26 résultats pour "jaillies"
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Définition:
ÉTINCELLE, substantif féminin.
médiateur, il n'y a pas de mouvement de l'homme à Dieu, donc pas de charité. ERNEST PSICHARI, Le Voyage du centurion, 1914, page 219. — Familier. [Par allusion aux étincelles qui jaillissent sous les fers des chevaux] Faire des étincelles. Avoir de brillants résultats, notamment aux examens. Ça va faire des étincelles. Synonyme : ça va barder*. Attesté dans DICTIONNAIRE ALPHABÉTIQUE ET ANALOGIQUE DE LA LANGUE FRANÇAISE (PAUL ROBERT), Larousse de la Langue française. 2. [Par référence à son rôl...
- La voix de l'être invisible et puissant jaillissait vers les petites flammes tremblotant à la cime des cierges. Paul Adam, le Temps et la Vie
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La Curée
de battre de ses gros souliers de provincial ce pavé brûlant d'où il comptait faire jaillir des millions.
\24 Oh! je sais que tu es intelligent, poursuivit Eugène, et que tu ne commettrais plus une sottise improductive... Dès qu'une bonne occasion se présentera, je te caserai. Si d'ici là tu avais besoin d'une pièce de vingt francs, viens me la demander. Ils causèrent un instant de l'insurrection du Midi, dans laquelle leur père avait gagné sa recette particulière. Eugène s'habillait tout en causant. Dans la rue, au moment de le quitter, il retint son frère un instant encore, il lui dit à voi...
- À mesure qu'ils approchaient du sol, les deux jets de plomb liquide s'élargissaient en gerbes, comme l'eau qui jaillit des mille trous de l'arrosoir. Victor Hugo, Notre-Dame de Paris
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le rayon jaillissait, découpait l'obstacle en un empilage de secteurs circulaires, différents par la taille et l'intensité
lumineuse.
nuance sipâle qu’elle nepeut pluslutter aveclavaleur suraiguë delanouvelle teintequepourtant jen’avais pas remarquée, lepassage dudoré aurouge s’accompagnant d’unesurprise moindre quecelui durose auvert. Lanuit s’introduit donccomme parsupercherie. Ainsi, auspectacle desorsetdes pourpres, lanuit commençait-elle àsubstituer sonnégatif oùles tons chauds étaient remplacés pardes blancs etdes gris. Laplaque nocturne révélalentement unpaysage marinau-dessus delamer, immense écrandenuage, s’effilant d...
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La Renaissance ne jaillit pas brusquement d'une prétendue nuit médiévale ; des signes
avant-coureurs existent dans les siècles précédents.
poésie - Poésie et subjectivité Valla Lorenzo Les livres Renaissance - détail de la Vision de saint Augustin (1502), de Carpaccio, page 4301, volume 8 Renaissance - portrait d'Érasme (1523), d'Holbein le Jeune, page 4301, volume 8 Les principes artistiques de la Renaissance Les humanistes formulèrent, à partir des écrits antiques, une conception de l'homme et de ses rapports avec la nature qui a bouleversé les arts. C'est l'homme qui fut pris comme un exemple de perfection à partir duque...
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Dissertation gratuite: Quel Besoin L'Homme A-T-Il De Produire Des Oeuvres D'Art ?
être de relier le besoin spécifique et spirituel de l'homme à l'œuvre d'art explicitée dans sa vraie lumière.De ce que nous sommes immédiatement, nous faisons en effet un pour-soi, une conscience, et ceci nous distinguefondamentalement de l'animal, qui existe seulement de façon immédiate. L'homme est une conscience-de-soi. Cetteconscience de soi est, soit théorique (la réflexion), soit pratique. Alors l'homme tente d'extérioriser le pour-soi dansle monde. Précisément, l'art s'alimente à ce besoi...
