46 résultats pour "guehenno"
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analyse guehenno
5. En gros, l’auteur trouve un bon nombre d’arguments qui soutiennent ses idées. D’abord, il soulève qu’il y a tant de gens qui ne savent pas lire et qui ne réalisent pas la valeur de la lecture. C’est comme cela que toute son argumentation est justifiée : il y a un vrai besoin de parler des attitudes envers la lecture. Au fil du texte, l’auteur énumère les bons effets qui a le livre sur le lecteur d’une manière pertinente. Le vrai sens de la lecture est relevé par l’émetteur. On utilisan...
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« On n'est pas resté soi », écrit Jean Guéhenno. Dans quelle mesure peut-on partager, nuancer ou discuter cette réflexion et les éléments du texte qui l'illustrent ? Vous organiserez votre argumentation en vous référant à votre expérience et à vos lectures.
• Exemple vécu : deux jeunes filles de caractère différent, l'une douce, docile, l'autre rétive peuvent évoluer ensens diamétralement opposé — par suite de situations sentimentales ou de vie, entre autres, qui vont les façonner :l'une confrontée à difficultés et malheurs se durcit, devient autoritaire ; l'autre, choyée par mariage qui la comble,s'adoucit, s'épanouit et ses « angles » s'émoussent. (Cf. la nouvelle de Pavese : Femmes entre elles).• Évidemment chacune portait en soi des traits de...
- « Les vrais écrivains, tous, écrivent pour notre salut... L'un sauve en nous l'esprit de légèreté. L'autre nous enseigne l'insécurité et le risque nécessaires. Un autre la loyauté difficile... » Jean Guéhenno, Journal des années noires, 1947. Expliquez et, éventuellement, discutez ces affirmations de Jean Guéhenno, en vous appuyant de façon précise sur votre expérience de lecteur.
- « Les hommes d'aujourd'hui ne peuvent pas attendre de la culture qu'elle leur fournisse les agréments de leur solitude et de leurs loisirs. Il faut qu'elle fasse d'eux des hommes efficaces, chacun à sa place dans la solidarité d'un monde qui combat ». Jean Guéhenno. En vous appuyant sur vos connaissances littéraires et de manière plus large sur votre culture personnelle, expliquez et discutez cette position exprimée par l'écrivain contemporain Jean Guéhenno dans un article intitulé «
- Guéhenno, Jean - littérature française.
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Révolte contre la guerre Jean GUÉHENNO
L:HOMME ENGAGÉ 30 en découle et resplendisse.» Mais ne suis-je pas encore dupe des mots sublimes? J'ai vu la chair saignante et mutilée et je crains que· l'esprit ne soit mort avec elle. Peut-être les hommes n'oseront-ils plus passer ce fleuve de sang qui coule des Vosges à la mer, de Verdun à Ypres? Des mots, des mots encore! La terre a bu le sang, les os deviennent cendre, 35 le grand cimetière des nations est tout envahi par les herbes....
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Jean Guéhenno, Carnets du vieil écrivain
un conformisme navrant qui ruine la véritable personnalité de chacun. Le phénomène est quasi général ; malgré notre volonté de rester fidèles à nos racines sociales, nous noustransformons inconsciemment en bourgeois qui d'abord connaissent la sécurité procurée par quelque argent, puis setrouvent «à leur aise» et finissent par devenir des «parvenus». Une fois riches, nous avons même du mal à penserque la pauvreté puisse exister autrement que pour les paresseux. De ce fait, notre société...
- GUÉHENNO Marcel : sa vie et son oeuvre
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- JEAN-JACQUES. Jean Guéhenno (résumé)
- CHANGER LA VIE Jean Guéhenno (résumé)
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« On n’est pas resté soi » écrit Jean GUÉHENNO. Discutez.
tarde guère, on pense bientôt comme lui. Dans ce monde d'argent, du haut en bas, de degré en degré de fortune, de classe en classe, c'est imitation d'imitation, ambition ridicule et misérable envie, copie de copie, et ainsi s'est établie cette société confuse et satis faite, à la fois snob et conformiste dans laquelle nous vivons. Le plus mauvais de chacun définit son snobisme qui, par l'imitation des autres, tend à se généraliser. Tout respect de la...
- Jean Guéhenno
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Aspects de la culture Jean GUÉHENNO - Texte seul
CULTURE ET MODERNITÉ 1 savants et bien-disants, du monde qui s'en va. Douce préparation à la mort que peut embellir la récitation ou le souvenir de quelques vers du 35 gentil Horace4. Mais les jeunes gens qui auront à vivre demain et à faire leur terre et leur ciel ont besoin d'une autre nourriture. Qu'ils se sen tent engagés dans une longue et, en dépit de tout, noble histoire, et qu'ils soient préoccupés de la continuer noblement! S'il pl...
