36 résultats pour "stupide"
-
Bertrand Russell : « Les Hommes naissent ignorants mais pas stupides. C'est l'éducation qui les rend stupides »
d’éducation existent. Ces adultes tout aussi (si pas plus) crédules que leurs enfants glorifient les médias, soutiennent qu’ils nous aident à comprendre notre société et à agir en conséquence et nous éclairent sur ce qui nous semble flou. Ces personnes revendiquent que c’est là que se trouve l’éducation d’aujourd’hui, l’éducation de l’avenir… Ils sont fiers de leurs cyber- enfants qui, grâce aux quantités astronomiques d’informations qu’ils reçoivent, sauront tout sur tout… selon eux. Prenons un...
- Stupide, irrémédiablement stupide
- Citations avec stupide, adjectif Nous étions, ma femme et moi, dans ce stupide accablement, qu'il est si difficile de se représenter.
- Citations avec stupide
-
DESCARTES: il n'y a point d'hommes si hébétés et si stupides
démarche de Descartes est rigoureuse et scientifique puisqu'il isole chacune des caractéristiques qu'il cherche àmettre en valeur pour les prouver. II/ Conclusion du constat : Et ceci ne témoigne pas seulement que les bêtes ont moins de raison que les hommes, mais qu'elles n'en ont pointdu tout. Car on voit qu'il n'en faut que fort peu pour savoir parler ; et d'autant qu'on remarque de l'inégalité entreles animaux d'une même espèce aussi bien qu'entre les hommes, et que les uns sont plus aisés...
-
La philosophie et "Comme je suis devenu stupide" de Martin Page
- La Bible de Gutenberg ou « Bible à quarante -deux lignes » est le premier livre imprimé en Europe à l'aide de caractères m obiles. Elle est imprimée sur du vélin et sans doute par économie sur du papier importé d'Italie, elle reproduit le texte latin de la Vulgate de saint Jérôme : l'Ancien Testament occupe le premier volume et une partie du second, qui contient l'ensemble du Nouveau Testament. Elle permet la diffusion du savoir et surtout la traduction de la Bible du latin en lang...
- Bubale de Jackson: Il a une morphologie qui peut lui donner un aspect stupide.
- Antonymes de stupide, adjectif brillant, éveillé, intelligent.
-
-
Ce Stupide XIXe siècle, a-t-on écrit; ne pensez-vous pas qu'il mériterait plutôt l'épithète de Grand ?
fique... et rien de plus decevant... II inaugure le grand cabotinage late- Il est le grand-pere de tous les moitrinaires qui se regardent pfilir et vieillir dans leurs miroirs ternis et &allies... Il est le grand promo- teur de... la litterature d'attitudes ». Son « esprit d'hypocrisie profonde revit, par mimetisme, dans nombre de nos contemporains... Que ce comedien magnifique ait ete pris pour un heros veritable, et que cette,erreur ait recommence pour Hugo, voila qui justipe notreaccusation d...
- « Ce qui rend Kleist particulièrement curieux, c'est la recette selon laquelle il compose ses dialogues. Il imagine que tous ses personnages sont à moitié sourds ou à moitié stupides, et le dialogue naît ainsi à coups de questions et de répétitions ». En quoi ce jugement de Brentano relatif à la « surdité » des personnages de Kleist peut-il éclairer votre lecture de La Cruche Cassée, voire celle d'Oedipe Roi ?
-
« Je crois que la principale erreur de notre temps, c’est de chercher en toute chose la vitesse. Non seulement la vitesse use les machines et consomme du charbon bien plus vite qu’elle ne multiplie les produits, ce qui fait qu’elle nous appauvrit, mais aussi elle abrutit les gens qui seront bientôt conduits, par ce train des affaires, à la stupidité diligente des abeilles. » Partagez-vous cette opinion d’Alain ? La vitesse n’a-t-elle apporté que des inconvénients à notre civilisation
éprouver qu'un sentiment de gaspillage devant ces «ci metières d'autos », am oncellements de ferraille inutilisable qui e n combrent désormais les abords des vill es. Geor ges Duha mel déno nçait le caractère scanda l eux d'un te l phénomène dans Les Scènes de la Vie future lorsqu 'il nous rendait compte de son voyage aux États- Un is. La vitesse abrutit les hommes Mais ce prog rès de la vitesse n'est p as seu lement néfaste aux objets mat...
- PROGRÈS DE LA STUPIDITÉ (Le) John Trumbull
- Le musée de la stupidité humaine: une exposition de l'inconscience ou de la méchanceté.
- Charles de GAULLE: Je les savais stupides, mais pas à ce point-là. Quelle est cette France qui se couche devant une poignée de galopins ?
