73 résultats pour "exclame"
- Définition: exclamation EXCLAMATION, substantif féminin.
- exclamation.
- EXCLAMATION, n.
- Définition: EXCLAMATIF, -IVE, adjectif.
- Définition: EXCLAMATIF, -IVE, adjectif.
- Définition: EXCLAMER, verbe transitif.
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Présentation de l’exclamation
Présentation de l’exclamation : Les énoncés exclamatifs ont un statut mal défini, si on les compare aux autres types de phrases. La tradition grammaticale oppose la modalité exclamative à la modalité déclarative et met l'accent sur la syntaxe affective que manifestent les énoncés exclamatifs et qui justifie leur statut particulier dans les grammaires. On peut les rapprocher des phrases « assertives, avec une quelque chose en plus » [A. Plus généralement, l'exclamation peut se combiner avec...
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LE MOUVEMENT LITTERAIRE ET CULTUREL : LES LUMIERES
l'adjectif possessif "tes" (1.7 et 25) traduisent une forte implication de l'adversaire dans le discours. Ces marques quipeuvent s'accompagner d'un geste accusateur (par exemple, le doigt pointé sur Bougainville), constituent une façonde le mettre nettement en accusation. - La citation de ses propos : "dis-nous à tous, comme tu me l'as dit à moi,ce qu'ils ont écrit sur cette lame de métal : Ce pays est à nous." (1.11-12) 2° Les modalités exclamative etinterrogative : La modalité exclam...
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Commentaire : Beaumarchais Le Barbier de Séville, acte III scène 11.
communication entre Bartholo et Bazile : Figaro s'insurge contre le temps perdu, « Deux heures pour une méchante barbe…Chienne de pratique ! » Il ordonne à Bazile de remettre à plus tard ses discussions avec Bartholo et le comte lui emboîte le pasd'une façon à peine moins impérative : Il faudrait vous taire ». Puis la stratégie est de parler bas pour masquer la tromperie : Lesapartés « bas à Bazile » précisent les didascalies, se succèdent. Enfin, la troisième stratégie consiste à parler pour ne...
- La Terreur " La terreur n'est autre chose que la justice prompte, sévère, inflexible" s'exclame Robespierre, son initiateur.
- La Terreur " La terreur n'est autre chose que la justice prompte, sévère, inflexible " s'exclame Robespierre, son initiateur.
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Citations avec délirant, adjectif
Sur l'exclamation délirante de Maurice, Victor avait pénétré comme par une brèche dans un amas de ténèbres.
André Jacques , la Tendresse du serpent , Québec Amérique L’accueil ne fut pas délirant , car il était mal connu de la population et trop bien connu de ses chefs. Joseph Schull , Rébellion , Québec Amérique
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Veillée de Noël
Le 24 décembre de cette année-là, le petit salon familial, avait été interdit dès le matin aux enfants du
docteur Stahlbaum.
2 - Alors, répliqua Fritz, dis aux personnages de changer leur promenade ! - Non, non et non ! Tout cela est impossible ! dit le juge d'un air fâché. Le mécanisme est ainsi fait et l'on n'y peut rien changer. -C'est vrai ?... demanda Fritz d'une voix traînante. On n'y peut rien changer ? Eh bien, dans ce cas, parrain Drosselmeier, si dans ton château tout ton cher petit monde ne peut faire qu'une seule chose jusqu'à la fin des temps, c'est qu'ils ne valent pas grand-chose, et ils ne m'intéresse...
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Commentaire Du Poème "Marie Qui Voudrait Votre Beau Nom Tourner" De Ronsard
vers, donc à des endroits stratégiques.Dans un deuxième temps étudiant la variation des tonalités de la séduction. Cela permet ainsi au poète de toucher à tous lesaspects de la sensibilité. Nous remarquons que dans les deux quatrains, le ton est relativement léger. La séduction est ici, avanttout d'ordre intellectuel car elle repose sur un jeu de mot. Le terme du plaisir développé au début du poème, conserve uneconnotation positive.C'est dans les vers 9 à 12 que le ton devient sérieux : le propo...