- JOURNAL D’UN HOMME DE QUARANTE ANS de Jean Guéhenno (résumé & analyse)
- CALIBAN PARLE. Jean Guéhenno
- GUÉHENNO (Marcel, dit Jean)
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- J. Guéhenno (1890-1978), Ce que je crois.
- Jean Guéhenno, Sur le chemin des hommes.
- SUR LE CHEMIN DES HOMMES. Jean Guéhenno (résumé)
- ÉVANGILE ÉTERNEL (L'). Jean Guéhenno (résumé)
- Jean Guéhenno, Carnets du vieil écrivain
- Jean GUÉHENNO, Carnets du vieil écrivain
- Jean Guéhenno, Journal d'un homme de quarante ans
- JOURNAL D’UN HOMME DE QUARANTE ANS. (résumé) Jean Guéhenno
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« Tout vrai progrès est intérieur » : quelles réflexions vous suggère cette affirmation de Jean Guéhenno ?
d'une couche profonde entassée à travers les générations et dont nous héritons toujours en plus ou moins petitequantité. Cf. Bayle et ses exposés sur traditions, préjugés, principes d'autorité in : Pensées sur la Comète.• II faut apporter devant le monde un regard neuf, indépendant, personnel, pour voir par soi-même et non par leregard donc les pensées, l'interprétation d'autrui. Si nous réfléchissons au conditionnement actuel par mass-media,ou à notre esclavage face à l'objet, l'argent, le conf...
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« Tout vrai progrès est intérieur » : quelles réflexions vous suggère cette affirmation de Jean Guéhenno ?
tient de vérité, sans lui donner fanatiquement une valeur absolue. Il est la certitude qu'il n'est pas d'autre moyen d'étendre notre pouvoir sur le monde que la connaissance de la vérité, et qu'en fin de compte notre liberté est à la mesure de ce nous savons d'elle. Il est, en ce qui nous concerne tout personnellement, l'espoir d'un dépassement, l'espoir que la connaissance de la même vérité, qui nous donne les moyens d'agir sur les choses, nou...
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Pourquoi, selon Jean Guéhenno, la vraie lecture commence quand on lit « pour se trouver » ?
Pourquoi, selon Jean Guéhenno, la vraie lecture commence quand on lit « pour se trouver » ? « Chaque lecture est un acte de résistance. Une lecture bien menée sauve de tout, y compris de soi-même. », Daniel Pennac. La lecture est une voie d’accès directe à ce territoire de l’intime et ainsi, un chemin direct pour davantage se comprendre, se connaitre et ainsi, être un peu plus soimême. La lecture est une quête de soi, elle permet de se découvrir tout comme lors d’une analyse psychanal...
- Guéhenno (Marcel, dit Jean), 1890-1978, né à Fougères (Ille-et-Vilaine), écrivain français.
- Jean Guéhenno écrit dans Ce que je crois : « Il ne suffit pas de préparer les hommes à gagner leur vie. Il faudrait leur enseigner à la vraiment vivre après qu'ils l'ont gagnée ». Commentez cette réflexion, en vous demandant quelle différence il peut y avoir entre « gagner sa vie » et « vraiment la vivre ».
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Sujet : Pourquoi selon vous Jean Guéhenno, « la vraie lecture commence quand on lit pour se trouver » ?
La lecture permet de se chercher et de devenir soi même, le livre est un outil de liberté.Ici dans le texte de Jean Guéhenno (est un moraliste français), Carnets du vieil écrivain écrit en 1971. Il affirme que la lecture a un but définit et profond pour le lecteur, il est dans « une recherche de soi » .Ainsi nous pouvons nous interroger sur la question, Pourquoi selon Jean Guéhenno, « la vrai lecture commence quand on lit pour se trouver » ? Ainsi, dans une première partie nous verrons com...
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Dictionnaire en ligne:
EN2, pronom atone de la 3e.
inutiles; vous êtes, en faveur des vertus que vous en avez reçues, condamnée à en faire un exercice continuel. JEAN GUÉHENNO, Jean-Jacques, 1948, page 212. · [L'éloignement dans le temps (à mesure qu'on s'éloigne ou que l'on se rapproche de cette date s'en éloigner, en sortir)] Elle n'eût pas recherché cette union (...) mais chaque jour l'en rapprochait (MAURICE BARRÈS, Le Jardin de Bérénice, 1891, page 161 ). · [La cause (à la suite de, à cause de)] Ainsi celui-là qui anéantit son ennemi. Et...
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Dictionnaire en ligne:
ÉDITION, substantif féminin.
