33 résultats pour "utilitarisme"
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L'utilitarisme
individus sont altruistes et non égoïstes. L'utilitarisme est une éthique de conséquences. Les règles morales sont des repères qui nous indiquent quelle est,en général, la conduite la plus favorable au bien-être collectif. Toutefois ces règles souffrent d'exception lorsqu'ils'avère que suivre la règle nuirait à cet objectif. b. L'individualisme et le critère de l'agrégat Le bien de la société est exclusivement défini par le bien des individus qui la composent. Interprétation possible : le...
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LA CRITIQUE DE L’UTILITARISME DANS LA PENSÉE POLITIQUE CONTEMPORAINE
que les inégalités sont nécessaires au bon fonctionnement de la société mais, elles doivent pouvoir profiter à tous, particulièrementaux plus démunis. On peut citer par exemple la nécessité d'associer des salaires plus élevés à certains postes névralgiques, parexemple les médecins, puisque ceux-ci procurent un incitatif pour les gens les plus qualifiés et compétents de se diriger vers cespostes[5]. La logique étant qu'un système de santé ayant de bons médecins est une bonne chose puisqu'il perme...
- utilitarisme.
- Utilitarisme, Néo-utilitarisme et Critique Sociale (Résumé Théorie des Organisations)
- utilitarisme - philosophie.
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Kant VS utilitariste
productrice des lois universelles pour la morale. Une loi universelle c’est une loi morale qui s’applique à tout le monde et qui est vrai pour tous. La morale étant un ensemble de principes. Or, respecter les lois universelles c’est respecter tous les êtres capable de raisonner. Ainsi, on ne traite aucune personne comme étant un moyen, mais bien comme une fin. Traiter une personne comme moyen c’est le considérer comme étant incapabl...
- Utilitarisme
- L'utilitarisme de Bentham
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L'empirisme et l'utilitarisme anglo-saxons : Principes et méthode
Nous allons aujourd'hui parler de deux doctrines philoso phiques un peu à part sur le Vieux Continent: l'utilitarisme et l'empirisme. À part, car elles reflètent plutôt les grandes visions du monde qui traversent l'univers mental, culturel, intellectuel, politique et juridique anglo-saxon. On ne peut rien saisir à la culture américaine ou anglaise si on n'a pas une idée de ce que sont l'utilitarisme et l'empirisme. C'est donc à une sort...
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Analyse de l'ouvrage "L'utilitarisme" de Stuart MILL. ?
John Stuart Mill 1861 La mor~le se ré uit-elle à la quête du bonheur? ~ Seule la recherche du bonheur peut servir de fondement à l'obligation morale. 48 La quête du bonheur personnel ne suffit pas à rendre une action morale.
- Analyse Du Film "Loin Du Paradis" Avec L'éthique De Kant Et L'éthique Utilitariste
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CONCEPTION HÉDONISTE ET UTILITARISTE DE LA VIE MORALE
314 MORALE THÉORIQUE 1 'on entend par plaisir le plaisir sensible, cette morale est la né gation de toute sagesse : a) Elle méconnaît la vraie nature de l'homme, qui n'est pas un être purement sensible, une brute. Il méconnaU aussi la vraie nature du plaisir, qui n'a point par lui-même le caractère d'une fin : il n'est qu'un stimulant pour l'activité, un moyen. dont la nature se sert, soit pour nous aider à réaliser le bien...
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L'utilitarisme et la morale démocratique
Bentham et Mill ont eu tous deux des vies pittoresques. *Bentham était un athée extrêmement timide et sensible, qui se sentait toujours inquiet devant des inconnus. Il écrivait abondamment, mais ne publiait presque rien spontanément; ses amis devaient le forcer à publier, et quand il refu sait, ils publiaient malgré lui. Malgré son penchant pour l'isolement, Bentham devint un des personnages les plus controversés de l'Angleterre: il prit la...
- UTILITARISME (De l') de John Stuart Mill (Résumé et analyse)
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L'utilitarisme - compte rendu de lecture - John Stuart Mill.
Introduction Le livre titré l’utilitarisme soumis à notre étude en vue d’un compte rendu est l’une des œuvres du philosophe John Stuart Mill. Cette œuvre se présente comme un recueil qui vise le principe du plus grand bonheur pour tous. Cette Utilitarisme a pour objectif un idéal social et politique dans lequel, grâce au progrès des lois et de l’éducation, il ne serait plus indispensable de sacrifier son bonheur pour celui des autres. Le but de l’auteur est d’établir les fondements morau...