- La première balle imprima dans la poitrine du Sauvage un point noir, d'où jaillit aussitôt un mince filet de sang. Gustave Aimard et Jules Berlioz d'Auriac, Jim l'Indien
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L'ADIEU de VERCORS, Le Silence de la mer
»), Vercors donne à son récit la force, l'authenticité d'un témoignage vécu. La distinction auteur/narrateur s'imposeici. En tant que narrateur, l'oncle de la jeune fille prend en charge tous les aspects informatifs et réalistes du récit :— Il informe : il nous donne toutes les indications spatiales et temporelles sur la position des personnages qu'ildécrit, la durée de l'échange, les traits objectifs de leurs visages, etc. — Il fait croire : l'emploi des temps du passé « prouve » que cela...
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Julien Gracq, Le Rivage des Syrtes.
2. Falaise et fortification.L'île de Vezzano est en fait un îlot rocheux et escarpé, isolé dans la mer des Syrtes. Gracq va insister sur lecaractère abrupt de ses côtes : « le rocher jaillissait à pic de la mer » ; ses corniches surplombent les vagues «àune énorme hauteur ». Sa côte est toujours désignée par le mot « falaises », employé quatre fois, la dernière foisavec le qualificatif « sans accès ». Mais l'à pic est encore évoqué sous une forme métaphorique : le donjon. Enfin, J.Gracq...
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Marguerite YOURCENAR, Nouvelles orientales, «Le Lait de la mort»
c) La triade et le chiffre d’orL’histoire présente trois frères et leurs trois épousesComme dans tous les contes populaires, c’est le benjamin qui a le coeur pur,c'est lui (ou elle) qui rencontre et surmonte lesépreuves, qui accomplit la quête. 2) La violence des tragédies antiquesa) La mort est véritable, et non symboliqueLe héros ne mime pas, ne feint pas la mort, par un long sommeil ou un évanouissement.- Le récit a la violence des tragédies antiquesdes textes religieux les plus archaïques- I...
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L'expérience immédiate est-elle source de vérité ?
choses sans aucune médiation, n'est-ce pas se référer au pur néant des impressions psychologiques, disparuesaussitôt que nées? La conscience qui croit atteindre l'absolu et le vrai dans la singularité et l'immédiateté, enrejetant le logos, le discours, n'est-elle pas dupe d'une illusion. L'expérience de l'être immédiat nous communiquebien vite le contraire de cet être, à savoir le néant, car au fond, l'immédiat, insaisissable, apparaît vide etindéterminé. Quand la conscience,...
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Gustave flaubert Madame de Bovary Chapitre 9 partie 2
De plus,nous observons la transformation d'Emma avec le champs lexical de la nature comme « les joncs » l.3 , « les arbres » , « les chemins » , « les fossés » l.1 et « le feuillage » l.2 qui correspond a une renaissance, la poussé d'une nouvelle plantes t-elle qu'Emma. Mais aussi lors de son observation dans la glace oú elle ne se reconnais plus ,montrer par le verbe « s'étonna » et l'adjectif « jamais » l.4 et aussi la répétition du « si » dans la phrase « jamais elle n'avait eu les yeux si...
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Définition du terme:
BÂCLER, verbe transitif.
press?, des m?mes gestes impatients et nerveux. Il b?clait les affaires en deux paroles, r?solvait vingt difficult?s ? la fois et donnait les solutions en courant On e?t dit que ce petit homme remuant, dont la voix ?tait tr?s forte, se battait dans son cabinet avec les gens, avec les meubles, culbutait, se frappait la t?te au plafond, pour en faire jaillir les id?es, et retombait toujours victorieux sur ses pieds. ?MILE ZOLA, La Cur?e, 1872, page 414. ? B?cler de la besogne. Confer l'expre...
