605 résultats pour "oui"
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Historique de oui, adverbe
Étymologie
De l'ancien français oïl, 'oui'.
XVe ouil ouy oui plaisance? Certes ouil ! et Amour mercier Tres humblement de toute ma puissance. — Charles I er d’Orléans , Poésies N’ont pas Anglois souvent leurs rois trays ? Certes ouïl ; tous en ont congnoissance ; Et encore, le roy de leur pays Est maintenant en doubteuse balance… — Charles I er d’Orléans , Poésies Le conte de Clermont. De bien ou mal, le bien faire l’emporte, N’est il pas vray? ainsi que dit chascun; Helas, ouy , car je n’en voy pas ung Qui à la fin d’un jeu n...
- CAM Ca dépendante INTEGRINES OUI CADHERINES OUI SELECTINES OUI IMMUNOGLOBULINES NON Type de reconnaissance Spécificité Responsable de l'adhésion des cellules épithéliales Hétérophylique avec la basale et de l'adhésion
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Citations avec oui, adverbe
Ce peu de mots excite une telle foule d'idées dans ma tête, que je ne saurais vous
répondre nioui ni non.
Echaudé par ce précédent, le gouvernement, cette fois, n’appelle ni à voter oui ni à voter non. L’Express.fr Alors, messieurs les tricheurs du oui, votre saleté d’UE, vous la jugez aux résultats, oui ou non? Le Monde.fr Le 24 février, les Genevois diront s’ils entendent oui ou non réviser de fond en comble la Constitution cantonale. Le Courrier.ch Vaud, Neuchâtel, Genève et Jura avaient voté « oui » à la constitution d’un contingent appelé à servir sous l’égide de l’ONU. Le Temps...
- ouïe.
- Citations avec oui
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Antigone d'Anouilh : le oui et le non
La conclusion en est-elle plus limpide? Quel est le personnage? quelle est l'attitude qu' Anouilh nous invite à choisir?. Faut-il préférer le oui de Créon, ou le non d' Anti gone ? Question également simpliste. Certes Créon en appa rence dit oui à son métier, à son rôle d'homme, à la vie, et à ce titre il pourrait attirer notre sympathie. Mais qui ne voit comment il le prononce, ce oui? Comme il est peu enthou siaste! Su...
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Le Conscrit ou Le Retour de Crimee
Oui, et surtout après avoir tant trotté et avoir passé tant de nuits sous la tente du champ de bataille!
l'combat d'une bataille, hein? ROBERT. Ça te ferait donc bien plaisir? CRIQUET. Ah! tiens, ça m'f'rait dresser les ch'veux par-dessus la tête. JULIEN. Ce pauvre Criquet... Raconte-lui donc la prise de Sébastopol. CRIQUET. Oui, oui, Robert, raconte-moi ça... ça va m'mettre dans l'ravissement. ROBERT (bas à Julien). Tu vas rire. (A Criquet) Allons, mets-toi là, tu es la citadelle. CRIQUET (riant). Oh! oh! c'te bêtise!... Tu veux que j'fassions une citadelle? ROBERT (commandant). Silence dans les r...
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« Oui ! mille fois oui ! La poésie est un cri, mais c'est un en HABILLÉ (!)» Max Jacob, Esthétique. Vous commenterez, et discuterez s'il y a lieu, ce jugement. ?
Parallèlement nous pouvons étudier comment les surréalistes qui pourtant veulent abolir toute contrainte dans lapoésie, en prenant des libertés dans la métrique, dans les thèmes qu'ils développent, en ne faisant appel ni à lalogique, ni à des sensations communes chez le lecteur, qui transmettent des sentiments et des sensationsimmédiats et spontanés, utilisent aussi les ressources des rythmes, des sonorités, des images que font naître lechoix des mots employés et leur juxtaposition. Ainsi...
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- Définitions de oui, adverbe (aussi nom masculin) (Marquant une réponse affirmative, une approbation).
