46 résultats pour "meure"
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«Tu meurs de ce que tu es vivant» - Montaigne.
«Pouvoir toute chose sur soi» Vivre à propos, c'est aussi savoir que «la vraie liberté, c'est pouvoir toute chose sur soi». Car, pour ce qui est des lois, le point de vue de Montaigne est éminemment socratique : « ...les loix se maintiennent en crédit, non par ce qu'elles sont justes, mais par ce qu'elles sont loix. C'est lefondement mystique de leur authorité; elles n'en ont poinct d'autre. ...Il n'est rien si lourdement et largement fautier que les loix, ny si ordinairement. Quiconque le...
- Meurisse, Paul - encyclopédie du théâtre.
- Meurisse, Paul - acteur / actrice.
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Jean de Sponde, Les Amours, « Je meurs, et les soucis qui sortent du martyre ».
Je meurs, et les...
Jean de Sponde, Les Amours, « Je meurs, et les soucis qui sortent du martyre ». Je meurs, et les soucis qui sortent du martyre Que me donne l'absence, et les jours, et les nuits Font tant qu'à tous moments je ne sais que je suis, Si j'empire du tout ou bien si je respire ; Un chagrin survenant mille chagrins m'attire Et me croyant aider moi-même je me nuis, L'infini mouvement de mes roulants ennuis M'emporte, et je le sens, mais je ne le puis dire. Je suis cet Actéon de ces chiens déchiré ! Et l...
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Meurs et deviens ! Goethe
de Goethe sur la formation d'un individu. A ses yeux, cette formation s'opère sous la forme de crises successives.De même qu'un serpent change de peau, l'être humain doit parfois tuer en lui quelque chose pour qu'autre chosevienne au jour. Les affirmations de Goethe sur ce point sont nombreuses. Ainsi, dans les Conversations avecEckermann, à la date du 3 mars 1831, il dit à son interlocuteur :«La vie humaine comporte différentes étapes par lesquelles l'homme doit passer et chacune de ces é...
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Goethe : Meurs et deviens !
..,.. Deux explications qui ne s'excluent pas peuvent être données de cette formule: une explication métaphysi que et une explication psychologique. Le texte du poème « Nostalgie bienheureuse » nous incite à privilégier l'interprétation métaphysique ou mystique. Cette« nostalgie» est celle d'une unité per due. Pour Goethe, le monde est l'objet d'un conflit entre des forces opposées, expansion et concentration, dispersion et unité. L'être qui aime...
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Le Cid
Que je meure !
RODRIGUE Et que si près du port, contre toute apparence Un orage si prompt brisât notre espérance ? CHIMÈNE Ah ! mortelles douleurs ! DON RODRIGUE Ah ! regrets superflus ! CHIMÈNE Va-t'en, encore un coup, je ne t'écoute plus. DON RODRIGUE Adieu ; je vais traîner une mourante vie, Tant que par ta poursuite elle me soit ravie. CHIMÈNE Si j'en obtiens l'effet, je t'engage ma foi De ne respirer pas un moment après toi. Adieu ; sors, et surtout garde bien qu'on te voie. Elvire Madame, que...
- QUE LA BÊTE MEURE
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- A CHAQUE AUBE JE MEURS
- J'y meurs de néant...
- PLUS GROS QUE MOI TU MEURS !
- Meure: Les jeunes aident leurs parents.
- « Je meurs innocent. Je pardonne à tous mes ennemis. »
- La naissance de la Résistance «Où je meurs renaît la patrie».
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"Meurs ou tue." Pierre Corneille.
Rodrigue partage les vues de son père à cet égard : à la question provocante du père, qui ouvre la scène, relativeau courage possible du fils, la réponse de ce dernier jaillit sans la moindre hésitation : DON DIEGUE« Rodrigue, as-tu du coeur ?DON RODRIGUETout autre que mon père L'éprouverait sur l'heure. »(v. 261-262) La seule résistance que Rodrigue devra vaincre, en particulier dans les Stances, consécutives à cette scène,provient, bien entendu, de son amour pour Chimène; Rodrigue comp...