-
FRAGMENT D'UNE LETTRE DE DIDEROT A Mlle VOLLAND (31 octobre 1760). Le Spleen.
Explication proposée : I Vapeurs anglaises : vapeurs, affection nerveuse, que les anciens attribuaient à des humeurs qui montaient aucerveau, anglaises, parce que l'Angleterre était le pays du spleen ; — malaise général et plus ou moins fâcheux :état de souffrance vague, physique et morale, qui varie en intensité, mais qui s'empare de tout l'être ; — avoir latête libre : libre de vapeurs, n'avoir point d'empêchement, d'obstacle dans la tête, et, par suite, pouvoir jouir de satête, dispo...
-
Commentaire Composé : Samuel Beckett, En attendant Godot, 1953, Acte II
ne sais pas ». Un Estragon donc, incapable de répondre aux questions posées par un Vladimir anxieux : « Où as-tuété ? Je t'ai cru parti pour toujours » qui rentre crédulement dans la fantaisie de son camarade et, n'en pouvantdéjà plus du retour de l'ennui et l'attente, pense triomphalement que Godot arrive enfin ! Il passe d'un étatdysphorique à un état euphorique : « C'est Godot ! enfin ! » ;« Il embrasse Estragon avec effusion » ; «Gogo ! c'estGodot ! Nous sommes sauvés ! Allons à sa re...
-
-
Jarry, le Surmâle (extrait).
Le marbre de la vivante était encore pur et lumineux : à la gorge et aux hanches, les mêmes nielles imperceptibles qu’à l’ivoire fraîchement coupé. Marcueil découvrit en soulevant les paupières d’un index délicat qu’il n’avait jamais vu la couleur des yeux de sa maîtresse. Ils étaient obscurs jusqu’à défier toute couleur, comme des feuilles mortes, si brunes au fond des douves limpides de Lurance ; et on eût dit que c’étaient deux puits dans le crâne, forés pour la joie de voir le dedans de la c...
-
Peut-on réduire la science à un ensemble de recettes qui réussissent toujours ?
pour chaque action particulière; d'où vient qu'il est moralement impossible qu'il y en ait assez de divers en unemachine pour la faire agir en toutes les occurrences de la vie de même façon que notre raison nous fait agir. Or,par ces deux mêmes moyens, on peut aussi connaître la différence qui est entre les hommes et les bêtes. Carc'est une chose bien remarquable qu'il n'y a point d'hommes si hébétés et si stupides, sans en excepter même lesinsensés, qu'ils ne soient capables d'arranger ensemble...
-
Mille et un jours en prison a Berlin
émotion.
Toutes mes malles, valises, colis, etc., etc., étaient prêts pour l'inspection, régulièrement alignés dans la petite gare de fortune construite à cet endroit. On avait été averti, ou on avait deviné, que j'étais un prisonnier de nationalité anglaiseoiseau rare en ces parages,car tous les inspecteurs des deux sexes s'étaient donné rendez-vous autour de mes bagages, et de ma personne. Il y avait des dames: d'ordinaire, on utilise leurs services discrets pour faire les perquisitions chez les pass...
-
Définition du terme:
CULOTTE1, substantif féminin.
les militaires. Sans armes, sans revers de couleur à la poitrine, sans culottes de peau et sans épaulettes (PAUL ADAM, L'Enfant d'Austerlitz, 1902, page 45 ). · Jupe-culotte. Vêtement féminin de dessus ayant la forme, l'ampleur et la longueur d'une jupe et habillant séparément les deux jambes. Exhiber une jupe-culotte et des bottes blanches (RAYMOND QUENEAU, Loin de Rueil, 1944, page 43 ). · Culotte longue ou par ellipse culotte (familier). Pantalon. Maurice Rostand, longs cheveux et culottes lo...
-
DOSSIER POESIE SUR PAROLES DE J. PREVERT.
Paris-France (11 pages) Evènements (9pages) mais le plus long, La crosse en l'air (35 pages) est au milieu del'œuvre et on retrouve un texte assez long en fermeture du recueil (Lanterne magique de Picasso (7pages)).- Les poèmes plus courts sont éparpillés tout au long du recueil, leur tailles variant d'une ligne (« Les paris stupides») à quelques pages en passant par des poèmes courts (« Alicante »-6vers, « Le cancre »-17vers). On retrouveaussi des poèmes plus ou moins longs, de une ou deux...
-
L'évolution des conditions de travail
Le stupide travail à la chaîne du manœuvre anonyme, rivé des heures
durant à la...