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Définition:
CASCADE, substantif féminin.
a) [Relativement aux sensations auditives] Succession de bruits jaillissant brusquement et dont l'intensité varie suivant un rythme comparable à celui d'une cascade. Une cascade de rires. Un grondement continu, sourd, d'où se détachaient quelques pétarades plus saccadées (...) des cascades d'éclatements plus aigus (ALEXANDRE ARNOUX, Les Crimes innocents. 1952, page 177) : Ø 5.... elle partit brusquement de cet éclat de rire singulier que tout le monde connaissait à Alexandrie et qui l'avait fai...
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Définition et usage du mot:
BAVE, substantif féminin.
312601 Forme dérivée du verbe "baver"baverBAVER, verbe.I.— Emploi intransitif.A.— [En parlant de personnes, d'animaux] Laisser couler de la bave par labouche; jeter de la bave, en sécréter. Les petits enfants ne font que baver(Dictionnaire de l'Académie Française); le chien enragé bave beaucoup (NouveauLarousse illustré) :Ø 1. Et l'escargot sans bruitRampe et bave;...MAURICE ROLLINAT, Les Névroses, 1883, page 142. Ø 2. Il [Gagou] s'est avancé sur la place, du côté des femmes, les bras ballants,...
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Et le blé jaillira
JAMES NGUGI
Version anglaise, A grain of wheat, Heinemann, 1967.
Version française, Julliard, 1969.
1963. Thabaï,...
Et le blé jaillira JAMES NGUGI Version anglaise, A grain of wheat, Heinemann, 1967. Version française, Julliard, 1969. 1963. Thabaï, un gros village du Kenya. On s'apprête à fêter le jour de l'indépendance, une indépendance acquise au terme de la longue et sanglante guerre des Mau-Mau. Tout en décrivant les préparatifs et la fête elle-même, Ngugi évoque, par de nombreux retours en arrière, différents épjsodes de cette lutte de libération. - Mugo a pu quitter son dernier camp de détention et ret...
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"Le théâtre est un mensonge qui dit toujours la vérité" - Jean Cocteau. ?
de la situation. Cela renforce encore l'idée de l'auteur. Le multimédia et la musique sont de plus en plus utilisés etpeuvent mettre en relief une vérité dévoilée par le mensonge. Le metteur en scène utilise l'illusion et l'artificiel pourfaire jaillir la vérité et ainsi dévoiler au monde le mensonge qu'est la société. Un acteur peut utiliser son vécu pour mieux jouer. Il peut utiliser la réalité pour faire jaillir l'illusion. Par exemple, pourpleurer, un acteur peut utiliser des moments tristes...
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Le LÉVIATHAN
SECOND DISCOURS du LIVRE DE JOB
Maîtrise de Dieu sur les forces du mal.
Vois, sa force r?side dans ses reins, sa vigueur dans les muscles de son ventre. raidit sa queue comme un c?dre, les nerfs de ses cuisses s'entrelacent. Ses os sont des tubes d'airain, sa carcasse, comme du fer forg?. C'est lui la premi?re des ?uvres de Dieu. Son Auteur le mena?a de l'?p?e, il lui interdit la r?gion des montagnes et toutes les b?tes sauvages qui s'y ?battent. Sous les lotus, il est couch?, il se cache dans les roseaux des mar?cages. Le couvert des lotus lui sert d'ombrage et l...
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Poème : Ni… la… co... – Sar... zi... co...
2 Psychocritique du poème Ni… la… co... – Sar... zi... co... On voit , dans ce poème surréaliste avec ses fortes suggestions, s'affronter, dans un cadre très symbolique, une patrie (terre de ma naissance, patrie ..), voire une société et un couple ( Le « Je » du poète et la dénommée Carla) dont la sexualité se veut sans f oi ni loi ni espoir ( féconde, semence, vallées creuses et alléchantes, jaillirai vos fentes, faux sermon, inaccessible espoir… ). Face au sermon d’un...