- « Dans la seconde moitié du XXe siècle (…) une réduction ultra- utilitariste du progrès s'est opérée. Les petits progrès à consommer sur place et dans l'instant ont chassé la vision du Progrès dans l'Histoire. »
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Peut-on bien agir ?
l'animal, ils seront tous deux considérés comme « agissant bien » car ils agissent conformément à la morale. Il estvrai, qui de la femme ou des spectateurs pourraient remonter dans l'intention de l'homme et n'y voir que la noirceurde la vanité ? De toute façon, qu'importe, puisqu'au bout du compte on fait avancer les choses, le sans-abri pourramanger et l'animal est sauvé et tout le monde est content ? Les utilitaristes savent que le monde est fait d'hommesvertueux et d'hommes vaniteux, alors po...
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l'intérêt peut-il être une valeur morale
A) Dans la morale chrétienne, par exemple, l'homme doit, pour être bon, aider son prochain. Cette morale n'estpas égoïste puisque l'autre compte plus que soi-même. La valeur morale ici est de toujours considérer l'autreet de ne rien faire qui irait contre son intérêt. B) Dans l'utilitarisme, l'intérêt du plus grand nombre est un guide pour l'action. Une action est morale si etseulement si elle maximise le bien-être de tous les être concernés par cette action. [Mill, L'utilitarisme .] A...
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l'intérêt peut-il etre une valeur morale ?
A) Dans la morale chrétienne, par exemple, l'homme doit, pour être bon, aider son prochain. Cette morale n'estpas égoïste puisque l'autre compte plus que soi-même. La valeur morale ici est de toujours considérer l'autreet de ne rien faire qui irait contre son intérêt. B) Dans l'utilitarisme, l'intérêt du plus grand nombre est un guide pour l'action. Une action est morale si etseulement si elle maximise le bien-être de tous les être concernés par cette action. [Mill, L'utilitarisme .]...
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N'agissons-nous que par intérêt ?
dans la plus grande somme possible de plaisirs considérés ainsi au point de vue de leur qualité comme de leurquantité. Stuart MILL ajoute que, l'intérêt général n'étant que la somme des intérêts particuliers, le critériumutilitaire consiste, non dans le bonheur propre de l'agent individuel, mais dans celui de tous les intéressés,dans « la plus grande somme de bonheur général ». Le droit et la justice, notamment, se ramènent au biensocial, à l'intérêt du plus grand nombre. C'est ainsi également q...
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l'intêret est il le seul fondement du droit ?
l'enchaînement des causes et des effets sont assujettis à leur domination. Ils nous commandent dans tout ce que nousfaisons, disons et pensons, et tout effort pour échapper à leur emprise ne sert qu'à en démontrer et en confirmer la réalité.On peut prétendre en paroles se soustraire à leur empire alors qu'en fait on y reste soumis au moment même où on leprétend. Le principe d'utilité reconnaît cette sujétion et en fait le fondement du système dont l'objectif est d'élever l'édificedu Bonheur à l'...
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Mill
L'utilité est le fondement de la morale
Il Indications générales
John Stuart Mill (1806-1873) est le père de
l'utilitarisme,...
Mill L'utilité est le fondement de la morale Il Indications générales John Stuart Mill (1806-1873) est le père de l'utilitarisme, doctrine qui fait de l'utilité la valeur morale la plus haute. Encore faut-il savoir comment celle-ci est définie. ■ Citation «La doctrine qui donne comme fondement à la morale l'utilité ou le principe du plus grand bon heur qffirme que les actions sont bonnes ou mau-: vaises dans la mesure où elles tendent à accroître le bonheur, ou à produire le contraire du...
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Peut-on être désintéressé du bonheur social ?
sur (2), etque (2 a) prime sur (2 b). Il faut toujours faire respecter ces principes en suivant cet ordre de priorité. Le rapportde (1) à (2) implique que l'on ne peut sacrifier des libertés pour augmenter le bien-être des gens. On ne peutrestreindre la liberté qu'au bénéfice de la liberté. De même (2 a) domine (2 b), ce qui veut dire que la sauvegarde del'égalité des chances est prioritaire par rapport au bien-être.Intéressons-nous maintenant au principe qui concerne directement notre que...
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La valeur d'une action se mesure-t-elle à son utilité sociale ?
Ill. - VALEUR MORALE ET UTILIT~ SOCIALE. L'utilitarisme est la doctrine selon laquelle l'utile est le principe de toutes les valeurs dans le domaine de la connais sance. Souvent on l'appelle pragmatisme. Stuart Mill a écrit un traité sur l'utilitarisme. Avant lui, le jurisconsulte et économiste anglais J. Bentham exposa, dans son ouvrage c Déontologie», une théorie morale ainsi conçue : Le grand principe qui doit diriger les...