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Analyser texte argumentatif
éléments qui portent la marque du jugement, des évaluatifs (adverbes « certainement », ponctuation expressive comme questions rhétoriques, exclamations ») à Degré d'implication du lecteur : - « Nous » et « on » qui impliquent le lecteur et l'intègrent dans l'argumentation et permettent à l'auteur de se mettre sur un même plan que le destinataire - Questions rhétoriques, ironie, exclamation, implicite amènent le lecteur à porter lui-même une réflexion à Différentes visées : Persuader, jouer s...
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La controverse de Valladolid, Jean Claude Carrière
Jean-Claude Carrière est un auteur français du XXème siècle.
(l15). Par conséquent, tous ces éléments nous montrent que c'est un dialogue argumentatif. Néanmoins, cet extrait est aussi un récit, il y a un narrateur qui rapporte les comportements des personnages. On y trouve aussi des interventions précises tel que « On peut croire, à certains moments, qu'il va perdre patience » (l15), qui donne un aspect plus vivant au dialogue celui-ci se fait sous les yeux du lecteur ce qui accentue de plus cet aspect. Toutefois, le narrateur joue le rôle de « messager ...
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Stendhal, Le Rouge Et Le Noir, « Il Fit Une Reconnaissance Militaire […] Circonstance Difficile À Expliquer », Livre II, Chapitre 16
II. LE SANG FROID DE MATHILDE : UNE ANTI-HEROINE ROMANTIQUETout comme dans le chapitre XXX, nous retrouvons Julien seul, la nuit, avec une femme, et Stendhalnous donne les mêmes éléments tout en changeant la perspective. Les deux scènes s'opposent carles deux personnages féminins s'opposent et le comportement de Julien va différer. Madame deRênal est fuyante, troublée par cette situation marquée par l'émotion, contrairement à Mathilde quiest très présente, qui domine la scène et qui reste très c...
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les ritals
t’avais p a s e nvie, d’un coup d’ œil tu te fais ais ta p etite idé e d e la cho s e, et e n plu s tu te m arr ais p arc e qu e c’ét ait d e s d e s sin s humoristiqu e s, ç a veut dire qu’ils s o nt faits pour faire rigoler le s g e n s, m ais p a s b êt e m e nt , comm e a u cirqu e, non : e n leur fais a nt compr endr e d e s cho s e s difficile s ». Mais é g al em e nt p ar un effet d e style ou le n arr at e ur s e repo sitionn e comm e l’enfant qu’il a...
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Acte V - Scene 4-5-6 de Dom Juan
les mots, dans le jeu des signes de théâtre, mais aussi de la vie de Dom Juan. On note l'interjection, l'invocation, les exclamations,le langage émotif et l'expression pathétique d'une douleur foudroyante. Dom Juan est l'action d'un héros pris dans le coup final dela foudre. La longue didascalie souligne l'usage nécessaire de l'espace , ouverture du sol, bruitage, éclairage très lumineux, denature à fasciner le public. 2. Les commentaires de SganarelleLe mot de la fin est confié à Sganarelle. Ce...
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ANDROMAQUE de Racine: Acte III, scène 8
Céphise… ». Elle utilise également la deuxième personne du singulier et lui pose même une question : « Ah ! De quel souvenirviens-tu frapper mon âme ! ». Cette exclamation d'Andromaque nous fait penser que Céphise viens de lui rappeler un souvenirqui semble perturbé l'héroïne. Andromaque se met alors à raconter (ligne 3 à 7). Céphise semble disparaître alors tout au long de l'extrait. Le lecteur sait qu'elle est là mais elle ne réapparaît dans la situation decommunication qu'à la fin (les deux d...
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Grammaire LA PHRASE
Il. LA PHRASE SIMPLE 1° Une phrase simple est une phrase constituée d'éléments essentiels et obligatoires qui permettent d'obtenir une signification. Ces éléments obli gatoires sont : a) le sujet ou le thème ; b) le verbe ou le prédicat. Uenfant joue. sujet verbe Remarque. Les notions de « sujet » et de « verbe » ne permettent pas toujours de rendre parfaitement compte de la réalité. Aussi préférons nous ici la terminologie des« grammaires moderne...
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Le confiteor de l'artiste de Baudelaire
Lecture analytique Introduction : *** Troisième pièce du recueil, « Le Confiteor de l’artiste » exprime la difficulté de la créationpoétique confrontée au défi que lui impose la nature « rivale ». En analysant ses effets rythmiques et sonores et endégageant son unité, nous montrerons que ce texte est caractéristique du genre du poème en prose. Après avoir vucomment le texte sous la forme d’une confession, livre une réflexion douloureuse sur la création poétique, exigencede beauté, nous étu...
