6 résultats pour "joignait"
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La Terre
Francoise joignit les mains, suppliante.
Sauvez notre vache, notre vieille vache qui nous donne de si bon lait, depuis des annees et des annees... Sauvez-la, monsieur Patoir... Mais, entendons-nous bien, je vas etre force de decouper le veau. Ah! le veau, on s'en fout, du veau!... Sauvez notre vache, monsieur Patoir, sauvez-la! Alors, le veterinaire, qui avait apporte un grand tablier bleu, se fit preter un pantalon de toile; et, s'etant mis tout nu dans un coin, derriere la Rougette, il enfila simplement le pantalon, puis attacha l...
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Histoire de la Revolution francaise, IV
La troupe victorieuse de Cathelineau entra donc dans Cholet, s'empara de toutes les armes qu'elle y trouva, et
fit des cartouches avec les gargousses des canons.
paysans qu'ils commandaient que par leurs qualites naturelles, fut continuee bientot par des hommes d'un rang superieur. Les paysans allerent dans les chateaux, et forcerent les nobles a se mettre a leur tete. Tout le Marais voulut etre commande par Charette. Il etait d'une famille d'armateurs de Nantes; il avait servi dans la marine, ou il etait devenu lieutenant de vaisseau, et a la paix il s'etait retire dans un chateau appartenant a un oncle, ou il passait sa vie a chasser. D'une complexion...
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terminé l'exposé des raisons que je donnais à mon refus, Taperahi toujours hilare, empoigna la marmite et la joignit sans
açon à son matériel.
Taperahi repartait dansunnouveau développement. Au fur etàmesure quelanuit s’avançait, onpercevait quecette création poétique s’accompagnait d’unepertede conscience etque l’auteur étaitdépassé parsespersonnages. Sesdifférentes voixluidevenaient étrangères, chacune acquérait unenature simarquée qu’ilétait difficile decroire qu’elles appartenaient aumême individu. Àla fin dela deuxième séance,Taperahi, chantanttoujours, seleva brusquement deson hamac etse mit àcirculer defaçon incohérente enréclam...
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Le Théâtre français
par Pierre-Aimé Touchard
Après la Libération, les grands noms du théâtre français contemporain
demeuraient ceux de Claudel et de Giraudoux auxquels se joignait un
nouveau venu, Henri de Montherlant.
par Pierre-Aimé Touchard
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Histoire de la Revolution française, IX
Le directoire, mécontent de Moreau, avait résolu de le rappeler, mais il reçut de lui une lettre qui fit la plus
grande sensation.
Ainsi finit l'une des plus belles et des plus intéressantes vies de la révolution. Cette fois du moins ce ne fut pas par l'échafaud. Hoche avait vingt-neuf ans. Soldat aux gardes-françaises, il avait fait son éducation en quelques mois. Au courage physique du soldat il joignait un caractère énergique, une intelligence supérieure, une grande connaissance des hommes, l'entente des événemens politiques, et enfin le mobile tout-puissant des passions. Les siennes étaient ardentes, et furent peut-être...
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Le mot "défaut" dans l'oeuvre de DESCARTES
fidèlement au public tout le peu que j'aurais trouvé, et de convier les bons esprits à tâcher de passer plus outre, en contribuant,chacun selon son inclination et son pouvoir, aux expériences qu'il faudrait faire, et communiquant aussi au public toutes les chosesqu'ils apprendraient, afin que les derniers commençant où les précédents auraient achevé, et ainsi joignant les vies et les travauxde plusieurs, nous allassions tous ensemble beaucoup plus loin que chacun en particulier ne saurait faire....