(ALBERT THIBAUDET, Réflexions sur la littérature. 1936, page 230) : Ø 3. Il est mort d'une crise foudroyante d'urémie, un soir d'été, dans un fauteuil, tenant serrée sur sa poitrine une précieuse édition des Fables de La Fontaine, un exemplaire unique qu'il tenait du marquis de Charnacé,... GEORGES BERNANOS, Un Mauvais rêve, 1948, page 902. ? ) [Suivi d'un groupe déterminatif précisant le type de présentation et/ou de diffusion du support imprimé de l'oeuvre édité] Édition de poche, de luxe,...
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Définition:
FADE1, adjectif.
exemple; par la moiteur étouffante des rues sales, sous ces ciels bas, en colle de pâte (PAUL DUVAL, DIT JEAN LORRAIN, Âmes d'automne, 1898, page 68 ). Un air épais, un air fade, un air qui passait mal (CHARLES-FERDINAND RAMUZ, La grande peur dans la montagne, 1926, page 189 ). L'un se souvient avec nostalgie de la maison ouvrière, de sa tiédeur fade, de sa fraternité (JEAN GUÉHENNO, Journal d'une révolution, 1938, page 175 ). — Rare. Faire fade. Il fait tiède et fade dans la chambre (ROMAIN ROL...
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Dictionnaire en ligne:
ÉGARÉ, -ÉE, participe passé, adjectif et substantif.
l'huile, ils ramassent pieusement les miettes égarées (ALBERT T'SERSTEVENS, L'Itinéraire espagnol, 1963, page 209 ). Elle commençait alors de priser un peu de tabac et il en tombait toujours quelques grains sur son corsage. Laurent n'osait pas chasser d'une pichenette ces grains égarés (GEORGES DUHAMEL, Chronique des Pasquier, La Nuit de la Saint-Jean, 1935, page 211 ). — Spécialement. [En parlant de projectiles, de coups] Balle égarée. Il avait un gnon sur l'oeil, une claque amicale égarée dans...
- Guéhenno, Jean
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Dictionnaire en ligne:
ENTOURÉ, -ÉE, participe passé et adjectif.
— Au figuré. Combler (quelqu'un) de (quelque chose). Entourer (quelqu'un) de soins, de prévenances, d'égards, d'affection. On entoura jusqu'à sa mort Edmond de Goncourt d'un confortable respect (ALBERT THIBAUDET, Réflexions sur la littérature, 1936, page 117 ). Aux vacances, nos enfants, nos petits-enfants nous entourent de leur jeunesse (CHARLES DE GAULLE, Mémoires de guerre, 1959, page 289) : Ø 1.... il se sentait, avec plus de pointe que jamais, entouré d'un cercle de mépris, de haine, de re...
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Dictionnaire en ligne:
EMBELLIR, verbe.
chaleur que tout le monde a senti le besoin d'embellir le voyage et d'en charmer les ennuis (HONORÉ DE BALZAC, Un Début dans la vie, 1842, page 351) : Ø 4. Madame Dupin de Chenonceaux aima religieusement cet homme de bien, partagea ses idées, embellit sa vieillesse par des soins touchants et reçut à Chenonceaux son dernier soupir. AURORE DUPIN, BARONNE DUDEVANT, DITE GEORGE SAND, Histoire de ma vie, tome 1, 1855, page 49. · Emploi pronominal à sens passif. Ces méditations confuses dont parfoi...
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Dictionnaire en ligne:
DIFFICULTÉ, substantif féminin.
a) Solution délicate. Aimer, chercher la difficulté. Jouer la difficulté. Choisir la solution qui apparaît comme la plus difficile pour réussir (confer Joseph Joffre, Mémoires, tome 2, 1931, page 445). b) [Avec les prépositions dans ou en] Situation délicate. Être dans la difficulté (vieilli); être, mettre quelqu'un en difficulté. Spécialement du point de vue pécuniaire. Entreprise en difficulté. — TURFISME. [En parlant d'un cheval] Être en difficulté. Avoir peine à conserver son avance sur les...
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Définition du terme:
CURÉ, substantif masculin.
espagnol, 1933, page 104) : Ø 2. On nous a permis encore de voir le jardin [de Goethe] , assez grand, mais planté pour l'utilité plus que pour l'agrément — ce qu'on appelle chez nous un jardin de curé. GÉRARD DE NERVAL, Lorely, 1852, page 96. · Fleurs de curé. Nous n'avons dans nos plates-bandes que (...) des lis (...) des pentecôtes (...) des roses trémières (...) des jalousies (...) des oeillets (...) enfin ce qu'on appelle des fleurs de curé (OCTAVE FEUILLET, La Morte, 1886, page 32 ). · P...