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Vocabulaire:
COMMENT, adverbe.
ne le connaissiez gu?re plus que moi! GEORGES BERNANOS, Monsieur Ouine, 1943, page 1384. B.? Comment, adverbe interrogatif de mani?re. 1. Interrogation directe. a) [Comment interroge sur la mani?re dont une action se d?roule ou un fait se pr?sente] ? Comment + verbe ? forme personne?: ? 5. VIRELADE. ? Comment es-tu entr?? Tu as fait lever le jardinier? ALAIN. ? Non, Monsieur, ?lisabeth m'a donn? la clef de la grille, cette apr?s-midi. FRAN?OIS MAURIAC, Les Mal aim?s, 1945, II, 3,...
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Vocabulaire:
COMME, adverbe.
c) [Comme modifie un verbe] ? [?tre + pr?position (le verbe ?tre est employ? dans son sens plein et ?quivaut ? " se trouver ").] Pierre de Craon. ? Pax tibi. Comme toute la cr?ation est avec Dieu dans un myst?re profond! (PAUL CLAUDEL, L'Annonce faite ? Marie, 1re. version, 1912, prologue, page 16 ). ? [Autres verbes] ? Lucy, ma ch?re, j'ai rencontr? votre Ollivier, dimanche... Comme il a grandi! (?MILE ZOLA, Nana, 1880, page 1174 ). Comme tu as chang? depuis la mort de ton mari. Le p...
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Sancta simplicitas !
Ô bienheureuse simplicité !
Saint Jérôme utilisa cette exclamation pour défendre le langage apparemment simple et banal...
Sancta simplicitas ! Ô bienheureuse simplicité ! Saint Jérôme utilisa cette exclamation pour défendre le langage apparemment simple et banal de Jésus (Ep.. 57 . 12), mais l'expression possède un parallèle dans I 'Hisloire ecclésiastique de Rutin ( 1O., 3 1PL 21,469c ]), et elle fut reprise par de nombreux auteurs de la Patristique (cf. par exemple., saint Augustin, Sermones de Scripturis, Pl~ 38, 445; Pierre Damien, ad leonem, PL 145, 232b); et la sancta Jimplicitas, dans un tel contexte, devin...
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Exclamas, ut Stentora vincere possis
Exclamas, ut Stentora vincere possis Tu cries d'une voix qui couvrirait celle de Stentor L'expression est empruntée à Juvénal ( 13. 112) mais dans I'Antiquité i1 était fréquent de faire des allusions à la voix puissante de Stentor, le héros d'Homère (cf. //iode. 5, 785): cf. de nombreux passages chez les auteurs latins (notamment Amobe. Ad nationes, 2, 75 [Pl 5, 932b]) et chez les auteurs grecs (par exemple Aristote, Politica, 1326b 5-7 ; Lucien, De luctu. 1S ; Dion Chrysostome, 32, 62 ;...
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L ART DE PERSUADER ET DE CONVAINCRE A TRAVERS UN EXTRAIT DES" FEMMES SAVANTES" DE MOLIERE
Molière dans cet extrait des « Femmes Savantes », utilise 2 stratégies argumentatives représentées par chacune des deux sœurs. Par ces deux stratégies, il veut montrer la position d'une femme dans la société. Armande : L'art de persuader Pour Armande, la femme doit être une savante ! Elle ne peut supporter qu'elle fasse un autre métier et surtout pas femme au foyer. Premièrement, Armande utilise beaucoup de phrases exclamatives, « Mon Dieu que votre esprit est d'un étage b...
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Commentaire littéraire: la bête humaine chapitre X (Zola)
ressent alors un sentiment d’effroi. D’autre part, ce texte nous révèle un registre pathétique. La souffrance est suggérée par le cheval suite au déraillement de la machine. Ainsi, le cheval « n’était pas mort » ; cela amplifie la souffrance car le cheval est sur le point de mourir. En plus d’être mourant, le cheval subit une « déchirure au ventre » et « un spasme d’atroce douleur » ; Il est vivant mais ses blessures lui font horriblement souffrir, « il râle d’un hennis...
