17 résultats pour "desbordes"
- DESBORDES-VALMORE (Marceline Desbordes, Mme Lanchantin, dite)
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DESBORDES-VALMORE Marceline : sa vie et son oeuvre
dont celles de Mme Récamier ou de la musicienne Pauline Duchambge. Mais depuis 1819, date à laquelle elle publie son premier recueil de Poésies. Marceline s'est prise de passion pour la littérature, dont elle fait le dépo sitaire de ses souvenirs (dans les récits des Veillées des Antilles, 1821, de l'Atelier d'un peintre et d'Une raille rie de l'amour, 1833), de sa tendresse de mère (dans ses Contes en vers, Contes en prose et dans le Livre des mères...
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Marceline DESBORDES-VALMORE, Qu'en avez-vous fait ?
derniers vers, l’ensemble des hommes, « l’homme (…) seul au monde (….) qui « revoit l’amour ». Ce « vous » est employé en fonction de sujet des verbes : «qu’en avez-vous fait », « vous me laissez », « savez-vous », « vous appellerez », « vous viendrez », ce qui lui attribue implicitement, sans que l’accusation soitclaire, la responsablité de la rupture. Ceci est confirmé par la référence, répétée par le refrain, au pronom « je » qui est l’objet de l’abandon parce que COD duverbe laisser : « vous...
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Bilan de lecture : Marceline Desbordes-Valmore, Poesies
La quatrième citation est : « C’est l’hiver, c’est le soir, près d’un feu dont la flamme éclaire le passé dans le fond de ton âme », Hiver (p.61) Cette citation m’a particulièrement plu car elle aborde un thème banal qui est l’hiver mais d’une façon différente et dans cette citation, je me suis reconnu dans ce qu’elle disait avec les soirées près d’un feu que l’on regarde en repensant a son passé car c’est quelque-chose qui m’arrive chaque hiver. La cinquième et dernière citatio...
- Desbordes-Valmore, Marceline - écrivain.
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Marceline DESBORDES-VALMORE
Marceline DESBORDES-VALMORE 1786 - Douai 1859 - Paris Fille d'une famille ruinée par la Révolution, Marceline Desbordes-Valmore eut une existence difficile. Elle fit ses débuts au théâtre, mais cette profession ne lui offrit ni la gloire, ni le bonheur qu'elle souhaitait tant. Elle s'éprit éperdument d'un critique, Henri Latouche, qui la fit longtemps souffrir avant de l'abandonner, seule avec son fils. Elle épousa en 1817 un comédien médiocre; Prosper Lauchantin...
- BOUQUETS ET PRIÈRES Marceline Desbordes-Valmore - résumé de l'œuvre
- Marceline Desbordes-Valmore
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- MARCELINE DESBORDES-VALMORE
- PLEURS (Les) de Marceline Desbordes-Valmore (résumé)
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Marceline desbordes valmore pdf cned
Commencez à saisir votre devoir ci-dessous : Marceline Desbordes-Valmore, cette jeune fille dont le destin tragique lui conférera le titre de poète maudit. Elle est née à Douai en 1786 dans une modeste famille d'artisan, bientôt ruinée par la Révolution. Elle connaîtra tout au long de sa vie le deuil, donnant à ses poèmes une mélancolie et une douleur sans pareille. Elle est emmenée en 1801 en Guadeloupe par sa mère en quête de fortune où elle décédera de la fièvre jaune, laissant sa fi...
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Commentaire littéraire Les séparés de Marceline Desbordes-Valmore
Commentaire Les séparés Marceline Desbordes-Valmore, née le 20 juin 1786 à Douai et morte le 23 juillet 1859 à Paris une poétesse française. Elle fait parti du romantisme, mouvement littéraire et artistique de la première moitié du XIXème siècle. Les poètes romantiques défendent une poésie engagée dans la transformation du monde ou dans la quête de soi, à travers de nombreuses réflexions sur les sentiments, les émotions et sur ce que Victor Hugo a appelé « L’Énigme », celle du berceau et c...
- SÉANCE 6 Marceline Desbordes-Valmore, Pauvres fleurs (1839) Victor Hugo, Les Châtiments (1853)
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Marceline DESBORDES-VALMORE, « Les séparés ».
1. N'écris pas. Je suis triste, et je voudrais m'éteindre.
2. Les beaux étés...
Marceline DESBORDES-VALMORE, « Les séparés ». 1. N'écris pas. Je suis triste, et je voudrais m'éteindre. 2. Les beaux étés sans toi, c'est la nuit sans flambeau. 3. J'ai refermé mes bras qui ne peuvent t'atteindre, 4. Et frapper à mon coeur, c'est frapper au tombeau. 5. N'écris pas ! 6. N'écris pas. N'apprenons qu'à mourir à nous-mêmes. 7. Ne demande qu'à Dieu... qu'à toi, si je t'aimais ! 8. Au fond de ton absence écouter que tu m'aimes, 9. C'est entendre le ciel sans y monter jamais. 10. N'écr...
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Commentaire Une fleur de Marceline Desbordes-Valmore
Une Fleur Elle était belle encor ! tu me l’avais donnée ; Tu m’avais dit : « Tiens-la, cette nuit, sur ton cœur ! » Et puis le soir, ta main, railleuse à l’humble fleur, Dispersa dans les airs sa cendre infortunée. Et tu me regardais à travers le flambeau Qui vacillait du poids de ce doux incendie ; Et tu la suspendais sur le brûlant tombeau, Symbole de l’ardente et folle maladie ! Je te trouvai cruel. Le rire de tes yeux Fit rouler dans les miens des pleurs silencieux : Car j’aimais...
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Vas prier dans saint Marc d'Anna de Noailles
Va prier dans Saint -Marc. Le Dieu des Evangiles Marche, les bras ouverts, dans de blonds paradis. On entend les bateaux qui partent pour les îles, Et les pigeons frémir au canon de midi. Des mosaïques d'or, limpides alvé oles, Glisse un mystique miel, lumineux, épicé ; Et vers la Piazzetta, de penchantes gondoles Entraînent mollement les couples exaucés... -Beau temple, que ta grâce est chaude, complaisante ! O jardin des langueurs, ô porte d’Orient ! Courtisane de...
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Français: Commentaire de texte "Les maisons"
au sol d'un effort éperdu. » Ce texte est une personnification de la maison, puisqu'on peut y retrouver par exemple le champs lexical de la perception, et l'auteur décrit depuis les « yeux » de la maison les atrocités qu'elle a vécues, rendant les souvenirs encore plus réels. En revanche, le poème « La vigne et la maison » de Alphonse de LAMARTINE nous donne une description beaucoup plus péjorative d'une maison : Faite de manière objective, elle traduit le délabrement et l'abandon d'une maison,...