que le malade sache, sur le mode conscien...
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Introduction
« L’expression de « société de consommation » est
parents désirent que leurs enfants ou eux-mêmes se sentent bien dans leur peau, nous vivons dans une société où l’apparence est importante, il leur faut acheter des biens, souvent de marque. Pour faire comme les autres et ne pas être rejetés par la société. Un autre problème recensé est l’endettement. Beaucoup de consommateurs achètent plus que ce qu’ils ne devraient et s’endettent au fur et à mesure afin de se procurer un confort qui celui-ci devient malsain car, ensuite, ils se soucient des...
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faut il être seul pour être soi même
soi-même, c'est bien sûr assumer son originalité. On peut alors penser que le groupe étouffe notre moi le plus authentique. C'est ce que pense Heidegger en analysant ce qu'il appelle "la dictature du On". La rencontre des autres ne suppose pas la distinction entre un sujet séparé des autres sujets. L'existence quotidienne implique que l'homme soit pris, absorbé par son mode. Il est sous l'emprise du "On" c'est à dire que le fait d'être ensemble crée une situation d'indifférence, d'indistinction...
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Jean Onimus, « L'École », n° 17 9 06-1973. La société moderne : « une manipulation de l'individu ?
à l'in fluence de ces systèmes d'ému lation et de compé tition établis du haut en bas de la socié té. L'énergie vitale est ingén ieusement canalisée, exploitée en vue du rendement. L'individu est manipulé sans qu'il s'en aperçoive et lentement privé de l' espace vital indis pensable à son autonomie. A cette violenc e feutrée et soph istiquée il faut lier, comme sa conséquenc e, un autre compor tement tou t à fait typique de notre temps : c'est l'indiffé...