1694 résultats pour "intérêts"
-
l'intérêt général est-il l'intérêt particulier ?
« Dans la glorification du "travail", dans les infatigables discours surla "bénédiction du travail", je vois la même arrière-pensée que dansles louanges des actes impersonnels et conformes à l'intérêtgénéral : la crainte de tout ce qui est individuel. On se rendmaintenant très bien compte, à l'aspect du travail — c'est-à-direde ce dur labeur du matin au soir — que c'est là la meilleure police,qu'elle tient chacun en bride et qu'elle s'entend vigoureusement àentraver le développement...
-
Intérêt général et intérêt privé
L'intérêt général n' est pas la somme des intérêts particu liers 4�t·n• La so mme des intérêts particuliers n'est que le conflit. L'i ntérêt général est autre chose . Il imp lique que chacun renonce par civisme à une partie de ses intérêts personnels afi n de pouv oir vivre en harmonie avec les autres. L'intérêt général, c'est la sécurité P our Hobbes, l'inté rêt général s'oppose aux intérêts particuliers. Les intérêts particuliers poussen...
-
L'intérêt général s'oppose-t-il à l'intérêt individuel ?
L'intérêt personnel est compris de façon très large. Il peut être direct ou indirect, concerner la personne seule (dans ce cas, il est appelé intérêt propre) ou ses proches.Cet intérêt peut être de nature économique, financière, politique, professionnelle, confessionnelle ou sexuelle.Cette notion de l'intérêt individuel n'est pas à confondre avec l'égoïsme qui est un trait caractériel des individus, qui ne sont intéressés que par leurs propres intérêts audétriment d'autrui. Loin d'être un indivi...
-
L'intérêt général n'est-il que la somme des intérêts particuliers ?
fasse taire les égoïsmes et la lycanthropie humaine en imposant la paix et la sécurité. Paix et sécurité quiconstituent l'intérêt de tous. Hobbes est considéré, avec Machiavel , comme le fondateur de la politique moderne. Contemporain de la Révolution anglaise du XVII ième siècle, Hobbes sera frappé de la violence de la guerre civile et des conséquences désastreuses de la vacance du pouvoir. Au chapitre XII du « Léviathan », il écrit : « Il apparaît clairement par là, qu'aussi lo...
- Comment concilier l'intérêt de tous avec les intérêts de chacun ?
-
N'est-on moral que par intérêt ?
Face à de telles conceptions, le rigorisme kantien n'en affirme pas moins quel'intérêt ne saurait être authentiquement moral. De ce point de vue, sedemander si l'on n'est moral que par intérêt n'a pas de sens : dès que l'intérêtintervient, on n'agit plus par devoir, mais, au mieux, en conformité avec ledevoir.La distinction, chez Kant, est d'importance : elle marque ce qui séparel'action moralement bonne et l'action qui semble bonne, mais sans que l'onpuisse décider de sa qualité...
-
Echange-t-on que par intérêt ?
une somme équivalente, voire égale. La distinction serait donc justement dans cette notion d'intérêt. Le donserait idéalement désintéressé, quasi synonyme de grâce et serait à penser sur le modèle de la grâce divine,alors que l'échange lui serait intéressé. On échangerait en vue de ce que l'on veut recevoir. Prenons unexemple sportif. Quand le ramasseur de balle donne une balle, il ne s'attend pas à ce que le joueur lui larende ; alors que les deux tennismen lors d'un échange de balle s'attend...
-
Travaille-t-on seulement par intérêt ?
« le travail non nécessaire est mené par intérêt subjectif, et inversement », c'est justement tout l'objet de ladissertation de comprendre ces formes de contingence s'exprimant d'une part dans le travail non nécessaireet, d'autre part, dans l'intérêt subjectif, et leurs rapports avec les nécessités de la finitude ou de l'essence.Est-on libre de travailler? Dans l'affirmative, ce qui, du travail, est libre, est-il pourtant exempt d'intérêt? Untravail désintéressé est-il possible? Peut-on aller ju...