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Louise LABÉ: « Je vis, je meurs ... » (Oeuvre)
DIFFICULTÉS... CONSEILS... PROPOSITIONS ... • Les difficultés de langue (français du xv1" siècle) ne doivent pas constituer un véritable obstacle à la compréhension de ce poème. • Le point essentiel est l'étude de sa construction : celle-ci est très savante et mérite qu'on s'y attarde. Elle doit conduire toute l'analyse du sonnet, forme fixe dont il convient d'examiner l'utilisation particu lière chez Louise Labé. • On s'attacher...
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- Si j’avance, suivez-moi; si je meurs, vengez-moi; si je recule, tuez-moi.
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oral louise labé je vis je meurs
V1 Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie ; J’ai chaud extrême en endurant froidure : La vie m’est et trop molle et trop dure. J’ai grands ennuis entremêlés de joie. V5 Tout à un coup je ris et je larmoie, *tout à un coup = en même temps Et en plaisir maint grief tourment j’endure ; * grief= grave, pénible Mon bien s’en va, et à jamais il dure ; Tout en un coup je sèche et je verdoie. Ainsi Amour inconstamment me mène ; V10 Et, quand je pense avoir plus de douleur, Sans y...
- La naissance de la Résistance «Où je meurs renaît la patrie» (Aragon).
- Louise Labé: Je vis, je meurs : je me brûle et me noie
- MEURS ET TU VERRAS... de los Herreros - résumé, analyse
- PAUL MEURISSE Période 1941-1954 NOTICE BIOGRAPHIQUE
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AUGUSTIN THIERRY (1795-1856). Meurtre de Thomas Becket
QUESTIONS D'EXAMEN I. — L'ensemble. — Nature du morceau : une narration d'un puissant intérêt dramatique. — Quels sont lespersonnages mis en présence? Pourquoi les chevaliers normands sont-ils envoyés auprès de Thomas Becket? (direqui les envoie); Comment vous apparaît l'archevêque? De quelles qualités fait-il preuve? (le calme, une inébranlablefermeté, le mépris de la mort); Quelle impression produisent en vous ses paroles et son attitude? Par quoi estassurée l'unité de ce récit...
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Sue, les Mystères de Paris (extrait).
que vous vouliez. « Ton argent et ta vie !… » et vous l’avez frappé d’un coup de poignard. — Tel a été le récit de M. Murph lorsque je lui ai donné les premiers secours, dit le docteur. — C’est faux, il a menti. — Murph ne ment jamais, dit froidement Rodolphe. Vos crimes demandent une réparation éclatante. Vous vous êtes introduit à main armée dans ce jardin, vous avez poignardé un homme pour le voler. Vous avez commis un autre meurtre… Vous allez mourir ici… Par pitié pour votre femme et pour v...
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Je vis, je meurs: je me brûle et me noie,
J'ai chaud extrême en endurant froidure;
La vie m'est et...
Je vis, je meurs: je me brûle et me noie, J'ai chaud extrême en endurant froidure; La vie m'est et trop molle et trop dure, J'ai grands ennuis entremêlés de joie. Tout en un coup je ris et je larmoie, Et en plaisir maint grief tourment j'endure, Mon bien s'en va, et à jamais il dure, Tout en un coup je sèche et je verdoie. Ainsi Amour inconstamment me mène Et, quand je pense avoir plus de douleur, Sans y penser je me trouve hors de peine. Puis, quand je crois ma joie être certaine, Et être en ha...
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« Pendant que le baron de Sauve fait son service au Louvre, la baronne est avec un muguet de ses amis, dans
ne maison proche de la Croix-des-Petits-Champs, vers Saint-Honoré ; le baron de Sauve reconnaîtra la maison
à une croix rouge qui sera faite sur la muraille.