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Dictionnaire en ligne:
EMBELLIE, substantif féminin.
la simplicité et savoir s'embellir à peu de frais (AURORE DUPIN, BARONNE DUDEVANT, DITE GEORGE SAND, Valentine, 1832, page 12 ). Réfléchi indirect. [L'objet désigne un aspect du corps] Il [Grimm] se mettait du blanc pour s'embellir le teint (JEAN GUÉHENNO, Jean-Jacques, 1950, page 223 ). — Spécialement. Faire apparaître plus beau que nature, avantager : Ø 2. Il y a du ridicule dans la prétention du tyran qui se fait peindre, ou sa maîtresse, et qui veut que le modèle soit embelli, j'entends déb...
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Dictionnaire en ligne:
DESSIN, substantif masculin.
le contour des objets sans indiquer leur modelé ou leur relief. Ces illustrations se caractérisent par leur simplicité. Peu ou pas d'ombres, le dessin au trait, parfois enluminé de teintes plates (La civilisation écrite (sous la direction de Julien Cain) 1939, page 3010) : Ø 2.... cette technique du dessin linéaire, par laquelle la sensation du relief, de la lumière, et même de la matière, s'obtient sans l'intervention des ombres (...), par la seule souplesse de la plume le long des contours....
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Dictionnaire en ligne:
ÉCOLE, substantif féminin.
PAUL FARGUE, Le Piéton de Paris, 1939, page 227 ). Créer une école ménagère, une école de puériculture (MICHEL DEBATISSE, La Révolution silencieuse, 1963, page 113 ). Voir agriculture, exemple 11 et 12. — RELIGION PROTESTANTE. École du dimanche. Enseignement religieux dispensé aux enfants le dimanche. Il [Lorie] voulait se convertir, lui et ses enfants, à la religion réformée. Pour les enfants, on n'avait qu'à les envoyer à « l'école du dimanche ». (ALPHONSE DAUDET, L'Évangéliste, 1883, page 158...
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Définition du terme:
CROYANT, -ANTE, participe présent, adjectifet substantif.
Dreyfus (CHARLES MAURRAS, Kiel et Tanger, 1914, page 45) : Ø 4. Heureux ceux qui croient sans avoir vu. Heureux donc les croyants à la poudre homoeopathique! (...) J'ai plutôt foi au médecin qu'au remède, il faut le dire, ce qui revient au même pour l'effet. EUGÉNIE DE GUÉRIN, Journal intime, 1839, page 261. Remarque : On rencontre dans la documentation le néologisme croyeur, substantif masculin Synonom vulgaire de croyant (confer Victor Hugo, Rhin, 1842, page 178; Richepin, Miseloque, 1893,...
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Définition du terme:
CRU1, substantif masculin.
des vins blancs devraient être distribués aux moines pour le service des messes (GEORGES-CHARLES, DIT JORIS-KARL HUYSMANS, L'Oblat, tome 2, 1903, page 110 ). Posséder un cep qui fournisse un cru de table (JOSEPH DE PESQUIDOUX, Le Livre de raison, 1925, page 34: Ø 2. Les meilleurs vins restaient « brut », sans remplacement du sucre converti en alcool par la fermentation. Les crus parfaits seuls osaient cette nudité où le sirop n'intervenait pas pour masquer les vices. PIERRE HAMP, Vin de Champa...
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Définition du terme:
CRUE1, substantif féminin.
croire Jean-Jacques (JEAN GUÉHENNO, Jean-Jacques, 1948, page 161) : Ø 1. Alors, Pauline (...) lui raconta que le caissier [manchot] appuyait l'instrument [le cor] contre un mur; et il la crut parfaitement, en trouvant ça très ingénieux. ÉMILE ZOLA, Au Bonheur des dames, 1883, page 523. · Je vous/te crois; j'te crois (familier). Je considère que ce que vous dites/tu dis est vrai. Bernard Grandin répondit avec un accent badin de conviction sincère : — Je te crois qu'elle est belle! (GUY DE MAUP...
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usage: FER, substantif masculin.
· Fer étiré, laminé; (fil de) fer galvanisé. Les rampes de ces petits escaliers [à Koenigsberg] (...) sont en fer coulé de Berlin, je crois (HENRI BEYLE, DITSTENDHAL, Romens et nouvelles, tome 1, 1842, page 22 ). On les exécute [les cales] en bois dur; il vaudrait beaucoup mieux employer du fer fondu (M. NOSBAN,Nouveau manuel complet du menuisier, de l'ébéniste, du layetier, du marqueteur, du sculpteur. 1857, page 117 ). Fer forgé; porte, balcon en/de fer forgé. De grandsvalets blonds avaient ou...