-
-
Ne travaille-t-on que par intérêt ?
rapport des moyens et des fins : le loisir étant ce qui et recherché pour lui-même, le travail en vue d'une finque lui seul rend possible. Ensuite, le nécessité. Notre condition nous impose, pour survivre, certainesactivités indispensables, mais que d'autres hommes peuvent mener à notre place. Nous voyons d'emblée quele troisième aspect du travail, sa relativité à des conditions historiques, découle du second : il est nécessairequ'un travail soit fourni pour chacun, mais non que chacun le...
-
n'est-on moral que par intérêt ?
morales en imposant la crainte du châtiment prouve bien que c'est le seul intérêt qui nous amèneà la morale. L'évidence du fait moral et du sens du devoir. 2. - On ne peut toutefois s'empêcher de penser qu'Hobbes a manqué quelque chose, à savoir le sentiment moral. En effet, il semble nier l'expérience immédiate que nous avons de la moralité :comment sa théorie peut-elle rendre compte du trouble de la conscience que l'on éprouve en facede l'immoralité ? Pourquoi serions-nous ch...
- L'INTÉRÊT GÉNÉRAL EST-IL LA SOMME DES INTÉRÊTS PARTICULIERS ?
-
Ne travaille-t-on que par intérêt ?
dissertation de comprendre ces formes de contingence s'exprimant d'une part dans le travail non nécessaireet, d'autre part, dans l'intérêt subjectif, et leurs rapports avec les nécessités de la finitude ou de l'essence.Est-on libre de travailler? Dans l'affirmative, ce qui, du travail, est libre, est-il pourtant exempt d'intérêt? Untravail désintéressé est-il possible? Peut-on aller jusqu'à penser un travail qui serait à lui-même sa propre fin? Proposition de plan I La nécessité naturelle com...
-
L'intérêt peut-il être une valeur morale ?
B) L'intérêt personnel n'est-il pas alors le guide de nos actions ? Ne peut-on pas dire, avec Mandeville que « levice privé fait le bien public » ? Il semblerait en effet, et même Kant l'admet, qu'il est impossible de savoir siune personne agit par devoir et donc de manière complètement désintéressée ou par simple intérêtpersonnel. Par là même, nous pourrions considérer que l'intérêt personnel peut être guide de l'action et êtreérigé en valeur morale en tant qu'il contribue à faire le...
-
N'est-on moral que par intérêt?
C'est la loi civile qui pourra ensuite les imposer, car, ainsi qu'il l'écrit dans le chapitre XXVI duLéviathan : « déclarer ce qu'est l'équité, ce qu'est la justice et la vertu morale, et faire en sorte que [les personnes privées] leur soient soumises, cela requiert les ordonnances de lapuissance souveraine, et que les châtiments soient ordonnés pour celles qui lesenfreindraient. » - Du point de vue hobbesien, nous ne sommes donc moraux que par intérêt, pour parvenir à mettre e...
- intérêt.
-
Ne travaille-t-on que par intérêt ?
et, d'autre part, dans l'intérêt subjectif, et leurs rapports avec les nécessités de la finitude ou de l'essence.Est-on libre de travailler? Dans l'affirmative, ce qui, du travail, est libre, est-il pourtant exempt d'intérêt? Untravail désintéressé est-il possible? Peut-on aller jusqu'à penser un travail qui serait à lui-même sa propre fin? Proposition de plan I La nécessité naturelle comme racine fondamentale du travail Michel FOUCAULT Les mots et les choses « Le travail en effet –...
-
-
l'intérêt peut-il être une valeur morale
A) Dans la morale chrétienne, par exemple, l'homme doit, pour être bon, aider son prochain. Cette morale n'estpas égoïste puisque l'autre compte plus que soi-même. La valeur morale ici est de toujours considérer l'autreet de ne rien faire qui irait contre son intérêt. B) Dans l'utilitarisme, l'intérêt du plus grand nombre est un guide pour l'action. Une action est morale si etseulement si elle maximise le bien-être de tous les être concernés par cette action. [Mill, L'utilitarisme .] A...
-
intérêt.
