22 résultats pour "croyons"
- Cette table même, que nous voyons blanche et que nous sentons dure, nous croyons qu'elle existe indépendamment de notre perception, nous croyons qu'elle est quelque chose d'extérieur à notre esprit qui la perçoit.
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Pourquoi croyons-nous ?
POURQUOI CROYONS-NOUS INTRODUCTION : Croire, c’est accepter quelque chose sans preuve Problématique : pourquoi l’homme a-t-il besoin de croire ? Quelles missions remplissent nos croyances ? I. Nous croyons car cela répond à nos besoins 1. Les croyances répondent à notre besoin de réponse L’homme cherche à répondre aux questions qu’il se pose sur le monde. Y répond par le savoir. Quand savoir n’est pas possible, comble par croyance. L’homme refuse le fini de son savoir donc il a besoin...
- Kennedy, John F. : Nous croyons en la liberté (Podcast)
- Sommes-nous fondés à imposer aux autres ce que nous croyons être leur bien ?
- Nous ne croyons plus à l’idée de la dictature du prolétariat.
- Que faut-il penser de cette affirmation: "Nous savons que nous sommes mortels, mais nous ne le croyons pas" ?
- Si nous croyons que la discipline est utile, nécessaire à l'individu, c'est qu'elle nous paraît réclamée par la nature elle-même.
- NIETZSCHE: «Nous croyons savoir quelque chose des choses elles-mêmes quand nous parlons d'arbres, de couleurs, de neige et de fleurs, et nous ne possédons cependant rien que des métaphores des choses...»
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« Si on ne voulait qu'être heureux, cela serait bientôt fait. Mais on veut être plus heureux que les autres, et cela est presque toujours difficile, parce que nous croyons les autres plus heureux qu'ils ne sont. »
Tchekhov met en scène divers personnages dans un lieu circonscrit : les divers décors offerts par cette propriété provinciale et l'oisiveté dans laquelle on y vit rendent inévitable l'exacerbation des aspirations et des rancœurs. Il faut ici analyser en particulier la présence du couple Séré briakov qui vient détraquer une vie assez bien rodée mais peu enthou siasmante. Éléna représente l'irruption de la beauté et du désir, comme so...
- En contemplant une chute d'eau, nous croyons voir dans les innombrables ondulations, serpentements, brisements des vagues, liberté de la volonté et caprice ; mais tout est nécessité, chaque mouvement peut se calculer mathématiquement.
- sort peut être naturellement mêlé, et par des actions que nous-mêmes serions peut-être capables de commettre, si bien que nous ne pourrions accuser personne d'injustice envers nous : alors nous nous sentons tout frémissants et nous nous croyons déjà au milieu des supplices de l'enfer.
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Les grands mythes sont là, croyons-nous, pour aider [l'homme] à dire non à une organisation étouffante.
C'est de là que découle directement l'aspect réducteur2 de la cure psychanalytique. Il est llifficile de faire admettre à des esprits de formation scientifique qu'il puisse y avoir aussi des mécanismes propres à sauvegarder une certaine inadaptation de l'individu dans la société. Or s'il est facile de définir l'estomac normal, le foie en bonne santé, le poumon fonctionnant de façon satisfaisante, il n'en va pas de même du comportement ou de l'esprit....
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L'existence d'autrui en question
« Par le je pense, contrairement à la philosophie de Descartes,contrairement à la philosophie de Kant, nous nous atteignons nous-mêmes en face de l'autre, et l'autre est aussi certain pour nous quenous-mêmes. Ainsi l'homme qui s'atteint directement par le cogitodécouvre aussi tous les autres et il les découvre comme la condition deson existence. Il se rend compte qu'il ne peut rien être (au sens où ondit qu'on est spirituel ou qu'on est méchant, ou qu'on est jaloux) sauf siles autres...
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Faut-il dire avec Voltaire que « la liberté consiste à ne dépendre que des lois » ?
Etape 1 : étudier l'intitulé du sujet 1. Étude du sujet de façon globale Il s'agit de commenter une citation, afin de savoir si ce qu'elle dit est vrai. On remarquera le caractère assezfortement paradoxal de l'affirmation de Voltaire. Que l'auteur soit indiqué ne doit pas conduire à donnersystématiquement des précisions le concernant. C'est sur le contenu de la citation que doit porter la réflexion. 2. Étude des termes du sujet La liberté : il s'agit ici de la liberté au se...