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Heidegger: oui et non à la technique
comment accepter la technique et se refuser à elle? C'est cette aporie que Heidegger souligne également quand ilécrit: « Mais si nous disons ainsi à la fois "oui" et "non" aux objets techniques notre rapport au monde techniquene devient-il pas ambigu et incertain? ». Comment ne pas tomber dans un rapport contradictoire? Et pourtant c'estbien là que se situe selon l'auteur le lieu de notre libération. Il précise: « Tout au contraire : notre rapport aumonde technique devient merveilleusement s...
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Eugenie Grandet
--Oui, mademoiselle Grandet.
Mais le deuil d'un frere est indispensable, et l'Eglise nous ordonne de ... Achetez votre deuil sur vos six louis. Vous me donnerez un crepe, cela me suffira. Eugenie leva les yeux au ciel sans mot dire. Pour la premiere fois dans sa vie, ses genereux penchants endormis, comprimes, mais subitement eveilles, etaient a tout moment froisses. Cette soiree fut semblable en apparence a mille soirees de leur existence monotone, mais ce fut certes la plus horrible. Eugenie travailla sans lever la tete...
- La vue et l'ouïe
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Les troubles de l'ouïe
surdité de conduction surdité de transmission A gauche: Les affections des différentes parties de l'oreille donnent lieu à divers types de surdité. Une surdité de transmission résulte de troubles de l'oreille externe ou moyenne . Si c'est l'oreille interne ou le tissu nerveux responsable de l'ouïe qui sont touchés, il en résultera une surdité de perception. enclume étrier conduit auditif externe surdité de réception canaux semi-circulaires dat, colle...
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CHEREA
Dans un sens, oui.
Ilsort.
- Pour un oui ou pour un non [Nathalie Sarraute] - résumé et analyse.
- Pour un oui ou pour un non [Nathalie Sarraute] - Fiche de lecture.
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- Oui des jeunes filles, le [Leandro Fernández de Moratín] - résumé et analyse.
- Oui des jeunes filles, le [Leandro Fernández de Moratín] - fiche de lecture.
- Oui des jeunes filles, le [Leandro Fernández de Moratín] - Fiche de lecture.
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L'Ouïe
fe nêt re ovale cochlée ' Les sons traversent le conduit L 'AUDITION auditif externe et font vibrer nerf audit if le tympan. Les osselets amplifient ces vibrations avant de les transmettre à l'oreille interne par la fenêtre ovale. conduit auditif externe Les oscillations de /'endolymphe sont dues aux mouvements vibratoires de l'étrier. Elles font onduler les cils des cellules sensorielles de Corti , qui émettent des impulsions électri...
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Heidegger: oui et non à la technique.
Ce que veut montrer Heidegger, c'est qu'il y a quelque chose qui dépasse l'homme dans l'origine de la technique etdu coup quelque chose qui dépasse aussi la technique. QUATRIÈME TEMPS : LE PRÉTEXTE Ce que l'on sous-entendLe présupposé de Heidegger est en un mot que le principe de la technique n'est pas lui-même technique.Deux idées correspondent au principe de la technique :a) l'idée de production ou de créationb) l'idée de découverte ou de dévoilementL'homme moderne se définit par son rapport...
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Pour un oui ou pour un non de Nathalie Sarraute
reprises puis " prenant courage " il se lance dans l'aveu. Au début il commence par ne pas vouloir lui répondre puis devant l'insistance de celui-ci il finit par lui rappeler un évènement passé, une phrase prononcée. Pour ainsi parvenir à l'aveu, il ne lui dit pas directement mais il l'amène petit à petit à faire appel à ses souvenirs. On remarque une grande incompréhension entre les deux amis qui est due à un manque de dialogue, de peur de vexer ou de rendre mal à l’aise l’autre. Et leur parol...
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Quand on est jeune, on vénère ou on méprise sans y mettre encore cet art de la nuance qui forme le meilleur acquis de la vie, et l'on a comme de juste à payer cher pour n'avoir su opposer aux hommes et aux choses qu'un oui et un non.
l'écoute de la jeunesse ... Faute de quoi on se retrouve out, ringard, dépassé. Sans nécessairement aller jusqu'à vénérer leurs descendants, nombreux sont ceux qui regrettent leur propre jeunesse, à laquelle ils attribuent rétrospectivement une «insouciance,. dont ils ont la nostalgie. C'est un tout autre portrait de la jeunesse que trace Nietzsche. 1. La jeunesse, l'absolu et le mensonge Nietzsche caractérise la jeunesse par son goût de l'absol...