L'évolution des conditions de travail Le stupide travail à la chaîne du manœuvre anonyme, rivé des heures durant à la répétition d'un même geste, a paru la préfiguration de la vie future. Mais cette conception, qui paraissait s'imposer à la vue des horribles usines bruyantes et empoussiérées de 1920 et à l'examen des brutales et anonymes solutions du Taylorisme, apparaît maintenant périmée. Trois facteurs fondamentaux agissent en effet simultanément pour réduire l'inhu manité du travail humain...
-
L'existence est-elle concevable sans amitié ?
Le gâchis Dans l'allégorie de la caverne (aux livres VI et VII de la République de Platon), l'hommequi par « grâce » parvient après maintes douleurs au ciel des « idées » éprouveimmédiatement de la pitié, de la compassion pour ses compagnons demeurés prisonniers.Il descend alors vers eux, éprouvant de nouveau de dures souffrances, et tente de lesconvaincre de remonter avec lui afin que tous parviennent à la béatitude et vérité.Hélas, nul ne le prend au sérieux, et comme il tâche d...
-
DESCARTES: Communication animale et langage humain
que l'on vit et pense. Au contraire, ce qui est du corps s'analyse strictement au moyen de mécanismes. La capacitéqu'ont les animaux de signifier peut s'expliquer mécaniquement, par instinct naturel ou, s'ils ont été éduqués à noslangues, par acquisition de réflexes conditionnés par dressage. * Justification de la thèse: tous les hommes usent du véritable langage, quel que soit leur manque de perfection parailleurs, absence d'esprit ou absence des organes de la phonation. * Conclusion: la diff...
-
-
Définition et usage du mot:
BÉOTIEN, -IENNE, adjectif et substantif.
dans son sens ironique et p?joratif (d'apr?s DICTIONNAIRE DE LA LANGUE VERTE (HECTOR FRANCE) 1907). B.? Emploi comme substantif. 1. Personne qui habite la B?otie, ou en est originaire. ? LINGUISTIQUE. Le b?otien. Dialecte grec parl? dans la B?otie ancienne. 2. Ironique et p?joratif, par allusion ? l'esprit des B?otiens, tel qu'il a ?t? caract?ris? par les Ath?niens. Celui qui est lourd d'esprit, grossier, peu cultiv?, indiff?rent ? la production litt?raire et artistique. ?tre un B?otien...
-
Descartes: la vraie différence entre les hommes et les bêtes
0 Les clés du sujet BIEN LIRE LE TEXTE ~ Les termes de ce texte ne présentent guère de difficulté d'interpré tation. Il faut toutefois prendre garde à ne pas sous-estimer l'intensité de qualifications comme «stupide» (débile mental) et «privé d'esprit» (fou), et à bien comprendre «latente» non au sens courant de «en puis sance» mais au sens propre de «présent mais caché». L'analyse de l'ar gumentation, en revanche, demande une grande...
-
par lesquelles on découvrirait qu'elles n'agiraient pas par connaissance, mais
158 Discours de la méthode bêtès, ont coutume d'inventer d'eux-mêmes quelques signes par lesquels ils se font enten dre à ceux qui, étant ordinairement avec eux, ont loisir d'apprendre leur langue. Et ceci ne témoigne pas seulement que les bêtes ont moins de raison que les hommes, mais qu'el les n'en ont point du tout : car on voit qu'il n'en faut que fort peu pour savoir parler, et d'autant qu'on remarque de l'inégali...
-
Définition et usage du mot:
BÊTIFIANT, -ANTE, participe présent et adjectif.
certains points, moins born?, plus artiste, mais sur d'autres, o? il appliquait ? la lettre les formules ?loquentes, mensong?res, et d'ailleurs momentan?es, du ma?tre, le b?tifiait encore davantage. MARCEL PROUST, Sodome et Gomorrhe, 1922, page 1032. ? Sp?cialement, emploi pronominal. Se rendre b?te, s'abrutir?: ? 2. Vous ne trouvez pas qu'on se b?tifie ? rester tout le temps sur la plage? MARCEL PROUST, ? l'ombre des jeunes filles en fleurs, 1918, page 877. B.? Emploi intransitif. 1....
-
Riquet à la houppe
sottise. Elle était avec cela si maladroite qu'elle n'eût pu ranger quatre porcelaines sur le bord d'une cheminée sans en casser une, ni boire un verre d'eau sans en répandre la moitié sur ses habits. Quoique la beauté soit un grand avantage chez une jeune femme, cependant la cadette l'emportait presque toujours sur son aînée dans toutes les soirées. D'abord on allait du côté de 2la plus belle pour la voir et pour l'admirer, mais bientôt après, on allait à celle qui avait le plus d'esprit,...