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Analyse de « Théorie de la justice », JOHN RAWLS (fiche de lecture)
pas à attaquer la position originelle la jugeant trop anhistorique et hypothétique. De plus les participants, même couvert par le voile de l’ignorance sont toujours soumis à l’envie, notamment, celle d’être plus riches et moins égaux, plutôt qued’être plus pauvres et moins inégaux.Sandel se demandera même si le lien social dans ce calcul de justice n’enlève pas toute possibilité de communauté humaine transformé alors en une communautéd’étranger.Par la suite, Sen, reprochera à Rawls son indiffér...
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Qu'est-ce que le bonheur et sa quête est-elle nécessaire? : Méta-analyse de la thèse de Platon et d'Épicure sur le bonheur
les relations, et tout élément possible d'influence d’une personne. Dans le cadre de ce travail, il est important de mentionner que le bonheur sera considéré comme un état de plénitude, c'est-à-dire un état de satisfaction complète de la conscience. Sur la même note, il existe différents courants d'analyse philosophique en relation au bonheur. Notamment, il y a l'eudémonisme, l'hédonisme, l'épicurisme, et l'utilitarisme. L'eudémonisme est une théorie co...
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droit naturel - philosophie.
théories purement rationalistes des XVII e et XVIII e siècles. La seconde innovation de Hugo Grotius est de concevoir ce droit comme indépendant de l’expérience : « À l’image des mathématiciens qui examinent leurs figures comme étant abstraites des corps, j’ai examiné le droit en soustrayant de mon esprit tout fait particulier » (De jure belli ac pacis, « Le droit de la guerre et de la paix », 1625). 4. 2 Samuel von Pufendorf Le juriste Samuel von Pufendorf est le premier à obtenir une...
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Peut-on mentir?
puisse préconiser ce dernier s'il met en péril la cohésion sociale. Force est de reconnaître qu'un devoir coupé de son contexte etrespecté aveuglément peut conduire au pire. C'est pourquoi il est bon que l'on s'interdise de rappeler à l'ami une faute ancienne,ou que l'on s'oblige à mentir à un criminel qui nous demande où se trouve l'homme qu'il poursuit. Mais ici, on veillera à nepratiquer qu'un mensonge nécessaire. Il n'est donc pas recommandé de toujours mentir en faisant, par exemple, de tou...
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JOHN STRUART MILL : L'UTILITARISME (Résumé & Analyse)
t Faire le bien, c'est accroitre la quantité de bonheur Les actions sont bonnes si elles font accroître la somme de bonheur totalisé non seulement pour soi mais aussi pour la communauté toute entière, l'humanité, voire pour tout être vivant. La morale est donc inséparable chez Mill de la politique, du juridique, du social, mais aussi de l'esthétique, de la science, de l'écologie. Par exemple, exploiter des centaines d'individus, faire dispa...
- MILL. L'utilitarisme
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Qu'est-ce que la sociologie?
universitaire. Le savoir s'est structuré à partir des universités, et à partir des universités il y a des chaires... Cesont les universitaires qui sont amenés à tracer des frontières pour protéger leur spécialité. La séparation entre lasociologie est les autres disciplines est purement administrative, car les sociologues étudient les mêmes sujets queles autres gens des sciences humaines. D'ailleurs, il y a des auteurs qui ont remis en cause depuis longtemps cesfrontières: il y a ceux qui pense...
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La recherche du bien-être peut-elle être une fin morale ?
honnête peut l'être soit parce qu'il pense qu'il ne faut pas abuser autrui, soit parce qu'il se dit qu'en abusantautrui, il risque de perdre des clients. Or, s'il n'est honnête que par devoir, alors son comportement estmoral, mais s'il le fait également par intérêt, son comportement ne l'est plus. On voit que cette morale del'intention est aussi une morale du soupçon : comment être sûr d'être moral ? En faisant quelque chose dedéplaisant, qui ne nous apporte aucun avantage ? Mais alors,...
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DISSERTATION - N'AGISSONS NOUS QUE PAR INTERET ?
inconsciemment poussée vers la consommation. Cela nous pousse à nous interroger sur les relations que nous entretenons avec les individus. On peut alors remettre en question toute la société, comme on le croit souvent, de la politique, guidée par le pouvoir, au commerce et aux finances, guidées par l'argent. On peut finalement s'élever vers une société utopique, dont l'altruisme et la satisfact ion des besoins nécessaires seraient les seuls moteurs d'actions....