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Vecheu
De venir oui, oui, oui, De venir non, non, non, De venir troubler mon plaisir. Si je meurs, je veux qu'on m'enterre Dans une cav', où y a du bon vin, Dans une cav' oui, oui, oui, Dans une cav' non, non, non, Dans une cav', où y a du bon vin. Les deux pieds contre la muraille Et la tête sous le robinet, Et la tête oui, oui, oui, Et la tête non, non, non, Et la tête sous le robinet. Et les quatre plus grand ivrognes, Porteront les quatr' coins du drap, Porteront oui,...
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Monsieur Bergeret a Paris
--Oui, dit M.
Elle s'arrêta de manger du poulet et dit: Papa, je t'admire. Je suis fière de toi. Tu es un grand homme. C'est aussi l'avis de Riquet, le petit chien, dit M. Bergeret. II Le mobilier du professeur fut emballé sous la surveillance de mademoiselle Zoé, et porté au chemin de fer. Pendant les jours de déménagement, Riquet errait tristement dans l'appartement dévasté. Il regardait avec défiance Pauline et Zoé dont la venue avait précédé de peu de jours le bouleversement de la demeure naguère si pai...
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oui
Ainsi, puisque la conscience de soi est partiellement dépendante du langage, on peut la considérer comme une connaissance mais peut-on
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La psychanalyse s'oppose-t-elle à la religion ?
Telles sont les questions que Freud examine à partir du chapitre IV de « L'avenir d'une illusion », au cours d'un dialogue entre lui et un contradicteur imaginaire. Le texte étudié est un plaidoyer pour une éducation sans religion. Commentaire du texte. I. Ce que Freud met en cause est la thèse exprimée par un contradicteur (supposé) : l'homme ne saurait se passer de la consolation qu'apporte l'illusion religieuse. II. Mais la réponse apportée d...
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Exposé du droit de suffrage
Gaulle : 90% OUI et 09% NON - référendum du 28 oct 1962 avec l'élection du PR au suffrage universel direct donc De Gaulle : 62% OUI et 37% NON - référendum du 27 avril 1969 avec la réforme des régions et la transformation du sénat par De Gaulle, qui n'a pas suscité un véritable intérêt dans le pays, ce qui lui valu sa démission le lendemain : 47,59% OUI et 52,41% NON qui l'emporte. - référendum du 23 avril 1972 avec l'élargissement des communauté...
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Hernani (I) - Hugo - Commentaire: première scène de l'acte I
LE DRAME ROMANTIQUE Oui. Oui. Oui. DONA JOSEFA. DON CAR.Los. Sans doute elle attend son jeune? DONA JOSEFA. Oui. DON CARLOS. DONA JOSEFA. DON CARLOS. Duègne, c'est ici qu'aura lieu l'entretien? Cache-moi céans. Vous! DONA JOSEFA. DON CARLOS. DONA JOSEFA. DON CARLOS. Moi. DONA JOSEFA. Que je meure ! Pourquoi? DON CARLOS. Pour rien. DONA JOSEFA. Moi vous cacher! DON CARLOS Ici. DONA JOSEFA. Jamais! DoN CAR.L...
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Quatre-vingt-treize
Je suis l'envoyé de la République.
La voix du haut de la tour répondit: \24 Oui, Caïn. Cimourdain repartit avec une inflexion singulière, qui était à la fois haute et douce: \24 Insultez, mais écoutez. Je viens ici en parlementaire. Oui, vous êtes mes frères. Vous êtes de pauvres hommes égarés. Je suis votre ami. Je suis la lumière et je parle à l'ignorance. La lumière contient toujours de la fraternité. D'ailleurs, est-ce que nous n'avons pas tous la même mère, la patrie? Eh bien, écoutez-moi. Vous saurez plus tard, ou...
