2753 résultats pour "savoir"
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Peut-il y avoir savoir faire sans savoir ?
créer des outils, et la capacité crânienne importante qui distingue l'homme des animaux. La main de l'homme est à l'origine du « faire », donc du savoir-faire et dans l'hypothèse ou le savoir est l'ensemble desconnaissances acquises par l'apprentissage on peut penser que l'on a pas besoin de savoir pour faire et donc on n'a pasforcement nécessité de savoir pour avoir un savoir-faire. Prenons l'exemple d' une fillette qui acquière le savoir-faire de la cuisine seulement en regardant sa mère prép...
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Peut-il y avoir savoir-faire sans savoir ?
3. Pas de savoir scientifique sans savoir-faire A. Qu'est-ce que le savoir expérimental ?À partir de la Renaissance, la science physique change d'attitude face à la nature. Elle ne se contente plus de l'observer pour deviner sonordre secret : elle la modifie et cherche à travers ces expériences provoquées, ou expérimentations, des réponses à des questions que le scientifique se pose. Autrement dit, on ne cherche plus la vérité dans lesphénomènes mais on se sert de ces derniers pour co...
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Peut-il y avoir savoir-faire sans savoir?
LI:;) l:IUNNI:::> IJUl"ll:;) UU tlAv lflf Rédaction du candidat L'homme a une conscience réfléchie qui lui permet de mettre en rapport son savoir sur son savoir-faire, autour desquelle il tente d'améliorer la connaissance et la condition humaine par l'intermédiaire de la technique. Chaque individu étant différent par ses ori gines, son éducation, sa culture ou sa religion, ils n'éprouvent pas tous les mêmes besoins d'apprendre 1 , de co...
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Dans quelle mesure le savoir-faire est-il un savoir
marteau, c'est différer d'enfoncer le clou... pour l'enfoncer plus facilement. Marx a repris à son compte la définition de Franklin : l'homme, écrit-il, est un toolmaking animal, un « animalfabricateur d'outils » (Le Capital, 1867). On dit souvent, dans le même sens,que l'homo sapiens est d'abord un homo faber.Nous sommes, nous autres hommes contemporains, si obnubilé par la relationscience technique que nous admettons à tort, que là où il n'y a pas descience de la Nature, il ne p...
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Dans quelles mesures le savoir-faire est-il un savoir ?
obnubilé par la relation science technique que nous admettons à tort, que là où il n'y a pas de science de la Nature,il ne peut y avoir de technique élaborée. Il existe cependant deux formes de savoir très différentes impliqués dansl'élaboration des techniques: le savoir-faire empirique et le savoir scientifique. Ce n'est que dans le second cas quela théorie précède la pratique, dans le premier, c'est l'inverse qui a lieu. L'urgence des nécessités vitales, laconservation de soi, la pre...
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« Puisqu'on ne peut être universel et savoir tout ce qui se peut savoir sur tout, II faut savoir peu de tout car il est bien plus beau de savoir quelque chose de tout que de savoir tout d'une chose. » Discutez cette affirmation de Pascal.
eU-,~-~,------------------------------· Quelques hommes se contentent de connaissances frag mentaires, acquises au hasard des lectures, des rencontres, des promenades, des représentations théâtrales, cinémato graphiques ou télévisées. Il n'en est pas de même d'un savant de l'envergure de Pascal. Seule, la connaissance d'éléments du savoir formant un ensemble complet peut le satisfaire. Il faut pourtant noter que ce c fulgurant génie, p...
- Peut-il y avoir savoir sans savoir faire?
- Y a t il savoir faire sans savoir ?
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- Savoir et savoir-faire
- Peut-il y avoir savoir faire sans savoir ?
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Dans quelle mesure le savoir-faire est-il un savoir?
.... rM't* III. SAVOIR ET «OPINION DROITE>> -Cf. Ménon de Platon. On y distingue deux façons d'arriver à un but: par connaissance authentique ou par ''opinion droite>>, c'est-à-dire série de conjec tures aboutissant au résultat recherché. - À ceci, Socrate ajoute la célèbre image des statues de Dédale: l'opinion droite a le même défaut qu'elles - si on ne l'attache pas, elle a tendance à s'enfuir. - Ce qui caractérise donc une opinion droite...