4. Ce nefut pas avant minuit quedeux gardes vinrent rechercher Trevizedanscequi était – il devaitbien l’admettre – une chambrefortluxueuse, auquartier généraldelasécurité. Luxueuse maisverrouillée. En d’autres termes,unecellule. Trevize avaiteuplus dequatre heures pourfaireundouloureux examendeconscience, toutenarpentant la pièce delong enlarge. Pourquoi avoirfaitconfiance àCompor ? Et pourquoi pas ?Ilavait tellement sembléconvaincu. Non,pasexactement : ilavait semblé tellement prêtà se laisser...
-
L'intérêt général est-il en perdition ?
formulation du bien public, ce que montrent bien ces nouvelles formes d'actions ou de participation à une vie publique de proximité. L'intérêt général découlerait naturellement de l'ordre des choses si l'on laissait faire les citoyens : les banques défendent une position similaire en prônant uneautorégulation du secteur financier, au nom d'une sagesse qui s'imposerait de façon naturelle. On voit où cela a conduit le monde. 2 Une nouvelle approche de l'intérêt général Pour faire face à ces critiq...
-
N'agissons-nous que par intérêt ?
dans la plus grande somme possible de plaisirs considérés ainsi au point de vue de leur qualité comme de leurquantité. Stuart MILL ajoute que, l'intérêt général n'étant que la somme des intérêts particuliers, le critériumutilitaire consiste, non dans le bonheur propre de l'agent individuel, mais dans celui de tous les intéressés,dans « la plus grande somme de bonheur général ». Le droit et la justice, notamment, se ramènent au biensocial, à l'intérêt du plus grand nombre. C'est ainsi également q...
- L'INTÉRÊT GÉNÉRAL EST-IL LA SOMME DES INTÉRÊTS PARTICULIERS ?
-
La poursuite de mon intérêt m'oppose-t-elle aux autres?
écrit dans Principes de la philosophie du droit « Dans la vérité, l'intérêt particulier ne doit être ni négligé ni refoulé,mais accordé à l'intérêt général, et ainsi l'un et l'autre sont maintenus. ». c) Mais, cela entraîne à donner un grand poids à la raison. Pour Rousseau, l'intérêt ne doit pas être éclairémais étendu à l'intérêt général. Il met au coeur de sa réflexion l'idée cruciale selon laquelle l'intérêt particulier etl'intérêt général sont conflictuels tout en affirmant que...
-
l'intérêt peut-il etre une valeur morale ?
A) Dans la morale chrétienne, par exemple, l'homme doit, pour être bon, aider son prochain. Cette morale n'estpas égoïste puisque l'autre compte plus que soi-même. La valeur morale ici est de toujours considérer l'autreet de ne rien faire qui irait contre son intérêt. B) Dans l'utilitarisme, l'intérêt du plus grand nombre est un guide pour l'action. Une action est morale si etseulement si elle maximise le bien-être de tous les être concernés par cette action. [Mill, L'utilitarisme .]...
-
La poursuite de mon intérêt m'oppose-t-elle aux autres?
confié. Ainsi le pouvoir politique, qui garantit la paix civile par la loi et le glaive, naît-il d'un acte volontaire, d'un contratdicté par la raison. Il n'est que la condition de coexistence des forces individuelles. C'est un produit de l'art humain –non pas une institution naturelle ou divine. L'homme n'est pas sociable, c'est l'intérêt qui le pousse à s'associer. c) Si l'on accepte donc que ce qui motive les hommes par nature c'est leur intérêt particulier, et que celaest un inv...
-
-
La poursuite de mon intérêt m'oppose-t-elle aux autres ?
l'intérêt public. Mais, plus encore, Rousseau établit entre l'intérêt vicié et la société moderne une relation de causeà effet. 3. L'intérêt m'oppose à autrui dans une société qui édifie l'intérêt apparent en vrai intérêt. a) Rousseau dans le second discours sur l'origine de l'inégalitéparmi les hommes pense la façon dont l'homme parvient à être corrompu parune société divisée entre riches et pauvres. La société corrompue génèrel'amour propre qui correspond à un égoï...
-
Les hommes n'agissent-ils que par intérêts ?