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Le Conscrit ou Le Retour de Crimee
CRIQUET
Oh!
Que j'sis content! Queu bonne nouvelle! J'vas rapprendre à tout le hameau: Je crois qu'j'en perdrons la cervelle, Ah! je m'sauve de mon numéro! Que j'sis content! Queu bonne nouvelle! J'vas l'apprendre à tout le hameau: Je crois qu'j'en perdrons la cervelle, Ah! je m'sauve de mon numéro! Oui, je m'sauve de mon numéro! Oui, je m'sauve de mon numéro! (Très vite et en sautant et en sortant.) Oui, je m'sauve de mon numéro! Oui, je m'sauve de mon numéro! ACTE SECOND DEUX ANS...
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Le Conscrit ou Le Retour de Crimee
de ficelle pour te serrer l'ventre quand t'auras trop faim au régiment.
Oui! oui! Maintenant partons et allons montrer aux Russes que quoique partant de la campagne, nous saurons leur faire voir que leurs balles ne nous feront pas peur!... Allons! mes camarades, en avant, et répétons la belle devise de nos anciens: Aime Dieu et va ton chemin! Tous (avec explosion, agitant leurs chapeaux). Oui! oui! Aime Dieu et va ton chemin! Vive la France! ROBERT. Adieu, père Lefuté...! adieu, Criquet, mauvais conscrit... Je reviendrai décoré ou je serai tombé au champ d'honneur!...
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- « C'est ç'la, oui »
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Mais quoi, tourmenter ses cheveux était sa seule joie.
faire. Abandonnant sonpeigne, ilsortit lechargeur. Sixballes. Lapremière toutenhaut, onlavoyait entière-784 ment. Sipetite etpourtant, hein,dischérie? Lechargeur remisenplace, ilôta lecran d'arrêt, tiralapièce mobile, lâchale mécanisme. Voilà,çayétait, lapremière balleétaitlogée. Àla cuisine, lefil de fer bien tendu, tellement droit,agréable à voir. Il avait bienréussi àle tendre, ilaimait leregarder chaquefoisqu'il allait àla cuisine, c'étaituneréussite. Ilytenait, et voilà, ilfallait lequitter...
- L'ouïe chez le chat.
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scandale, il dirigea prudemment un regard inquisiteur vers un ravissant adolescent qui rentrait, raquette sous le bras.
LXXXVI Baigné unefoisdeplus, raséunefoisdeplus, ennoble robedechambre unefoisdeplus. Oui,plus quejamais indispensable d'êtrebeau.Unparia nepouvait pluscompter quesurlebiologique. ÔMangeclous, ôSalomon, ôSaltiel. Sur samain, ilbaisa lajoue deson oncle. Fuir,allervivre aveceux? La nuit dehors. Dixheures. Touteseuledepuis desheures, lamalheureuse, n'ayantpasosé ledéranger puisqu'ilétait censé avoirmalàla tête, nel'ayant avertideson retour queparunbillet glissé souslaporte, soigneusement écrit,d'une...
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Aristophane, l'Assemblée des femmes (extrait).
CINQUIÈME FEMME Et moi, une bien plus belle que celle d’Epicratès. PRAXAGORA Et vous, que dites-vous ? QUATRIÈME FEMME Elles font signe que oui, de la tête. PRAXAGORA Pour le reste certes, je vois que c’est fait. Vous avez des chaussures laconiennes, des bâtons, et les manteaux de vos maris comme nous l’avions dit. SIXIÈME FEMME Pour moi, j’ai dérobé à Lamias ce bâton-ci que j’ai emporté quand il dormait. PRAXAGORA C’est un de ces bâtons sur lesquels il s’appuie pour péter. SIXIÈME FEMME...
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Le Conscrit ou Le Retour de Crimee
CRIQUET (riant).