L’homme fitun bond enarrière, eten bondissant sonchapeau tomba. – De Mouy deSaint-Phale !s’écria-t-il. – Maurevel !hurla lehuguenot enlevant sonépée. Jetecherchais ; tuviens au-devant demoi, merci ! Mais lacolère nelui fitpas oublier Henri ;etse retournant verslafenêtre, ilsiffla àla manière despâtres béarnais. –Cela suffira, dit-ilàSaucourt. Maintenant, àmoi, assassin !à moi !Et ils’élança versMaurevel. Celui-ci avaiteuletemps detirer desaceinture unpistolet. – Ah !cette fois,ditleTueur deRoi e...
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Je vis, je meurs; je me brûle et me noie;
J'ai chaud extrême en endurant froidure;
La vie m'est et...
Je vis, je meurs; je me brûle et me noie; J'ai chaud extrême en endurant froidure; La vie m'est et trop molle et trop dure; 4 J'ai grands ennuis entremêlés de joie. Tout à un coup je ris et je larmoie, Et en plaisir grief tourment j'endure; Mon bien s'en va, et à jamais il dure; 8 Tout en un coup je sèche et je verdoie. Ainsi Amour inconstamment me mène; Et quand je pense avoir plus de douleur, 11 Sans y penser je me trouve hors de peine. Puis quand je crois ma joie être certaine Et être au haut...
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Andromaque De Racine Acte 3 Scène 7
De son côté, Andromaque n'est invoquée qu'avec des verbes de perception : « voyez », « vous me verrez », « songez-y » qui tendent à la rabaisser à son stade de - future - vaincue. 2) l’expression d’une faiblesse a) la volonté d’émouvoirDans sa tirade, Pyrrhus laisse entendre une longue supplication à Andromaque, afin d'émouvoir sa tendresse. Il recherche constamment les yeux de celle-ci afin de lui exprimer son émotion par son regard : « Madame, du moins tournez vers moi les yeux »,...
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Je vus je meurs, Louise Labé
-personnification/ allégorie de l'amour: perd le contrôle de sa vie a cause de l'amour b/ L'inscription de l'amour dans le temps - présent de l'indicatif: présent d'enociation-> ordre de la durée - "jeu d'échos": rime=dure/froidure/enduré -> cherche a saisir l'amour dans la durée - gérondif: en endurant-> phénomène de simultanéité des émotions (chaud/froidure), qu'elle éprouve. - rythme binaire: abondance de ponctuation (enchaînement). Ralentissement vers 1 "brûle ET me noie". Vers 3 m'es...
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La Loreley - Guillaume Appolinaire
Faites-moi donc mourir et que Dieu vous protège Mon amant est parti pour un pays lointain Faites-moi donc mourir puisque je n'aime rien Mon coeur me fait si mal il faut bien que je meure Si je me regardais il faudrait que j'en meure Mon coeur me fait si mal depuis qu'il n'est plus là Mon coeur me fit si mal du jour où il s'en alla L'évêque fit venir trois chevaliers avec leurs lances Menez jusqu'au couvent cette femme en démence Va-t-en Lore en folie va Lore aux yeux trembla...
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Louise Labé : Anthologie de Louise Labé
Massimo Uccellatore Le 7 novembre 2014 Romain Vanlanguenakers Steven Vento 5 SEA Table des matières : • Contexte historique Page 2 • Biographie de Louise Labé Page 3 • Caractéristiques littéraire de Louise Labé Page 4 • Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie Page 5 • Analyse de l’extrait...
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Anthologie poétique : Jeunesse
Qui son partement 1 m'a celé. Il ne s'en est a pied allé N'a cheval: helasl comment don? Soudainement s'en est vollé ' Et ne m'a Jaissié quelque don. Allé s'en est, et je demeure, Povre de sens et de savoir, Triste, failly, plus noir que meure, Qui n'ay n'escuz, rente, n'avoir. Des miens Je mendre •, je dis voir•, De me desavouer s'avance•, Oubliant naturel devoir Par faulte d'ung peu de chevance •. Si ne crains avoir desp...