[Si la morale n'a pas un fondement rationnel, elle n'est pas pour autant au service de nos passions.Elle dérive des sentiments, qui se réfèrent, non pas à l'égoïsme, mais au plaisir et au déplaisir.] Critique de l'utilitarismeA. — Il ne faut pas méconnaître que l'utilitarisme représente un progrès par rapport à l'hédonisme pur : «L'intérêt, dit R. LE SENNE (Tr. de Morale générale, p. 392 se distingue du plaisir comme le médiat del'immédiat; il doit donc accentuer l'orientation de la m...
-
A-t-on intérêt à la vérité ?
sommes désintéressés. Si nous considérons la recherche de la vérité comme aspiration humaine à la connaissance, il semble que cette vérité soit l'unique finalité, le seul but de notre démarche. Toutefois, savoir interpréter le réel fait partie des compétences que doit acquérir un étudiant. L'enseignement des sciences humaines et surtout fondamentales repose sur l'apprentissage de leçons sensées décrire une partie de la réalité. L'élève apprend son cours qui, espérons-le, constitue une vérité. Il...
-
Avons-nous intéret à la vérité ?
connaissance, il semble que cette vérité soit l'unique finalité, le seul but de notre démarche. Toutefois, savoir interpréter le réel fait partie des compétences que doit acquérir un étudiant. L'enseignement des sciences humaines et surtout fondamentales repose sur l'apprentissage de leçons sensées décrire une partie de la réalité. L'élève apprend son cours qui, espérons-le, constitue une vérité. Il prend, par exemple, connaissance des secrets des volcans. En effet, il peut avoir intérêt à révis...
-
Faut-il être juste par devoir ou par intérêt ?
Cette définition de la moralité restera admise, en occident, pendant près de deux siècles ! Mais Kant, notamment, età partir de lui de nombreux penseurs, va s'attacher à repenser les fondements de l'action juste. Selon lui, touteaction juste, qu'elle soit en accord avec le droit positif ou avec la religion, relève de la moralité. Cette moralité apour origine un sentiment, comme cette fameuse sentence de Kant en répond : « Deux choses remplissent l'esprit d'admiration et de crainte incessantes :...
-
Peut-on réduire le droit à l'intérêt ?
tion »,d'abord effectuée dans le contexte de la Révolution fran çais e, puis universalisée. Chaque système juridi qu e peut aj o u te r des droits p!us précis ou mieu x délimités concernant les membres d'une communauté, et lïndi vidu se trouve ainsi doté d'un certain nombre de possibilités th éoriq ue ment intransgressibles. On sait bien cependant que ces droiL� peuvent être violés, que ce soit par un acte de simpl e dél inqua n ce ou par le comporte m e...
- intérêt
-
DISSERTATION - N'AGISSONS NOUS QUE PAR INTERET ?
inconsciemment poussée vers la consommation. Cela nous pousse à nous interroger sur les relations que nous entretenons avec les individus. On peut alors remettre en question toute la société, comme on le croit souvent, de la politique, guidée par le pouvoir, au commerce et aux finances, guidées par l'argent. On peut finalement s'élever vers une société utopique, dont l'altruisme et la satisfact ion des besoins nécessaires seraient les seuls moteurs d'actions....
-
-
L'intérêt peut-il être une valeur morale?
III. ÊTRE OU AVOIR UNE VALEUR On sait toutefois que le rigorisme kantien s'accompagne d'un avertissement: peut être n'a-t-il jamais existé au monde un acte purement moral... - Dès lors il apparaît que l'intérêt, même s'il ne mène, en termes stricts, qu'au conformisme et n'est pas en lui-même une valeur morale, pourrait bien représenter ou avoir une valeur morale non négligeable. - Si en effet il facilite, ou met mieux à notre portée, c...
-
L'Etat garantit-il l'intérêt général ?
population en prolétaires, le mode de production capitaliste créé la puissance qui, sous peine de périr, est obligée d'accomplir ce bouleversement.[…] Le prolétariat s'empare du pouvoir d'État et transforme les moyens de production d'abord en propriété d'État . Mais par là, il se supprime lui-même en tant que prolétariat, il supprime toutes les différences de classe et oppositions de classes et également l'État en tant qu'État. Lasociété antérieure, évoluant dans des oppositions de classes, ava...