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Devons nous chercher à savoir ce que nous ne pouvons pas savoir ?
Ø Toutefois , que se passe-t-il si l'on prend en compte le fait que nous ne pouvons pas savoir certaines choses en vertu d'une interdiction, non pas ontologique ni même transcendantale, mais qui nous vient d'une décision prise pard'autre que soi ?Ø En un mot, ce que l'on ne peut savoir pouvant tout aussi bien désigner ce que d'autre ne veulent pas que l'on sache, ne faut-il pas alors chercher à le savoir ? Mais comment lever le voile si précisément on ne sait pas au préalable qu'il y en a u...
- La philosophie est-elle le savoir des savoirs ?
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Peut on ne pas savoir ce que l'on fait ?
rationnelles. Dans le cas où nous agissons intuitivement, nous ne connaissons pas l'aboutissement de notre acte. Nous nesavons qu'une chose, c'est l'incertitude de ce que nous allons faire. Enfin, nous pouvons constater que nous ne sommes pastoujours responsables de nos actes. Du moins, certaines personnes, tel que les enfants par exemple. Car ceux-ci, au yeux dela loi, n'ont pas encore acquis toute leur raison (âge de raison) et ils ne mesurent pas l'ampleur ainsi que les diversesconséquences d...
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Peut-on tout savoir par soi-même ?
de spécialistes en chaque domaine. C'est en ce sens que Hegel écrivait dans sa Phénoménologie de l'Esprit contre des romantiques qui pensaient que la vérité n'apparaissait que de manièreintime au sujet. « Puisque le sens commun fait appel au sentiment, son oracleintérieur, il rompt tout contact avec qui n'est pas de son avis, il est ainsi contraint d'expliquer qu'il n'a rien d'autre à dire à celui qui ne trouve pas etqui ne sent pas en soi-même la même vérité ; en d'autres termes, il fou...
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Peut-on ne pas savoir ce que l'on fait ?
conséquences et ses motivations plus ou moins avouées. La conscience peut-elle alors connaître l'ensemble de cesimplications ? 2. Ne savoir pas ce qu'implique ce que l'on fait. Savoir ce que l'on fait implique de réfléchir non seulement à l'action elle-même, mais aussi à ses conséquences.L'inconscient est celui qui n'y prête jamais attention. Mis devant le résultat condamnable de son actionirresponsable, il répondra simplement qu'il ne savait pas ce qu'il faisait. Son attitude est immora...
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KANT: Savoir et savoir-faire
C. Cela s'oppose au travail. Le travail est une activité qui ne peut être à elle-même sa propre fin, puisqu'il s'agit d'«une activité en soi désagréable ». On rie travaille qu'en vue d'un but différent du travail lui-même, par exemple pourun salaire. L'artisanat, caractérisé par le travail, n'est donc pas un jeu. Discussion Kant caractérise l'art en le distinguant successivement de la nature, de la science et de l'artisanat. Par art, ildésigne l'activité créatrice, et non le point de...
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Peut-on ne pas savoir ce que l'on fait?
de découvrir ce que l’on peut faire, ce dont on est capable, en faisant l’épreuve de la séparation entre ce qu’on veut et ce qu’on fait.). (2) On peut ne pas savoir ce que l’on fait car il n’y pas de science de l’action, c’est à dire qu’on ne peut jamais prévoir et maîtriser toutes les conséquences de nos actes: toute action portant sur le futur, agir c’est nécessairement être confrontés à l’incertitude, à u...
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Peut-on ne pas savoir ce que l'on fait ?
réflexe : lorsque l'on approche la main trop près d'un feu, la réaction est de la retirer rapidement, plus ou moinsviolemment sans aucune réaction préalable. Ce n'est qu'après que l'homme sait et a compris ce qu'il a fait.On peut aussi évoquer les effets de pulsions refoulées sur nos agissements conscients. Sous l'effet de ces pulsions,l'homme comprend qu'il n'est pas toujours maître de lui-même. Il est possible que nous soyons incapable d'évaluer laportée de nos agissements ainsi que leurs cons...