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4. LE RISQUE DE LA MISOLOGIE
[SOCRATE-PHÉDON]
— S. Commençons par prendre
NÉCESSITÉ DE LA PHILOSOPHIE 43 discernable, sous prétexte que dans la suite nous en rencontrerions d'autres ainsi faits que nous les croyons tantôt vrais, tantôt faux, au lieu de nous en prendre à nous-mêmes et à notre incompétence, nous finissions par être tout contents de cesser d'en souffrir en nous déchargeant sur les raisonnements de notre propre res ponsabilité, passant dès lors le reste de nos jours à détester et à vitupérer les...
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Abelard, Tome I
y a plus d'une espèce, au-dessous de chaque espèce, plusieurs individus.
[Note 423: Met: * V, VII, VIII et XXVIII; VII, IV, V et VI. Categ., V. Topic., I, V.] Ces divers principes, dont nous croyons avoir fait comprendre la génération, et qui, bien qu'assez difficiles à raccorder dans Aristote, s'expliquent par l'inévitable diversité des points de vue que traverse nécessairement toute haute métaphysique, parvenaient aux penseurs de nos premiers siècles, non pas tout à fait conçus dans leur rédaction primitive à la fois précise et large, ni rapportés les uns aux autre...
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Commentaire de texte Espoir, Malraux - L'Espoir, André Malraux, Deuxième partie : Le Manzanares, II. « Sang de gauche », chapitre X
les démocraties n'aident pas les démocraties.« Nous, démocrates, nous croyons à tout, sauf à nous-mêmes. Si un état fasciste ou communiste disposait de laforce des États-Unis, de l'Angleterre et de la France réunis, nous en serions terrifiés. Mais comme c'est notre force,nous n'y croyons pas.« Sachons ce que nous voulons. Ou bien disons aux fascistes : hors d'ici, sinon vous allez nous y rencontrer! - et lamême phrase le lendemain aux communistes, si besoin est.« Ou bien disons, une bonne fois :...
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Voilà notre condition : confinés au fond d'un creux de la terre, nous croyons en habiter la surface - Platon (427-348 av. J.-C.)
., Voilà notre condition : confinés au fond d'un creux de la terre, nous croyons en habiter la surface 1 Platon (427-348 av. J.-C.) Cette citation de Platon n'en est pas vraiment une. Et pour cause : la philosophie, dès Socrate, n'en est pas à un paradoxe près. Avec celui-ci, elle se donnait pour parangon un philo sophe qui ne professait aucune théorie et revendiquait ne rien savoir. Avec Platon, elle se dote d'un père fondateur qui ne parlera jamais en son nom propre! Stricto sen...
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Le vécu comme problème
l'ensemble d'une telle analyse, on se reportera à trois ouvrages décisifs de Bachelard : La Poétique et la rêverie (Presses universitaires de France); La Psychanalyse du feu (Éditions Gallimard, collection «Idées») et surtout La For mation de l'esprit scientifique (Éditions Vrin, plus particulièrement le chapitre intitulé «L'obstacle verbal»). • L'imagination poétique s'articule sur l'imagination matérielle, c'est-à-dire sur le complexe de rêveries...
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Mythes chaldeens
[Note 5: En sumérien ghis-gal Anna-ghé, Voir les hymnes au Soleil levant et au Soleil couchant, depuis
longtemps traduits, le premier par F.
plus simple d'y reconnaître, à l'origine, l'attribut naturel du dieu qui protège les palmiers et qui en mûrit les fruits. Du reste, les deux interprétations ne s'excluent pas nécessairement, et le geste a, sans contredit, quelque chose de triomphal. [Note 9: Sur les cylindre de petite dimension cette palme a été facilement prise pour une arme, pour une sorte de coutelas (cf. fig. 2 et 6); c'est là une méprise qu'il faut rectifier.] Ce que je que voudrais surtout montrer, c'est que ce premier act...
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MAXIMES ET SENTENCES D'EPICURE (texte)
l'injuste. (M. XXIII) On ne doit pas violenter la nature mais la persuader. Cela se fait en assouvissant les désirsnécessaires, également les désirs naturels s'ils ne sont point nuisibles. Il faut soumettre à rude épreuve ceux quisont nuisibles. (S. 21 )A chaque désir demande : qu'arrivera-t-il s'il s'accomplit ? Qu'arrivera-t-il s'il reste inaccompli ? (S. 71 ) La mort On peut s'abriter de bien des choses, mais face à la mort nous habitons une cité sans défense. (S. 31 )La mort n'est rien pour...
- 861 SUJETS-TEXTES DE L’ÉPREUVE DE PHILOSOPHIE AU BACCALAURÉAT