-
L'intérêt est-il le seul lien social?
l'intérêt bien compris de tous qui donne naissance à cette communauté.Selon la vision libérale, le principal lien social est l'intérêt. En effet, comme le pense Adam Smith, ce n'est pasparce que les individus éprouvent de la bienveillance 'les uns envers les autres qu'ils sont réunis en société,mais parce qu'ils y trouvent un avantage matériel. Les relations humaines sont fondées sur les échangeséconomiques. C'est parce que je lui achète ses produits que l'épicier est aimable avec moi. L'ami...
- DESCARTES: Intérêt général et intérêt particulier
-
N'est-on moral que par intérêt?
- Du point de vue hobbesien, nous ne sommes donc moraux que par intérêt, pour parvenir à mettre en acte ces lois de nature qui nous guident, et qui n'ont pour objectif que nous-mêmes. Lefait que seul le pouvoir du souverain dans l'Etat civil garantisse la réalité concrète de ces loismorales en imposant la crainte du châtiment prouve bien que c'est le seul intérêt qui nous amèneà la morale. L'évidence du fait moral et du sens du devoir. 2. - On ne peut toutefois s'...
-
L'intérêt de l'Etat coïncide-t-il avec le bien commun ?
implique que l'homme, le citoyen, doive porter un intérêt constant à la politique, celle-ci étant ce quirégit sa vie, son rapport aux autres. Tout homme, en tant que politique par nature est alors citoyenet c'est par sa citoyenneté qu'il se définit de prime abord. Anthropologiquement pour Aristote c'estdonc comme citoyen, c'est-à-dire comme celui qui porte un intérêt à la politique et la communauté,que se définit l'homme. C'est donc naturellement et nécessairement que l'Etat doit considérer...
-
La recherche de l'intérêt peut-il être compatible avec la morale ?
L'intérêt ne peut pas être une valeur morale L'action morale ne peut pas être commandée par l'intérêt. Elle doit se soumettre à la notion de devoir. L'intérêt n'a pas de portée universelle, contrairement à la morale, qui vaut pour l'ensemble des hommes. Le devoir est au dessus de l'intérêt (( Faire quelq~e c!10~e par devoir , ecnt Kant, signifie: obéir à la raison » (Réflexions sur l'édu cation). L'intérêt peut, en certain...
-
L'intérêt est-il le seul lien social ?
travaille dans le même bureau. Si notre vie vient à changer, nous oublions rapidement nos anciens «amis». Demême, la vie de couple et de famille obéit aussi, au fond, à une exigence de confort et de sécurité. Lemariage ne permet-il pas aux deux partenaires d'avoir des rapports sexuels aussi souvent qu'ils le désirent ?! ill: Une société d'êtres humains, si on excepte la relation de maître à esclave, est manifestement impossible si elle ne repose pas sur le principe que les intérêts de...
-
-
L'intérêt est-il le seul lien social ?
L'amitié est intéresséeL'amitié n'est souvent fondée que sur des intérêts provisoirement communs: l'on fait des études ensemble, l'ontravaille dans le même bureau. Si notre vie vient à changer, nous oublions rapidement nos anciens «amis». Demême, la vie de couple et de famille obéit aussi, au fond, à une exigence de confort et de sécurité. Lemariage ne permet-il pas aux deux partenaires d'avoir des rapports sexuels aussi souvent qu'ils le désirent ?! Mill: Une société d'êtres humains, s...
- n'est-on juste que par intérêt ?
-
L'intérêt personnel est-il le moteur de l'échange ?
II – L'intérêt personnel n'est pas un égoïsme a) En effet, l'échange repose sur une communauté d'intérêts bien compris entre des êtres de besoins. Et c'est bience sur quoi insiste Platon au livre II de la République . La cité doit être divisé afin de maximiser les ressources de chacun en fonction de ses qualités et de ses aptitudes naturelles. La division et l'échange sont alors naturels et envue du bien de l'ensemble, de la communauté. En ce sens, il est raisonnable et rationnel d'échanger....
