4384 résultats pour "connaissez"
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La connaissance scientifique est-elle une connaissance sans sujet connaissant ?
intervenant dans l'existence des phénomènes qu'elle rassemble dans l'espace et le temps ». Néanmoins, puisquel'expérience est une connaissance des objets par l'intermédiaire de perceptions, « et que par conséquent le rapports'établissant dans l'existence du divers doit être représentation en elle, non pas tel qu'il est le produit d'unecombinaison opérée dans le temps, mais tel qu'il s'y trouve objectivement, et que toutefois le temps lui-même nepeut pas être perçu, la détermination de l'...
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La connaissance commune est-elle une véritable connaissance ?
commune ; elle n'admet pas ce qu'elle voit, mais cherche à voir au-delà. - De la même façon, mais dans l'ordre de la science, c'est en admettant pas immédiatement que le Soleil tournait autour de la Terre (connaissance commune au XVIème siècle) que Copernic a pu découvrir etaffirmer ce qu'on reconnaît aujourd'hui comme une connaissance véritable : c'est la Terre qui est en orbiteautour du Soleil. Ici, la connaissance se construit , et elle le fait contre la connaissance commune,...
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La connaissance scientifique se distingue-t-elle de la connaissance vulgaire ?
Cela signifie que la connaissance scientifique est une connaissance mise à jour par un individu précis, capable derépondre de sa découverte devant la communauté de ses pairs et devant les autres hommes. Par ailleurs, laconnaissance scientifique est une connaissance parfaitement démontrable : c'est en reconstituant la démarche dusavant, en produisant des chiffres et des données, que l'on peut rendre raison de la connaissance scientifique, ceque la connaissance vulgaire est le plus souve...
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La connaissance peut-elle être indépendante du sujet connaissant ?
- La connaissance ne peut pas être indépendante du sujet connaissant ----- ·~[•]~· - Ce qui garantit l'objectivité de mes connaissances, c'est la certi tude que j'ai - acquise soit par raisonnement, soit par expérience -qu'elle est conforme à la réalité. Il est absurde de penser que les connaissances sont indépendantes du sujet qui les conçoit. Le cogito fonde la connaissance P our Descartes , le sujet pensant est le fondement...
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La connaissance de soi est-elle plus facile que la connaissance des choses ?
SUJET Il Se préparer 1. Analyser les termes du sujet. (La" connaissance de soi>> n'est pas identique à la« conscience de soi» ? Pourquoi? Comment comprendre l'expression " connaissance des choses » dans fe contexte du sujet ?) 2. Élaborer la problématique. (Demandez-vous pourquoi le sujet sous-entend que la connaissance de soi serait plus facile. À l'in verse, la connaissance des choses serait-elle plus facile?) 3. Construire le plan...
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connaissance de soi
identité dans son essence propre, c'est à dire sa spécificité, ce qui fait que je suis moi et pas un autre. Descartes nous indique les outils additionnels nécessaires à cette connaissance dans son arbre de la connaissance (Discours de la méthode II) : « les racines font la métaphysique, le tronc est la physique et les branches (.) sont toutes les autres sciences qui se réduisent à trois principales, à savoir la médecine, la mécanique, et la morale » Si l'on adhère à la pensée cartésienne, les s...
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En quoi la connaissance scientifique se distingue-t-elle
de la connaissance vulgaire ?
née moyennant un décalage, un changement d'orientation. Selon G. BACHELARD, les préoccupations utilitaires, la « connaissance pragmatique » constituent précisément l'un de ces eobstacles épistémologiques » que rencontre la science pour seconstituer. On en arrive à « chercher l'utilité tout humaine, nonseulement pour l'avantage positif qu'elle peut procurer, mais commeprincipe d'explication » (La formation de l'esprit scientifique, p. 92) etl'on tombe ainsi dans toutes sortes d'e...
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Ai-je une connaissance de moi même ?
III- Le moi n'est pas objet de connaissance mais condition de possibilité de celle-ci Chez Kant, le moi a une fonction transcendantale, il est condition depossibilité de la connaissance. Il accompagne chacune des représentations. Iln'y aurait pas de représentations possibles sans lui. Or, les représentationssont nécessaires à la connaissance. Dans La Critique de la raison pure , on peut lire : « Le je pense doit pouvoir accompagner toutes mesreprésentations ; ca...
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Toute connaissance qui tente d'aller au-delà de la connaissance scientifique est-elle illusion ?