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Dictionnaire en ligne:
DÉDIRE, verbe transitif.
a) Il n'y a pas (plus) ? s'en d?dire! Exclamation, souvent formul?e en incise, qui signifie qu'il n'est pas (plus) question de remettre en cause sa parole, sa promesse. Moi je te donne mon consentement. Tu l'as, c'est promis et parole donn?e. Il n'y a plus ? s'en d?dire. Allons, marie-toi! marie-toi vite! (MARCEL AYM?, La Jument verte, 1933, page 202 ). b) Cochon qui s'en d?dit! Exclamation famili?re qui accompagne et souligne un serment, une affirmation. Il y en aura bien un demi-arpent (...
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Ruy Blas Victor Hugo Acte V, scène 4
- L'amour impossible et detructeur (« cet amour m'a perdu », différence de statut social « Que ce pauvre laquais bénisse cette reine »). * Certains éléments relèvent du mélodrame (drame populaire caractérisé par le pathétique, le sentimentalisme et des situations invraisemblables) : la fiole de poison posée sur la table, déclamation désespérée de Ruy Blas « Triste flamme / Éteins-toi ! ». * Une scène lyrique : - Champ lexical des sentiments, notamment celui de l'amour et champ lexical de la souf...
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dom juan chapitre 1 analyse lttéraire
1. Réfutation de la fidélité : « Quoi, tu veux qu’on se qu’ on se lie à demeurer au premier objet qui nous prend , qu’on renonce au monde pour lui, et qu’on n’ait plus d’yeux pour personne ? La belle chose de vouloir se piquer d’un faux honneur d’être fidèle, de s’ensevelir pour toujours dans une passion, et d’être mort dès sa jeunesse à toutes les autres beautés qui nous peuvent frapper les yeu...
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Monomogue de matamore
• il croit qu’il menace les autres et qu’ils ont peur de lui • ne se prend -il pas pour le héros d’une épopée? il croit qu’il est séduisant : “ma rein e” : il s’élève plus haut que son rang social il emploie le futur assertif : il est sûr de l’épouser; Bref, il se croit le héros d’une pièce de théâtre remplie d’amour et d’aventures! “j’attends ici” : il pense qu’il a rdv avec Isabelle Un personnage qui est en réalité : • peureux champ lexical de la fuite (1...
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avec des gestes fébriles.
—Quoi ? s'exclama Fred en laissant tomber une pile de livres sur la tête de George. —C'est cette fille qui est préfète de Serdaigle, Pénélope Deauc\ laire, dit Ginny. C'est à elle qu'il passait son temps à écrire l'été dernier. Ils se donnaient des rendez-vous secrets dans l'école. Un jour, je les ai surpris en train de s'embrasser dans une classe vide. Il a été tellement bouleversé quand elle a été... agressée. Vous n'allez pas vous moquer de lui, hein ? ajouta-t-elle d'un ton inquiet....
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Harry lui avait jeté un Sortilège de Chatouillis et Malefoy riait tellement qu'il n'arrivait plus à
bouger.
—Trois... Deux... Un... Allez-y ! s'écria-t-il. Malefoy leva aussitôt sa baguette magique et s'exclama : —Serpensortia ! L'extrémité de sa baguette explosa. Abasourdi, Harry vit alors jaillir un lon\ g serpent noir qui tomba sur le sol et se dressa, prêt à mordre. La foule des élèves recula aussitôt en poussant des cris de terreur. —Ne bougez pas, Potter, dit tranquillement Rogue, visiblement ravi de voir Harry immobile face au serpent furieux. Je vais vous en débarrasser......
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Tolstoï, la Guerre et la Paix (extrait).
— Eh bien ! vous savez la grande nouvelle. Le prince Koutouzov est maréchal. Tous les dissentiments sont terminés. J’en suis si content, Si heureux ! Enfin, voilà un homme ! proclama-t-il, en promenant sur l’assistance un regard plein d’importance et de sévérité. Malgré son vif désir d’obtenir une place, l’homme de beaucoup de mérite ne put se défendre de faire remarquer au prince Basile qu’il n’avait pas toujours parlé de la sorte. C’était une inconvenance, tant à l’égard du prince Basile...
