5 résultats pour "empoisonnent"
- stupeur, s'enferme dans des nuages, et trouve partout des êtres bourdonnants qui lui empoisonnent l'oreille des récits envenimés de la mort de son père, où leur misérable argumentation n'hésite pas, pour ses besoins, à nous accuser d'oreille en oreille.
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Dictionnaire en ligne:
EMPOISONNER, verbe transitif.
remède pire que le mal. Ils désespéraient d'un fruit que l'on ne pouvait sauver qu'en l'empoisonnant JOSEPH DE PESQUIDOUX, Le Livre de raison, 1925, page 96. 2. [Le sujet désigne la cause] a) [En parlant d'un poison, d'une substance toxique] — [Le complément d'objet désigne un animé ou un organisme vivant] Causer une intoxication (qui peut être mortelle). Le mouron empoisonne les lapins; le tabac empoisonne l'organisme. Synonymes : intoxiquer, tuer. Fumer des cigarettes qui m'empoisonnent et a...
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Dictionnaire en ligne:
EMPOISONNANT, -ANTE, participe présent et adjectif.
rit. JULIEN GREEN, Journal, 1942, page 203. · Emploi pronominal réfléchi. S'administrer soi-même du poison (pour se donner la mort). Hier, la lettre de ce garçon que je connais, qui avait essayé de s'empoisonner (FRANÇOIS MAURIAC, Le Bâillon dénoué, 1945, page 466 ). L'ancien pasteur Jackson qui, arrêté, s'empoisonna (HENRI LEFEBVRE, La Révolution française, 1963, page 339 ). b) [Le complément d'objet désigne une chose] Infecter de poison. Empoisonner une arme, une flèche; dard, gaz empoisonné...
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Analyse linéaire : Les Colchiques d'Apollinaire
-------------automne -------------paissant Ø -------------empoisonnent -------------lilas -------------fleur-là -------------automne -------------empoisonne -------------fracas -------------harmonica -------------mères -------------paupières -------------dément -------------doucement -------------abandonnent -------------automne Les finales des vers sont des rimes suffisantes à l'exception de automne/empoisonnent pour lesquels on a la reprise d'un mot entier. La structure du poème en rimesplates...
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Alcools d'apollinaire
Ce recueil de poèmes comprend des poèmes anciens, composés de vers réguliers et parus dès 1898, et des poèmes nouveaux composés de vers libres. Par son sous-titre originel, « 1898-1912 », le recueil s’offrait comme le journal poétique d’une quinzaine d’années de création ; l’histoire d’une œuvre s’y combinait avec celle d’une aventure poétique, le jeune poète cherchant sa voie, se faisant aussi bien le représentant de l’avant-garde. Apollinaire révél...