8 résultats pour "satiricon"
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Satiricon de PÉTRONE
« -Oui, s'écria Giton, si la mort d'un de nous est nécessaire, voici ma gorge, frappez, plongez y vos épées ; c'est à moi de mourir, à m oi qui ai brisé les liens de votre amitié mutuelle. » « Trimalcion rentra. ( •.. ) -Excusez-moi, dit il, mes amis ; depuis plusieurs jours mo n ventre ne fait pas bien ses fonctions, et les médecins n'y connaissent rien. " ~------- EXTRAITS Le plais ir ne conn aît pa s de lo i ( ... )Gitons' assied...
- GITON. Personnage du Satiricon
- Satiricon de Pétrone (Résumé & Analyse)
- TRIMALCION [Trimalchio]. Personnage du Satiricon
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Devoir maison Latin : Satiricon, Pétrone
1. 2) Vers la traduction : C'était un soldat, et costaud comme Orcus. Nous mettons les voiles au moment où le coq chante, la lune éclairait comme le soleil à midi . Ne croyez pas que je blague. Pour me faire inventer ça, personne ne pourrait me payer assez cher. Je continue. Une fois changé en loup, il commença à retentir des hurlements et s'enfuit dans les bois. Moi au départ je ne savais pas où je me trouvais. Impossible d'être plus mort de trouille que moi. J'ai toutefois dégainé m...
- SATIRICON de Pétrone (résumé et analyse)
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Le Satiricon
Pétrone
Fragment du festin de Trimalchion
Comme je vous le disais, cette fortune, c'est ma bonne conduite qui m'y a élevé.
confirmé dans mon idée par les conseils d'un astrologue, venu par hasard dans notre colonie. C'était un Grécaillon, nommé Sérapa, qui aurait pu siéger au conseil des dieux. Il me dit des choses que j'avais oubliées ; il me raconta tout depuis a jusqu'à z ; il savait ce que j'avais dans le ventre. C'est tout juste s'il ne m'a pas dit ce que j'avais mangé la veille. Vous auriez cru qu'il ne m'avait jamais quitté.
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Le Satiricon
Pétrone
La matrone d'Éphèse
Il y avait à Éphèse une dame si renommée pour sa vertu que les femmes
mêmes des pays voisins accouraient pour contempler cette merveille.
comme devant un fantôme ou quelque apparition infernale. Mais bientôt ce cadavre qu'il aperçoit gisant, ces larmes qu'il voit couler, ce visage déchirer à coups d'ongles le convainquent, comme c'était du reste la vérité, qu'il a sous les yeux une veuve inconsolable dans ses regrets. Il apporte dans le caveau sa maigre pitance, et commence par exhorter l'affligée à ne point s'obstiner dans une douleur superflue, à ne pas se rompre le c œ ur en vains gémissements : tous, dit-il, nous avons même f...