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Victor Hugo, « Melancholia », Les Contemplations, Autrefois, III, 2
insensée, /La beauté sur les fronts, dans les cœurs la pensée, » (l.19-20) ( Le travail des enfants tue l'enfant, le déshumanise et enfait une machine, un outil. Allégorie du travail ?? Autre image du travail ( un oiseau, un aigle qui mange la charogne : «qui prendl'âge tendre en sa serre » (l.23). III. Diatribe 1. Structure du poème Passage de 34 vers d'alexandrins en rimes suivies, sur la condition des enfants au travail avec 2 parties distinctes. 1ère partie quicommence par une question rhéto...
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Commentaire Oral: Gérard de Nerval, Une allée du Luxembourg
irréels, celui de l'instant irrémédiablement achevé (passé composé) et celui du fantasme non-avenu (conditionnel), la rencontre decette jeune fille sera devenue un pur moment de magie atemporelle et universelle. Perdu dans deux dimensions du tempsirréconciliables, les deux personnages sont donc condamnés à ne jamais se rencontrer. III - Nerval parvient ainsi à renouveller l'élégie en donnant une interprétation nouvelle au regret du temps passé.a -D'une part, Le ton élégiaque est en effet modu...
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DES SONS, DES SIGNES ET DES MOTS
Grammaire C. La virgule 1° La virgule permet d'isoler par une pause légère les différents éléments d'une phrase. Exténué, l'enfants 'endormit. 2° À l'intérieur d'un groupe, la virgule a un rôle coordinat eur. Elle permet ainsi de ne pas répéter la conjonction de coordination, qui n'apparaîtra qu'avec le dernier mot en liaison. La terre, le feu, l'air et l'eau sont les quatre éléments. J0 La virgule sert à isoler des propositions tout en montrant que...
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Ionesco, Rhinocéros III Le monologue final
(didascalie « il va vers la glace » l 67, « Il regarde les paumes de ses mains » l 74, « Il enlève son veston, défait sa chemise,contemple sa poitrine dans la glace » l 75 à 77 et « Il tourne le dos à la glace » l 95-96) et par la transformation du décor(didascalie « La laideur de ces portrait contraste avec les têtes de rhinocéros qui sont devenues très belles » l 62 à 64). Enfin,Bérenger souffre donc d'être encore un homme. Au début, il cherche à convaincre Daisy que « Ce n'est tout de même pa...
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Commentaire composé « du Lac » d'Alphonse de Lamartine
le fait qu'il rend concret, sensible le mouvement de la fuite du temps. Si on entend filer « l'heure fugitive », on entend les « sombresabîmes » engloutir « les jours », c'est grâce au rythme de l'alexandrin combiné tout d'abord à l'énumération de mots renvoyant àl'idée de temps au vers 45 : « Eternité, néant, passé, sombres abîmes, » énumération auquel fait écho une autre énumération, celledes éléments naturels au vers 49 : « Ô lac ! rochers muets ! grottes ! forêt obscure ! ». Ensuite l'accumu...
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Le Mariage de Figaro
incroyable pour une si jeune femme, ainsi que d'un fort esprit.« Fort bien ! mais quand il aura « tinté » le matin pour te donner quelque bonne et longue commission, zeste ! endeux pas, il est à ma porte, et crac ! en trois sauts … » : ton ironique. Elle confère aux mots un autre sens :« crac » est différent selon Figaro ou Suzanne. Suzanne n'a pas de tabou.« Il faudrait m'écouter tranquillement » : ton maternel, condescendance, pour le ramener à la raison.« les beaux yeux de ton mérite » : iro...
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De11s det !
Que Dieu le permette !
Cette exclamation souligne à quel point on désire la réalisation de
quelque...
De11s det ! Que Dieu le permette ! Cette exclamation souligne à quel point on désire la réalisation de quelque chose. Dans la tradition littéraire, cette expression, dans sa signification la plus absolue, n'est utilisée que rarement (citons pourtant un passage de Rabelais (2, 16], où Panurge affi111ae qu'il connaît les rues de Paris, >) - le passage de la Sagesse (8, 21 ), qui, dans la version de la Septante afti1111e yvoùs 6t oTt oÙK > étant particulièrement célèbre (dans la version de la Vu/ga...
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Gloria in excelsis Deo
Gloire à Dieu au plus haut des cieux
Cette exclamation, encore utilisée de nos jours (y...