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Peut-on savoir ce que l'on fait ?
mais dans le ça, réservoir des pulsions. Nous désirons sans savoir pourquoi et surtout sans le vouloir, nous n'ensommes donc pas responsables.On peut radicaliser cette obscurité à soi-même en invoquant, dans une tout autre perspective, les traditionsplatonicienne et chrétienne. Le désir est une sorte de trouble, voire une maladie que le corps inflige à l'âme, etdont elle ne peut se défaire que par la philosophie (Platon) ou par le recours à la grâce divine (saint Augustin).Nous ne sommes donc pa...
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se savoir être
← sentir ← voir ← entendre ← percevoir ← regarder ← écouter ← ← Si la sensation est pure r éception de l’information, la perception, elle, semble impliquer son traitement. Il y aurait donc une diff érence fondamentale entre ces deux op érations au sens o ù si la premi ère appara ît comme passive, la seconde engagerait une v éritable activit é, soit donc une forme de conscience plus complexe encore. Dans ...
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Peut-on ne pas savoir ce que l'on fait ?
responsables.On peut radicaliser cette obscurité à soi-même en invoquant, dans une tout autre perspective, les traditionsplatonicienne et chrétienne. Le désir est une sorte de trouble, voire une maladie que le corps inflige à l'âme, et dontelle ne peut se défaire que par la philosophie (Platon) ou par le recours à la grâce divine (saint Augustin).Nous ne sommes donc pas responsables de nos désirs, mais il peut alors sembler paradoxal que les dernièresperspectives évoquées, contra...
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A. DE L'IGNORANCE AU SAVOIR
1. SAVOIR, SCIENCE ET SAGESSE
[SOCRATE-THÉÉTÈTE]
— S.
150 PlATON PAR LUI-MÊME 2. CRITÈRES ET OBJETS DU SA VOIR ET DE L'IGNORANCE [SOCRATE-ALCIBIADE] - S. Ne sais-tu pas que ceux qui se disposent à enseigner quoi que ce soit doivent commencer par le savoir eux-mêmes?- A. Bien sûr. -S. N'est-il pas vrai que ceux qui savent doivent s'accorder entre eux et ne pas différer? - A. Si. -S. Là où ils diffèrent, diras-tu qu'ils savent? - A. Non certes. -S. Dès lors comment pourraient-ils...
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Peut-on ne pas savoir ce que l’on fait ?
de manière spontanées ou non. D'après Descartes, à partir du moment où nous pensons, nous le savons et nous savons que nous sommes. « Je pense donc je suis ». C'est pourquoi nous avons conscience de la réalité de notre existence. Mais cette conscience accompagne des actes et semble être encore plus présente lorsque nous devons faire. Peu importe l'action que nous devons accomplir, faire quelque chose renvoi toujours au fait d'être concentré sur ce que l'on fait avec des degrés de concentration...
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- Le savoir technique n'est-il qu'un savoir-faire ?
- La philosophie n'est pas un savoir , mais une réflexion sur le savoir ?
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Tout savoir est-il aussi un pouvoir?
On peut d'ailleurs se demander si cette conception utilitaire à la science n'est pas conforme à la sagesse et s'il nefaut pas tenir que la science est pour l'homme et non pas l'homme pour la science. Or quoi de meilleur pour celle-ciqu'une humanisation progressive de la vie grâce à une maîtrise de plus en plus complète des forces de la nature ?Voilà bien, il est vrai, un but immédiat de première importance, et peut-être le premier en importance. Mais il reste àpréciser les caractères d'une vie v...