Tiens, tiens, Criquet, au lieu de nous parler de tout ça, tu ferais bien mieux de nous parler du pays, de ce qui s'est passé depuis notre départ, cela nous intéressera. JULIEN. Oui! oui, Criquet, dis-nous un peu s'il y a eu du nouveau pendant notre absence. CRIQUET Ah! ben, dame, j'veux ben, pass'qu'il en est arrivé diablement du nouveau, allez!... oh! oui! ROBERT Conte-nous donc ça. CRIQUET (au milieu). Eh ben! imaginez-vous qui s'est passé des choses!... oh! mais, des choses incroyables! ROBER...
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votre regard, que ces mille circonstances enfin qui se réunissent
mêmes pressentiments, sinos deux existences nesetouchaient pasparlecœur ? Vousm’aimez, ôreine, etvous me pleurerez ? – Oh ! monDieu ! monDieu ! s’écria Anned’Autriche, c’estplusquejen’en puissupporter. Tenez,duc,au nom duCiel, partez, retirez-vous ; jene sais sije vous aime, ousije ne vous aime pas ;mais ceque jesais, c’est que jene serai point parjure. Prenezdoncpitiédemoi, etpartez. Oh !sivous êtesfrappé enFrance, sivous mourez enFrance, sije pouvais supposer quevotre amour pourmoifûtcause dev...
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931
Isolde et les passagères, il s'en était toujours senti séparé.
Ce courage, ill'avait eul'autre soir.Uneforte gifle,etensuite ils'était enfermé àclef dans sachambre, s'étaitentaillé la cuisse pourrétablir lajustice, Ofunèbre comique defrapper parbonté unedouce créature qu'ilchérissait. Parbonté, oui, pour luiôter deslèvres cetaimable sourired'unefemme bienélevée quinevoulait passavoir qu'elle s'ennuyait, qui croyait sansdoute àquelque tristesse sanscause. Parbonté, oui,pour luidonner delavie, pour l'empêcher devoir leur naufrage. Maisiln'avait paspusupporter...
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Sue, les Mystères de Paris (extrait).
que vous vouliez. « Ton argent et ta vie !… » et vous l’avez frappé d’un coup de poignard. — Tel a été le récit de M. Murph lorsque je lui ai donné les premiers secours, dit le docteur. — C’est faux, il a menti. — Murph ne ment jamais, dit froidement Rodolphe. Vos crimes demandent une réparation éclatante. Vous vous êtes introduit à main armée dans ce jardin, vous avez poignardé un homme pour le voler. Vous avez commis un autre meurtre… Vous allez mourir ici… Par pitié pour votre femme et pour v...
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terre pour pouvoir le piquer.
58 Quand jelavis, jecompris queTess avait peur. Elleavait l’intention d’allerdroitaubut. Dès mon arrivée, elle m’entraîna danslejardin, leplus loinpossible delamaison. J’ignorais cequi latracassait, maisje présumais quec’étaient lesretombées denotre conversation delaveille ausoir, etjeme disque ladiscussion ne serait pasune partie deplaisir. Mais ellemesurprit : — J’ai appelé lepsy. Jim.JimStephenson. Ce n’était pasceque jecroyais. — Celui chezqui,selon toi,Michelle aemmené Alex? — Oui. Mais iln...
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avenir !
conditions pourlutter contre lafortune ! C’estunefemme, aprèstout,etelle aime lesgens qui sont capables deladominer ! – Elle nousatrahis, cependant ! – Bah !… Unsimple caprice !… Etson caprice passé,ellenous reviendra ! » Silas Toronthal nerépondit rien.Entendait-il mêmeceque luidisait Sarcany, tandisqueses yeux nequittaient paslafeuille ducarnet, surlequel ilavait tracé sesinutiles combinaisons ? « Que faisiez-vous donclà ?demanda Sarcany.Desmarches, desmartingales ?… Diable !…Vous me paraissez...
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Monsieur Parent
--Qu'est-ce qui t'amusait?
Quand le maître d'hôtel reparut, l'air grave et digne, apportant les fruits du dessert, elle tenait de nouveau un verre plein entre ses doigts, et, regardant au fond du liquide jaune et transparent, comme pour y voir des choses inconnues et rêvées, elle murmurait d'une voix songeuse: Oh! oui! ça doit être amusant tout de Même! UN FOU Il était mort chef d'un haut tribunal, magistrat intègre dont la vie irréprochable était citée dans toutes les cours de France. Les avocats, les jeunes conseillers...