Gloria in excelsis Deo Gloire à Dieu au plus haut des cieux Cette exclamation, encore utilisée de nos jours (y compris pour exprimer une joie soudaine et forte) dérive du chœur des anges de l'Evangile de lue (2, 14) qui laissent éclater leur allégresse à la naissance du Rédempteur; la flJaiï1ule est ensuite réutilisée par Luc ( 19. 38) mais elle possède des précédents dans les livres des Odes vétéro-testamentaires ( 14., 1) et des Psaumes dits de Salomon ( 18, 10). Dans le célèbre passage décriv...
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V.cisti, Ga/ilaee !
Tu as vaincu, Galiléen !
(~ette exclamation est célèbre; on l'emploie actuellement pour reconnaître sa défaite. La...
V.cisti, Ga/ilaee ! Tu as vaincu, Galiléen ! (~ette exclamation est célèbre; on l'emploie actuellement pour reconnaître sa défaite. La source est un passage de / 'Historia ecc/esiastica de Théodoret où l'auteur raconte la mort de Julien I' Apostat transpercé par la flèche de l'ange: &~aµfvov T~v TTÀrry~v eù8i,ç nÀi\oaL T~v Xfipa...
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119. Bene/erre magnam disce Fortunam !
Apprends à bien porter une haute Fortune !
Cette exclamation invite à accepter son...
119. Bene/erre magnam disce Fortunam ! Apprends à bien porter une haute Fortune ! Cette exclamation invite à accepter son sort et à l'interpréter dans un sens positif même si tel ne semble pas être le cas; elle est répertoriée panni les sentences médiévales (Walther 1987) et elle...
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Bci.AA' els ü&,p
Jette-le à la mer
Cette exclamation nous a été transmise par la tradition parémiographique (Zenob. wlg. 2,...
Bci.AA' els ü&,p Jette-le à la mer Cette exclamation nous a été transmise par la tradition parémiographique (Zenob. wlg. 2, 72 ; Diogen. 3, 51 ; Diogen. Vind. 2, 4 ; Greg. Cypr. L., 1, 67 ; Macar. 2, 72 ; Apost. 4, 84), qui l'appliquait à des personnes qui méritaient la mort. En latin il existait des expressions similaires, dont l objet n'était pas nécessairement une personne...
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Vare, legiones redde !
Varus, rends-moi mes légions !
Cette exclamation - d'après Suétone (V,e d'Octavien, 23. 2)- fut souvent...
Vare, legiones redde ! Varus, rends-moi mes légions ! Cette exclamation - d'après Suétone (V,e d'Octavien, 23. 2)- fut souvent reprise par Auguste après la terrible défaite de Teutobourg en l'an 9 après J.-C., où trois légions commandées par Publius Quinctilius Varus avaient été anéanties par les Gt:111,ains sous les ordres d' A1111inius, prince des Chérusques: cet épisode troubla à ce point l'empereur que pendant plusieurs...
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Vae soli!
Malheur à l'homme seul !
C~ette exclamation célèbre, qui souligne les difficultés nombreuses que
rencontre un individu isolé...
Vae soli! Malheur à l'homme seul ! C~ette exclamation célèbre, qui souligne les difficultés nombreuses que rencontre un individu isolé lorsqu'il est dans le besoin, est empruntée à un magnifique passage de l'Ecclésiaste (4, 10): Vae soli quia cum rue1·i1 non habet sublevantem, (Walther 32852 ; cf. aussi 32851 ). Nombreuses furent les reprises, notamment dans la littérature du Moyen-Age et de la Renaissance : cf. par exemple, les Decretalia de Grégoire IX (3, 35, 2) et d'innocent III (37, 104);...
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Ruy blas dénouement
– « Il (...) marche lentement vers la table » – « Il prend la fiole posée sur la table, la porte à ses lèvres et la vide d'un trait » + déclamation désespérée « Triste flamme / éteins-toi ! » – dramatisation dans les questions de la reine : « Que fait-il ? » (notez la double énonciation)/ « Quel est ce philtre étrange ? » / « Qu'avez-vous fait ? » / « Mais qu'avez-vous fait là ? » / « Ce n'est pas du poison, cette affreuse liqueur ? » – Présence aussi de lyrisme (exaltation du sentiment am...
- Commentaire de texte nuit de Valognes, Les Caprices de Marianne