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Clément Marot – Au Roi, « Pour avoir été dérobé »
La povre teste, et ne veult terminer, Ains me contrainct d’apprendre à cheminer Tant affoibly m’a d’estrange manière; Et si m’a faict la cuysse heronniere, L’estomac sec, le ventre plat et vague: Quand tout est dit, aussi mauvaise bague Ou peu s’en fault que femme de Paris, Saulve l’honneur d’elles et leurs maris. Que diray plus au misérable corps Dont je vous parle il n’est demouré fors Le povre esprit, qui lamente et souspire, Et en pleurant tasche à vous fai...
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LA NATURE, LA MORT ET LA VIE
10 La problématique de l'être une mère et je suis une tombe ... » Mais une prosopopée ne constitue pas une définition, et ne permet pas d'établir entre la Nature et la Mort une relation privilégiée. Sans doute, pour l'individu jeté dans la Nature, la mort semble-t-elle plus inéluctable, plus certaine et plus immé diate que la vie, toujours incertaine, toujours précaire et toujours menacée; encore faut-il observer, avec Monta...
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clindor en prison mobologue
douceur pour moi » « ne m'abandonnez point ». c) un avenir funeste qui s'oppose à ce passé heureux Emploi du registre pathétique et d'hyperbole « infâme supplices » « les horreurs » « les plus noirs couleurs » à l'aide desquels il évoque son arrêt de mort ce qui suscite la compassion du spectateur. Les phrases exclamatives et interjection « je meurs » « hélas » marque l'apogée de l'émotion. L'emploi du futur proche « on va bientôt » fait référence au dénouement proche et à l'événement funeste...
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Les « films classiques » du cinéma (Exposé – Art & Littérature – Collège/Lycée)
• Une si jolie petite plage (1949), d'Yves Allégret, scénario de Jacques Sigurd, avec Gérard Philipe et Madeleine Robinson . Un homme accusé d'un crime et menacé par un maitre chanteur trouve refuge dans un hôtel au bord d'une plage du Nord en hiver . Entre comique et merveilleux • La Beffe et la Bête {1946), de Jean Cocteau, avec Jean Marais et Josette Day. De ce conte pour enfants , Cocteau a tiré un film enchanteur . Au moyen de trucages opt...
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L'Adversaire, Emmanuel Carrere
de tout son cœur sa femme et ses enfants ». Florence le disait « très cloisonné », « un peu ours », ce qui expliquaitqu'il n'invitait jamais ses collègues de l'OMS. Il sépare vie privée et professionnelle. Personne ne peut le joindre à sonbureau sauf sur son bippeur. « Jean-Claude avait été la fierté du village. On l'admirait d'avoir si bien réussi et d'êtremalgré cela resté si simple, si proche de ses vieux parents ». Tout le monde admirait sa discrétion, sa modestie, iln'étale pas sa réussite...
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Victor HUGO, Les Feuilles d'automne, « Amis, un dernier mot ! ».
Toi, vertu, pleure si je meurs !
ANDRÉ...
Victor HUGO, Les Feuilles d'automne, « Amis, un dernier mot ! ». Toi, vertu, pleure si je meurs ! ANDRÉ CHÉNIER. 1. Amis, un dernier mot ! - et je ferme à jamais 2. Ce livre, à ma pensée étranger désormais. 3. Je n'écouterai pas ce qu'en dira la foule. 4. Car, qu'importe à la source où son onde s'écoule ? 5. Et que m'importe, à moi, sur l'avenir penché, 6. Où va ce vent d'automne au souffle desséché 7. Qui passe, en emportant sur son aile inquiète 8. Et les feuilles de l'arbre et les vers du po...
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ln artic•lo mords
A l'article de la mort
Cette expression désigne une action accomplie juste avant que quelqu'un ne meure:...
ln artic•lo mords A l'article de la mort Cette expression désigne une action accomplie juste avant que quelqu'un ne meure: elle est empruntée au langage ecclésiastique, où elle fait généralement allusion aux sacrements, du baptême notamment, mais aussi de l'absolution ou de l'extrême onction ; ses attestations sont très nombreuses dans la Patristique, et en latin médiéval - en particulier dans les expressions liturgiques (signalons pat 111i les toutes premières occurrences, le De excidio Hieroso...