-
Voltaire - De l'horrible danger de la lecture - Lecture méthodique
éternelle. Et, de peur que la tentation diabolique ne leur prenne de s’instruire, nous défendons aux pères et aux mères d’enseigner à lire à leurs enfants. Et, pour préve nir toute contravention à notre ordonnance, nous leur défendons expressément de penser, sous les mêmes peines; enjoignons à tous les vrais croyants de dénoncer à notre officialité quiconque aurait prononcé quatre phrases liées ensemble, desquelles on pourr ait inférer un sens clair et net. Ordonnons que dans toutes les...
-
Définition et usage:
ATROPHIÉ, -ÉE, participe passé, adjectif et substantif.
STATISTIQUES?: Fr?quence absolue litt?raire?: 51. Forme d?riv?e du verbe "atrophier" atrophier ATROPHIER, verbe transitif. I.? Emploi transitif. A.? BOTANIQUE, M?DECINE et M?DECINE V?T?RINAIRE. [Le compl?ment est une personne, un animal, une plante ou une partie de leur ?tre] Causer l'atrophie?: ? 1. La sp?cialit? trop forte du m?tier, nous le voyons chez les hommes, atrophie tel membre, exag?re tel autre, exclut l'harmonie;... JULES MICHELET, L'Insecte, 1857, page 203. B.? Au fi...
-
La Legende des Siecles
C'était de la fureur et c'était de l'extase;
Un des enfants revint, apportant un pavé
Pesant, mais pour le mal aisément soulevé,
Et dit:--Nous allons voir comment cela va faire.
Entendit une voix qui lui disait: Sois bon! Bonté de l'idiot! diamant du charbon! Sainte énigme! lumière auguste des ténèbres! Les célestes n'ont rien de plus que les funèbres, Si les funèbres, groupe aveugle et châtié, Songent, et, n'ayant pas la joie, ont la pitié. O spectacle sacré! l'ombre secourant l'ombre, L'âme obscure venant en aide à l'âme sombre, Le stupide, attendri, sur l'affreux se penchant, Le damné bon faisant rêver l'élu méchant! L'animal avançant lorsque l'ho...
-
-
Dictionnaire en ligne:
DINDON, substantif masculin.
belle, si grande dame, traiter cette pauvre ouvrière comme votre soeur, j'ai eu beau faire, ma colère s'en est allée (EUGÈNE SUE, Le Juif errant, 1844-45, page 56 ). [Un ministre] qui va chanter la Marseillaise à Sainte-Geneviève et achever d'abattre l'archevêché, est un jacobin ou n'est qu'un dindon en colère (CÉLINE BUISSON DE LA VIGNE, VICOMTESSE DE CHATEAUBRIAND, Mémoires et lettres, 1847, page 182 ). Le charpentier était fier comme un dindon (JEAN GIONO, Le Bonheur fou, 1957, page 426 ). —...
-
XLVIII
Dix-huit.
perdrez... » Etpuis, ilsm’ont coupé. Maisjen’avais pasterminé. — Ce n’était déjàpasmal, apprécia lecolonel. — J’aurais vouluajouter autrechose, poursuivit Hamadura. Êtreblanc, àmon sens, cen’est pasune couleur depeau. Mais un état d’esprit. Danslesrangs desSudistes, quelsquesoient l’époque etlepays, ilyatoujours eudes Noirs qui n’éprouvaient aucunehonteàcombattre dumauvais côté.Siles blancs sontdevenus noirs,pourquoi quelques« peau- noire » nevoudraient-ils pasrester blancs ? J’aiopté, etme voic...
-
Giraudoux, La guerre de Troie n'aura pas lieu
et des début d'annexion, la question de la guerre se pose déjà en France et en Europe qui se remet à peine desséquelles de la première guerre mondiale. Le débat mime les réflexions politiques de l'époque. Par la transpositiondans le contexte de la Grèce antique, Giraudoux reprend une tradition qu'il étend à toutes les époques, à tous leslieux. Il insiste sur l'universalisation de son propos: « écoutez ce que toutes les femmes du monde disent par mavoix », dit Andromaque. La réflexion dépasse lar...
-
texte argumentatif
point du pas lourd et des souliers ferrés du guichetier, du cliquetis de son noeud de clefs, du grincement rauque des verrous ; il fallut pour me tirer de ma l éthargie sa rude voix à mon oreille et sa main rude sur mon bras. Levezvous donc ! J'ouvris les yeux, je me dressai effar é sur mon s éant. En ce moment, par l' étroite et haute fen être de ma cellule, je vis au plafond du corridor voisin, seul ciel qu'il me f ût donn é d'entrevoir ce reflet jaune o ù des yeux habitu...