14 résultats pour "keynésianisme"
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keynésianisme.
Currency School demande économie emploi équilibre économique Harrod-Domar (modèle) Hicks (sir John Richard) IS-LM (modèle) Keynes John Maynard Kindleberger Charles liquidité macro-économie marché marginalisme mercantilisme monétarisme monnaie - Deux conceptions de la monnaie multiplicateur néoclassique (synthèse) nouvelle économie classique offre - 2.ÉCONOMIE Patinkin Don plein-emploi politique budgétaire politique industrielle politique monétair...
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Le Keynésianisme
•l'absence d'ajustement par les prix entre les demandes et les offres d'emploi, empêchant la résorption du chômage ; •une théorie de la monnaie fondée sur la préférence pour la liquid ité ; •la notion d'efficacité marginale du capital comme explication de l'investissement, faisant de l'investissement la "cause" déterminante de l'épargne ; •la loi psychologique selon laquelle la consommation augmente moins vite que le revenu. De ce s concepts, qui ont engendré la macroé...
- keynésianisme
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keynésianisme & économie.
ailleurs, être mises en œuvre de manière coordonnée par six ou huit grandes économies mondiales et il est possible que des facteurs politiques rendent cette coordinationdifficile. Microsoft ® Encarta ® 2009. © 1993-2008 Microsoft Corporation. Tous droits réservés.
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Keynes et Keynésianisme.
d’affaires : pendant cette période de transition qui va mener à modifier la valeur de la monnaie et tant que les prix augmente, les hommes d’affaires vont pouvoir écouler leurs stocks a unmeilleur prix (profit sur lequel ils ne comptaient pas à la base). Keynes refait un peu de psycho : source de gain MAIS aussi source de déshonneur. Pourquoi? Car les profits réalisés parhommes d’affaires sont perçus par la société comme étant la cause de la hausse des prix. Or selon Keynes, c’est la conséquence...
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Keynes et le Keynésianisme.
détériore avec le choc de 1979. Toute tentative de reprise par un accroissement des dépenses publiques entraine une augmentation brutale de l'inflation et duchômage. Ainsi, après l'expérience de 1981, F. Mitterrand est obligé de revenir à une politique de rigueur dès 1983. B. Les remises en cause théoriques.Une première critique vient des monétaristes. Les politiques keynésiennes de relance se sont traduites par une augmentation sans précédent de la masse monétaire,entraînant une augmentation de...
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exposé sur la révolution keynésienne
L’opposition entre le keynésianisme et les post keynésiens : - le keynésianisme ou courant de la synthèse néo-classique : a dominé la pensée et les p° éco de l’après-guerre jusqu’au milieu des années 1970. Ils sont les fondateurs de la macroéconomie traditionnelle avec notamment le modèle ISLM de Hicks . Pour eux l’éco est en équilibre car l’offre s’ajuste à la demande et le taux d’intérêt permet d’égaliser l’offre et la demande de monnaie. C’est souvent un équilibre de sous-emp...
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Théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie.
un autre élément : le taux d'intérêt sur les emprunts que l'entreprise doit réaliser pour financer tout ou partie de son investissement. Plus le taux d'intérêt (et donc le coût financier pour l'entreprise) est important, moins l'investissement global est élevé, et donc aussi le produit national et l'emploi. Il existe donc une relation causale (inverse) entre l'intérêt et l'emploi. Ici intervient la deuxième rupture de Keynes avec l'orthodoxie : contre les marginalistes qui détermine...
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Macroeconomics.
IV INFLATION For several decades after World War II (1939-1945) the main inflation theories were demand-pull and cost-push. The cost-push theory basically emphasized the role ofexcessive increases in wages relative to productivity increases as a cause of inflation, whereas the demand-pull theory tended to attribute inflation more to excessdemand in the goods market caused by expansion of the money supply. A central concept in inflationary theory since the mid-1950s has been the Phillips curve...
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offre.
L'offre de monnaie et l'offre de travail. Sur ces deux marchés, la détermination de l'offre est particulière. L'offre de monnaie émane du système bancaire, et les économistes l'expliquent de plusieurs façons. Selon les monétaristes, elle est exogène : la banque centrale a les moyens de contrôler la distribution de crédit par les banques commerciales, et elle doit régler l'offre de monnaie de manière à éviter l'inflation. Selon les keynésiens, la banque centrale doit utiliser son pouvoir discréti...
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libéralisme.
Les incidences du libéralisme économique sur la situation des travailleurs, qu'il s'agisse des conditions de travail au XIX e siècle ou du chômage massif après la crise de 1929, ont cependant conduit à un divorce croissant entre les libéralismes politique et économique. Le néolibéralisme, s'inspirant de John Stuart Mill, admit dès la fin du XIX e siècle la nécessité d'une législation sociale imposée par l'État. Surtout, John Maynard Keynes soutint dans les années trente que la défense des li...
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Keynes et le Keynésianisme
Notamment richard khan. Keynes est inspiré par la philosophie de Moore : « Impossible de définir le bien » (très grand intérêt pour le plaisir esthétique et l’affection personnelle) c’est une morale qui repose sur l’émotion qui méprise les richesse et le pouvoir , qui prône l’immédiaté de l’action, et une ignorance totale de l’avenir éloigné) il n’adhère pas totalement à la philosophie de Moore mais s’en inspire beaucoup. En 1908, il s’engage dans l’économie (articles, etc..) et il se...
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politique monétaire, ensemble de mesures portant sur la quantité globale de monnaie en
circulation ou sur le coût du crédit à court terme.
obligatoires. La Banque de France fixe deux « taux d'intervention » sur le marché interbancaire : celui des appels d'offres, c'est-à-dire des achats de titres à court terme qu'elle se propose de réaliser auprès des banques, et celui, plus élevé, des prises en pension de ces titres pendant une durée déterminée. Ces deux taux, auxquels la banque centrale approvisionne en liquidités les banques commerciales, définissent une bande au sein de laquelle fluctue le taux d'intérêt auquel les...
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théories économiques (histoire des).
réflexion sur la nature de la monnaie. Contre une vision de celle-ci comme chose du prince, Nicolas Oresme soutint que la valeur de la monnaie a pour origine le consentement des marchands à l'utiliser, et qu'en conséquence le prince, seule source légitime de création monétaire, doit s'abstenir de la manipuler. Deux siècles plus tard, cette relation entre le prince et les marchands fut en France au cœur des débats monétaires où se distinguèrent le sieur de Malestroit et Jean Bodin. L'analyse de c...