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Que puis-je savoir de moi ?
famille, ses amis ou un parfait inconnu? Ce problème de l'hypocrisie est un autre obstacle de taille dans la recherchedu savoir authentique de moi. Mes relations avec telle ou telle personne mettent en évidence divers aspects de ma personnalité. Elles mepermettent d'en savoir un peu plus sur moi-même, grâce aux expériences de la vie partagées en commun. Parexemple, mes parents me renseigneront davantage sur mon enfance et la période où j'étais encore bébé, moment dela vie dont p...
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La philosophie est-elle un savoir ?
fondements absolus. Mais, si cette intention traverse tout le champ de la philosophie classique, elle semble sedisperser, s'éclater lorsqu'elle s'interroge sur les rapports qu'elle-même est susceptible d'entretenir avec ses propresfondements. Nous touchons ici à l'essentiel du contenu philosophique des systèmes : du scepticisme au dogmatismesemble se développer tout un éventail de compréhensions du savoir philosophique. Pouvons-nous dessiner lesarticulations de cet éventail ? * * * No...
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Que puis-je savoir de moi-même ?
Rédaction : Pour la plupart des gens, la réponse aux questions « qui suis-je » et « que suis-je » est plutôt limitée. Prenons un exemple de réponse à cette question: je suis un homme, je m’appelle AZ, je suis étudiant et j’aime jouer au tennis. Plus simple, je suis « moi-même ». Ces réponses sont une forme de définitions, or si l’homme peut se définir par quelques termes, il perd donc sa liberté par suite il est objet. Or, chez les philosophes grecs, une connaissance de soi est synonyme d’une pr...
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Reconnaît-on l'artiste à son savoir-faire ?
Introduction Demander si l'on reconnaît l'artiste à son savoir-faire, c'est interroger la pertinence du savoir-faire comme critère dedistinction d'un artiste et de l'art en général. On met parfois en avant le savoir-faire d'un artiste,un sens aigu de la couleur, ou une grande économie de moyens, comme caractéristiques permettant de reconnaîtreson travail. Mais quel est le sens de cette reconnaissance? Il semble qu'elle soit double: le savoir-faire permettrait àla fois d'identifier et d'évaluer u...
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Savoir et pouvoir.
bien plus exigeant, lui qui voulait comprendre l'action même de ces causes: " Pour la physique, écrivait-il au P. Mersenne, je croirais n'y rien savoir, si je ne savais que dire comment les choses peuvent être, sans démontrer qu'elles ne peuvent être autrement ,, (1). Cette connaissance des rapports nécessaires, caractéristique de l'authentique savoir, n'est p8s impliquée dans le pouvoir, tant s'en faut: à en croire J. Ro...
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Reconnaît-on l'artiste à son savoir-faire ?
Introduction Demander si l'on reconnaît l'artiste à son savoir-faire, c'est interroger la pertinence du savoir-faire comme critère dedistinction d'un artiste et de l'art en général. On met parfois en avant le savoir-faire d'un artiste,un sens aigu de la couleur, ou une grande économie de moyens, comme caractéristiques permettant de reconnaîtreson travail. Mais quel est le sens de cette reconnaissance? Il semble qu'elle soit double: le savoir-faire permettrait àla fois d'identifier et d'évaluer u...
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Savoir, est-ce pouvoir ?
scepticisme, invention habile des savants »On peut d'ailleurs se demander si cette conception utilitaire à la science n'est pas conforme à la sagesse et s'il nefaut pas tenir que la science est pour l'homme et non pas l'homme pour la science. Or quoi de meilleur pour celle-ciqu'une humanisation progressive de la vie grâce à une maîtrise de plus en plus complète des forces de la nature ?Voilà bien, il est vrai, un but immédiat de première importance, et peut-être le premier en importance. Mais il...
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Qu'est-ce qu'un savoir technique ?
a. La technique s'emploie le plus souvent à transformer la nature. Et il y a là forcément de la part de l'homme un affront vis-à-vis des dispositions naturelles. Ainsi les anciens Grecs étaient attentifs à ne pas violenter la naturepour ne pas s'attirer la colère des dieux. Et Prométhée dut supporter le châtiment divin pour avoir dérobé le feu auxdieux et l'avoir transmis aux hommes. Aujourd'hui persiste cette crainte de voir la technique détruire notreenvironnement, corrompre nos âmes et...