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841. Pereant amici, d•m inimici una intercidant
Que meure l'ami, pourvu que l'ennemi succombe!
Ce proverbe est cité à la...
841. Pereant amici, d•m inimici una intercidant Que meure l'ami, pourvu que l'ennemi succombe! Ce proverbe est cité à la fois par Cicéron (Pro rege Deiotaro, 9, 25) et par saint Augustin (Contra Faustum, 16 [Pl 42, 400]), mais il s'agit en fait d'un fragment d'un auteur tragique anonyme ( 159 R. 3). L•équivalent grec (i ppé Tw 4>( XoS' ai,v Èx8f>Cfl ). auquel se réfère Cicéron dans son discours, est attesté par Plutarque (Quomodo adulator ab ,1mico internoscatur, SOt) et par la tradition parémio...
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Montesquieu, Les Lettres persanes, lettre CLXI.
Montesquieu critique la société de son temps à travers le regard de deux persans => fausse ingénuité, ironie, « regard étranger »… I- La fin du roman sentimental : A- La vengeance de Roxane • Cf. la 1 ephrase => message direct. Commence par « oui » + 4 propositions commençant par « je » + passé composé. Les compléments des verbes sont tous introduits par un déterminant possessif de 2 e personne « tes, ta, ton ». Vengeance de Roxane contre Usbek. • A imposé sa volonté au sérail => le transfor...
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Gabriel
ses hurlements.
Astolphe? Je ne connais pas cela... GABRIEL. Merci! Je meurs en paix. Je sais d'où part le coup... Tout est bien. GIGLIO. Il meurt! Ah! Dieu n'est pas juste! Il meurt! Je ne peux pas lui rendre la vie... (Mosca revient et lèche la figure et les mains de Gabriel.) Ah! cette pauvre bête elle a plus de coeur que moi. GABRIEL. Ami, ne tue pas mon pauvre chien... GIGLIO. Ami! il m'appelle ami! (Il se frappe la tête avec les poings.) GABRIEL. On peut venir... Sauve-toi!... Que fais-tu là?... Je ne peu...
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Meursault, héros ou anti-héros?
l'un des signes les plus clairs et les plus pervers du «défaitisme» : Meursault incarnait en quelque sorte cet «esprit de jouissance» qui avait conduit la France à sa perte et Camus était coupable de ne pas en appeler dans son livre au «redressement moral». Ces critiques font aujourd'hui sourire si elles ne scan dalisent pas. Camus en fut indigné et on lit dans ses Carnets le brouillon d'une lettre qu'il projeta un moment d'envoyer à l'un de ses...
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Andromaque Racine Acte V Scene 1
II - La mort : Elle est très présente dans ce passage. On la retrouve dans : 1. Les deux récits successifs de Pylade à Oreste. Le premier ayant ici la double fonction de narrateur et de confident dévoile au spectateur en même temps qu'à son ami ce qui s'est déroulé en dehors de la scène. De cette façon la bienséance est respectée : pas d'action violente, pas de sang sur scène. Il ne faut pas choquer. (De même l'unité de lieu ne souffre pas. Le temple et le palais restent deux lieux distincts : -...
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ANDROMAQUE de Racine: Acte III, scène 8
Céphise… ». Elle utilise également la deuxième personne du singulier et lui pose même une question : « Ah ! De quel souvenirviens-tu frapper mon âme ! ». Cette exclamation d'Andromaque nous fait penser que Céphise viens de lui rappeler un souvenirqui semble perturbé l'héroïne. Andromaque se met alors à raconter (ligne 3 à 7). Céphise semble disparaître alors tout au long de l'extrait. Le lecteur sait qu'elle est là mais elle ne réapparaît dans la situation decommunication qu'à la fin (les deux d...
- HERNANI DE VICTOR HUGO (TEXTE)