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Chateaubriand. Méditation sur l'Acropole (Itinéraire de Paris à Jérusalem)
l'Acropole, la citadelle sainte où se pressent les ruines des chefs-d'œuvre qui s'imposent à l'admiration des siècles.Là, longuement il contemple, il se souvient, il médite. Pages justement immortelles. Celle que nous étudions est unedes plus connues ; on la citera sans cesse pour montrer l'art de Chateaubriand, son talent de peintre, le don qu'il ad'évoquer le passé et de faire jaillir de la contemplation des ruines ou de la nature une méditation lyrique. II Le passage, en effet, se divise t...
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Définition:
AUBE1, substantif féminin.
faux-jour, lividit?, p?leurs; deuil, grisaille, gris de l'aube, ?blouissement, ?clat, gloire; annonce, approche, attente, chute, cr?puscule, ?clatement, ?veil, jaillissements, mont?e, pointe; brouillard, froid (petit), gel, nu?es, ros?e, vapeurs; candeur, douceur, fra?cheur, inqui?tude, paix et recueillement, tristesse. ? Par personnification po?tique?: ? 3. L'?t?, lorsque le jour a fui (...) (...) Un vague demi-jour teint le d?me ?ternel; Et l'aube douce et p?le, en attendant son heure,...
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Définition:
CERVELLE, substantif féminin.
ANATOLE-FRANÇOIS THIBAULT, DIT ANATOLE FRANCE, Le Mannequin d'osier, 1897, page 243. 2. [Organe de la vie psychique] Cervelle fêlée, malade : Ø 5. Il y a là une force nouvelle, supérieure aux antipathies provinciales, inconnue il y a cent ans, située non dans les nerfs, le sang et les habitudes, mais dans la cervelle, les lectures et le raisonnement... HYPPOLYTE-ADOLPHE TAINE, Voyage en Italie, tome 2, 1866, page 34. Ø 6. Privé de sommeil, je ne vaux plus rien. Les rouages de ma cervelle s'...
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point existé, lut les discours, et, hormis Charles, chacun discuta ce qu'il répondrait.
sont adroits etforts, cesgens-là !Nation militaire, peupledesoldats, ilsprennent uncapitaine pourprince, c’est logique, peste!d’Anjou faitleur affaire : lehéros deJarnac etde Moncontour leurvacomme ungant… Qui voulez-vous quejeleur envoie ? d’Alençon ? unlâche !cela leur donnerait unebelle idéedesValois !… D’Alençon !il fuirait àla première ballequiluisifflerait auxoreilles, tandisqueHenri d’Anjou, unbatailleur, bon !toujours l’épéeaupoing, toujours marchant enavant, àpied ouàcheval !… Hardi !pi...
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de lois), mais s'il était découvert, il serait, sans aucun doute, puni de mort ou de vingt-cinq ans au moins de
ravaux forcés dans un camp.
mais àqui iln’avait jamaisparlé,entrèrent danslasalle àl’improviste. L’uneétaitunefille qu’il croisait souvent dans lescouloirs. Ilne savait passon nom, maisilsavait qu’elle travaillait auCommissariat auxRomans. Il l’avait parfois vueavec desmains huileuses ettenant uneclefanglaise. Elles’occupait probablement àquelque besogne mécanique surl’une desmachines àécrire desromans. C’étaitunefille d’aspect hardi,d’environ vingt- sept ans,auxépais cheveux noirs,auvisage couvert detaches derousseur, àl’...
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LUCRÈCE ET LA MORALE ÉPICURIENNE
qu'est la vie ! Ne sais-tu pas ce que crie la nature ? Qu'elle ne veut pour le corps que l'absence de douleur, pourl'esprit que le sentiment de bien-être, sans inquiétude et sans angoisse ?Il faut peu de chose au corps : tout ce qui supprime la douleur peut aussi lui procurer bien des délices. La natureelle-même ne réclame alors rien de plus agréable : s'il n'y a pas dans les maisons des statues dorées de jeunes genstenant dans leurs mains droites des lampes allumées pour éclairer les orgies de...