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Désir de savoir
-J.P. Sartre (XXe siècle) : « il suffit de constater son existence pour la comprendre », je suis, mais j’aurais bien pu ne pas être. -A. Einstein (XXe siècle) : « La Vie n’est pas faite de question mais de réponses ». Les philosophes, comme les sciences, sont à la recherche du savoir. -Kant (XVIIe) : « On n’apprend pas la philosophie, on apprend à philosopher ». Il s’agit de comprendre, de réfléchir de manière philosophiques avec des principes, et non de définir. Quels s...
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Que peut-on savoir d'autrui ?
2° La notion d' alter ego : je peux savoir d'autrui ce que j'ai en commun avec lui Dans l' Essai sur l'origine des langues , Rousseau propose de mettre en avant ce que nous avons en commun entre individus appartenant à l'humanité. Nousimaginons ce que les autres ressentent, parce que nous savons que nousleurs sommes semblables dans une certaine mesure. On pourrait prendre cetteidée comme modèle de compréhension pour le savoir que nous pouvons avoird'autrui. Nous avons une connaissance ra...
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Faut-il avoir peur du savoir ?
- Le savoir peut faire peur dans la mesure où il donne à l'homme une puissance et qu'il peut s'opposer à la viehumaine. Il s'agit alors de réfléchir à un savoir moral, qui permettrait de donner des règles et des limites au savoir.C'est pour cela d'ailleurs que beaucoup de philosophes ont proposé de réfléchir à la science et aux différentssavoirs. Ainsi la bio-éthique veut d'abord réfléchir aux savoirs qui sont légitimes et qui ne comportent pas dedangers et interdire les rech...
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Savoir et croyance
au monde. En effet, les États qui le précèdent, soit l'État théologique et l'État métaphysique, cherchent à répondre à des questions très vastes et ambitieuses, qui concernent les causes premières et les causes finales. S'interroger sur le pourquoi (et le pour quoi) des choses, c'est vouloir saisir leur raison d'être et leur destination, chercher à déceler une signifi cation globale dans le monde, un ordre organisant l'univers et conférant à l'h...
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Puis-Je Savoir Ce Que Je Fais ?
simplement supposer que c'était dans une démarche de canaliser l'événement douloureux qui le touche.Dans nos rêves nous vivons des scénarios impromptus à la réalité , nous y faisons des choses qui ne se passent que dans notreinconscient psychique , nos rêves sont fictifs. Bien qu'ils puissent ressembler à la réalité , ils ne le sont pas. Les rêves nouséloignent de la réalité , ils nous font croire que l'on peut faire ou vivre des événements qui sont peu probables ou alors impossibledans le monde...
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Faut-il se garder de trop savoir ?
Sans savoir, pas de sagesse possible Ut-'~, Il faut bien apprendre des philosophes si l'on veut soi-même être sage. Mais tout ce que le philosophe enseigne doit nourrir une véritable réflexion. Il ne s'agit pas de se cultiver, mais d'accéder à la vertu. La philosophie nous montre la voie de la sagesse L a sagesse est le but de la philosophie . Elle est le bien le plus élevé de l'âme . La phi losophie , quant à elle , n'est pas...
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Le savoir est il par essence libérateur ?
Le savoir, un allié probable …Dont on peut parfois se pa sser La controverse du savoir. Enjeux : Le problème ici est de comprendre la place qu’occupe le savoir dans notre vie et si un véritable lien uni savoir et liberté. Le savoir, un allié probable pour la libération. Qu’est ce que nous apporte le savoir pour la conquête de la liberté ? On pourra le demander a notre entourage, beaucoup répondrons : le savoir est une arme. En effet, le savoir peut être...