-
L'intérêt général est-il le but de l'Etat ?
population en prolétaires, le mode de production capitaliste créé la puissance qui, sous peine de périr, est obligée d'accomplir ce bouleversement.[…] Le prolétariat s'empare du pouvoir d'État et transforme les moyens de production d'abord en propriété d'État . Mais par là, il se supprime lui-même en tant que prolétariat, il supprime toutes les différences de classe et oppositions de classes et également l'État en tant qu'État. Lasociété antérieure, évoluant dans des oppositions de classes, ava...
-
l'intérêt personnel est-il un principe de tout échange ?
mère donne la vie à son enfant et dans un sens ne peut rien demander en retour, tout du moins rien de tel.A l'opposé, quand j'échange des euros en dollars, j'attends de la part du guichetier, qu'il me rende en retourune somme équivalente, voire égale. La distinction serait donc justement dans cette notion d'intérêt. Le donserait idéalement désintéressé, quasi synonyme de grâce et serait à penser sur le modèle de la grâce divine,alors que l'échange lui serait intéressé. On échangerait en vue de...
-
Défendre ses droits, est-ce la même chose que défendre ses intérêts ?
[III. Les droits peuvent masquer des intérêts] On peut toutefois mettre en cause la validité de la distinction classiquement affirmée entre les droits et les intérêts,autrement dit se demander si les droits, dans leur formulation historique et sociale, respectent bien le principed'universalité auquel on les prétend si volontiers soumis.Pour ce faire, il suffit de poser le problème, non plus en termes individuels, mais au niveau de groupes ou de classessociales. Lorsque Marx critique la...
-
Défendre ses droits est ce la même chose que défendre ses intérêts ?
pourquoi saint Ambroise écrit : «Le pain que tu gardes appartient à ceux qui ont faim, les vêtements que tu caches appartiennent à ceux qui sontnus et l'argent que tu enfouis est le rachat et la délivrance des malheureux. » Or le nombre de ceux qui sont dans le besoin est si grand qu'on nepeut pas les secourir tous avec les mêmes ressources, mais chacun a la libre disposition de ses biens pour secourir les malheureux. Et, même encas de nécessité évidente et urgente, où il faut manifestement pren...
-
Une communauté politique n'est-elle qu'une communauté d'intérêts ?
B) De plus il semble contraire à la morale de voir toujours en l'autre un moyen de subvenir à mes besoins ou derépondre à les désirs. [Voir 3 e formulation de l'impératif catégorique Kantien in Fondation à la Métaphysique des moeurs. ] «Agis de telle sorte que tu traites l'humanité aussi bien dans ta personne que dans la personne de tout autre toujours en même temps commeune fin et jamais simplement comme un moyen.» Kant, Fondements dela métaphysique des moeurs (1785). • L'impératif caté...
-
-
Vaut-il agir par intérêt, devoir ou désir ?
Dans le livre X de la République, Platon compare le recouvrement de l'identitéfondamentale de l'homme au dieu marin Glaucos, couvert de coquillages,d'algues et de cailloux. Cette prise de conscience implique que l'action doitêtre orientée vers l'excellence de l'âme. * Pour réaliser le but de l'action qu'est la vertu, il est nécessaire de pratiquerce que Pierre Hadot appelle, dans Qu'est-ce que la philosophie antique ? , desexercices spirituels. Hadot divise ces exercices en deux catégor...
-
Les hommes ne vivent-ils ensembles que par intérêt ?
individu devrait être autosuffisant et penser d'abord à lui. Emerson dira même : « Ne me parlez pas, comme un homme vertueux m'a parlé aujourd'hui, de monobligation de mettre tous les pauvres dans des bonnes situations ». L'homme qui paraitrait faire partie de la société par obligation, trouverait bien davantage qu'unepromesse à sa survie. Il chercherait uniquement un profit individuel en tirant du partage humain des bénéfices qui le mèneraient au bonheur. Machiavel dénoncel'opportunisme de l'ho...