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- Moi-même !
Catherine morditseslèvres decolère ettordit sesbelles mains. – Tout celaestparfaitement exact,deMouy, ajoutaleroi. – Alors, repritlareine mère, sitout était arrêté entrevousetleroi deNavarre, àquelle finl’entrevue que vous avezeuecesoir avec lui ? – Moi, madame, avecleroi deNavarre ? ditdeMouy. M. de Nancey, quim’a arrêté, ferafoique j’étais seul. Votre Majesté peutl’appeler. – Monsieur deNancey !dit leroi. Lecapitaine desgardes reparut. – Monsieur deNancey, ditvivement Catherine, M. de Mouy éta...
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tendrement deux mots, sans l'avoir voulu, sans avoir pensé à lui.
s'écriait-elle, etelle arrangeait lesfleurs avecuneardeur redoublée. Tout àcoup, àpropos derien, fourrageant dansuntiroir, elledisait :alors, çava, mon vieux ?S'aperce-vant qu'ellevenait de s'adresser àlui, elle secachait labouche sacrilège, scandalisée, maisassez fièredecet exploit. Elle s'arrêtait soudaindetravailler, décidaitdes'amuser, allaits'asseoir devantlesecrétaire, écrivaitvingtoutrente foisle nom del'aimé, puislesautres noms,Lalos,Alsol,Losal. Ouencore, deboutdevant 473 la glace, elle...
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Quatre-vingt-treize
L'homme lui saisit le bras.
\24 C'est vrai. Et vous me sauvez? \24 Sans doute. Nous voilà frères, monseigneur. Je demande du pain, vous demandez la vie. Nous sommes deux mendiants. \24 Mais savez-vous que ma tête est mise à prix? \24 Oui. \24 Comment le savez-vous? \24 J'ai lu l'affiche. \24 Vous savez lire? \24 Oui. Et écrire aussi. Pourquoi serais-je une brute? \24 Alors, puisque vous savez lire, et puisque vous avez lu l'affiche, vous savez qu'un homme qui me livrerait gagnerait soixante mille francs? \24 Je...
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Elle a levé la main et j'ai compris qu'elle voulait dire plus grande.
Malcia S'estassurée quenous avions bientous duvin dans nosverres etarepris lefil de ses réminiscences. J'airegardé labouteille. murfatlerpinotnoir,disait l'étiquette. J'avais l'habitude d'alleravecmamère pouracheter delaviande danssaboucherie, a-t-elledit. Et ildonnait àma mère latoute meilleure viandequ'ilavait ! Ilsse disaient tu, parce qu'ils étaient àl'école ensemble. Vous deviez doncavoir àpeu près lemême âgeque Lorka, ai-jedit.Elle devait avoirpeut-être un ande moins. Oui, oui,nous n'éti...
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des faits, des documents historiques.
dit, ilya huit mois. Zey zent behalten bayalererin. Alena adit, C'était uneprofesseur. Puiselleaajouté, demanière déconcertante, Jesuis désolée, c'estuncliché ! Je n'avais pasidée decequ'elle voulait dire. C'est uncliché, maisjedois aller jeter uncoup d'œil àmon four ! J'aisouri, soulagé, etAlena s'est levée etafoncé danslacuisine pourvoiroùenétait sondessert. Pendant qu'elleétait partie, samère aparlé et,dans unanglais àla fois hésitant etvéhément, elleatraduit ce qu'Adam avaitdit. Et ils ont é...
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Une critique linguistique de la vérité-correspondance de J. L. AUSTIN
est hexagonale » avec la France. Que dire ? Est-ce vrai ou non ? Question, on le voit, simpliste. Eh bien si vous voulez, jusqu'à un certain point, on peut voir ce que vous voulez dire, oui peut être dans tel but, ou à tel propos, pour les généraux cela pour rait aller, mais pas pour les géographes( ... ). C'est une assertion ébauche ( ... ),mais on ne peut pas dire qu'elle soit fausse tout court. Et l' Alma, bataille du...