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Toute prise de conscience de soi est-elle un savoir sur soi ?
connaissance était innée dans l'âme et non appris par expérience ou par transmission. Pour démontrer cela, il a ainsiconduit un esclave à formuler le théorème de Pythagore. Donc ici, le savoir existe avant la prise de conscience. Deplus, si on ne peut pas connaître ce dont on n'a pas conscience, il n'y aurait pas de découvertes étant donné que labase de la recherche scientifique repose sur le dépassement des limites connues. Platon, par exemple, tentait sanscesse de dépasser la connaissance scie...
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Notre liberté augmente-t-elle avec notre savoir?
certaines actions en faisant l'expérience d'actions à peu près identiques. Ce savoir s'avère par ailleurs vital car si jene sais pas tirer de leçons de conduite de mes actions passées, je ne survivrai tout simplement pas. Or, cetteexpérience n'est pas seulement l'expérience d'une seule vie, ce type de savoir peut se transmettre de génération engénération. Le savoir historique, par exemple, relève de type ce transmission. Mais, ce type de savoir peut melibérer pour deux raisons qu'il faut b...
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Le savoir exclut-il necessairement la croyance ?
l’avènement d’un nouveau savoir, l’opinion collective peut mettre un frein au savoir.Même si Ératosthène a prouvé que la terre et ronde, il a fallut des siècles pour que cette connaissance, ce savoirsoit accepté. Le savoir doit pouvoir se démocratiser et atteindre une partie suffisante de la population poursupplanter la croyance, comme ici, croire que la terre est plate. Il se crée alors des conflits de l’ordre théologique sebasant sur le savoir et la croyanceEn outre, l’homme ne peut pa...
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Comment peut-on savoir que l'on a raison?
l'encontre) de ces énoncés déduits en les comparant aux résultats des applications pratiques etdes expérimentations.Si cette décision est positive, c'est-à-dire si les conclusions singulières se révèlent acceptables,ou vérifiées, la théorie a provisoirement réussi son test : nous n'avons pas trouvé de raisons del'écarter. Mais si la décision est négative ou, en d'autres termes, si, les conclusions ont étéfalsifiées, cette falsification falsifie également la théorie dont elle était logiqu...
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Savoir empêche-t-il de croire ?
Cela montre également que le fait de passer de la croyance au savoir sans aucune transition est vain. Croire n’est-il pas qu’un rapport de confiance avec l’autre ? En effet, en général nous croyons ce que les autres croient. Même une croyance prétendu personnelle se retrouve forcément dans les croyances d’un groupe qui les distinguent des autres. En fait, c’est en l’autre que l’on croit en adoptant sa croyance. On rejoint ici la confiance aux autres. Et c’est cette confiance qui perme...
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Le savoir peut il être objet de désir ?
activités raisonnables et même lui donnent un prétexte à la non réflexion, les désirs qu'il faut toujours comblerdevenant des passe-temps. Le savoir et le désir sont à ce point contraires, que le savoir et la pratique de lasagesse dans le désir sont castrateurs du désir. C'est la thèse de Nietzsche, qui soutient que le désir spirituel n'estplus un désir. Le désir conduit à la démesure, où l'homme se laisse faire, se laisse guider par ses désirs. En effet le désir rendl'homme pass...
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SAVOIR ORTHOGRAPHIER
De A.
Un principe phonogrammique : les unités de l’écrit transcrivent les phonèmes du code oral Un principe morphogrammique : notre écriture note des informations grammaticales qui n’ont que très rarement de correspondance avec le code oral Un principe logogrammique : par un système d’opposition entre des graphèmes pouvant noter un même phonème ou par la présence d’une ou plusieurs lettres muettes, notre écriture distingue des mots homophones. 4/ des conditions s’enseignement particulièrement...
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Savoir est-ce ne croire à rien ?
II. Savoir pratique et croyance pragmatique Nous n'avons jusqu'ici considéré qu'une définition forte de la notion de connaissance comme modèle hypothético-déductif. En élargissant son champ d'intervention dans le réel (il était, dans le point (I), restreint au formalismeabstrait des fondations logiques de la connaissance), sa confrontation au croire sera plus incisive, et peut-être irajusqu'à établir un rapport de perméabilité, ou de continuité. Dans le domaine de la pratique, le savoir égalem...