Le dispositif de la science fournit ainsi un modèle très performant de connaissance; mais ne peut-on distinguer desdomaines où il soit possible de parler de connaissance indépendamment de ces procédures ? Connaissance et sens commun. On peut tout d'abord noter que le concept de connaissance tel que l'utilise le sens commun peut garder sa légitimitéà condition d'être limité à sa fonction de repère pour l'action et de ne pas prétendre concurrencer la connaissancescientifique. Inversement, il serai...
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La connaissance de soi est-elle plus facile que la connaissance des choses ?
On a pour habitude de dire que l’on se connaît mieux que personne . E ffectivement, seul nous savons ce que l’on v eut , ce que l’on pens e, ce que l’on ressent. Pourtant, ceci n’est pa s toujours si simple à exprimer et l’on s’aperçoit qu’il est parfois plus facile de donner la définition d’un objet ou de résoudre un problème d e mathématiques que d’expli quer la complexité de notre comportement, ou notre façon de penser. La connaissance de soi est-elle alors plus simple que la...
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La connaissance commune est-elle, pour la connaissance scientifique, un point d'appui ou un obstacle ?
[III - La connaissance commune comme obstacle épistémologique] Comparer les principaux caractères des deux connaissances, c'est constater sans attendre qu'elles s'opposent l'uneà l'autre. Ainsi peut-on considérer que, pour la connaissance scientifique, la version commune de la connaissance nepeut jamais proposer un point d'appui, mais qu'elle constitue bien un obstacle. « ... Devant le réel le plus complexe, si nous étionslivrés à nous-mêmes c'est du côté du pittoresque, dupouvoir évocateur...
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La connaissance de soi est-elle plus facile que la connaissance des choses ?
songes ».Mais le doute de Descartes va bien plus loin dans la mesure où il rejette aussi les évidences intellectuelles, lesvérités mathématiques. « Je rejetai comme fausses toutes les raisons que j'avais prises auparavant pourdémonstrations. »Nous voilà perdu dans ce que Descartes appelle « l'océan du doute ». Je dois feindre que tout ce qui m'entouren'est qu'illusion, que mon corps n'existe pas, et que tout ce que je pense, imagine, sens, me remémore est faux. Cedoute est radical, to...
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La connaissance de soi est-elle plus facile que la connaissance des choses ?
3. Le devenir qui échappe à la pensée – Ajouter à cela que toute réalité, interne et externe, est soumise au devenir: elle évolue et se transforme, souventbien plus vite que ce que nous arrivons à penser.– La pensée essaie de saisir ce qui est, de fixer les choses dans un état statique pour arriver à les comprendre; leréel n'est-il pas plus rapide que la pensée?– Référence: Héraclite, Fragments, n° 105: « On ne peut pas descendre deux fois dans le même fleuve. Ni toucherdeux fois une substance...
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La connaissance commune est-elle pour la connaissance scientifique un obstacle ou un point d'appui ?
peut lui paraître dangereusement destructeur (que ce soit en science ou en philosophie...).Elle se contente d'allusions à l'expérience commune (non scientifique), dont les enseignements sont d'abordsinguliers ou personnels, mais se trouvent admis comme exemplaires ou rapidement généralisables, sans qu'il soitnécessaire de les éprouver à nouveau. [III - La connaissance commune comme obstacle épistémologique] Comparer les principaux caractères des deux connaissances, c'est constater sans at...
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La connaissance commune est-elle, pour la connaissance scientifique, un point d'appui ou un obstacle ?
[1 -Caractères et buts de la connaissance scientifique] On peut commencer par rappeler, avec Auguste Comte (loi des trois États) que la connaissance scientifique correspond à une manière nouvelle de questionner la nature : il ne s'agit plus de se demander pourquoi les phénomènes se produisent (ce qui entraînait vers une recherche théolo gique ou métaphysique des causes premières ou finales), il convient désormais de chercher à comprendre comment ils ont...
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La connaissance commune est-elle pour la connaissance scientifique un point d'appui ou un obstacle ?
c. L'observation, activité rationnelle sans guide. L'observation empirique représente, néanmoins, un premier usage de la raison appliquée à la nature et au réel. Ellene fait pas d'observations de manière seulement accidentelle ni selon le pur hasard. Le choix qu'elle opère dans lesphénomènes eux-mêmes repose sur une certaine rigueur rationnelle : on isole les phénomènes qui se répètent et oncherche des relations arbitraires entre eux.Mais privée de tout autre guide que le désir de résoudre des p...
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Connaissance empirique & connaissance expérimentale ?
III. Différences. — Malgré cette ressemblance fondamentale, la connaissance empirique diffère essentiellement de la connaissance expérimentale. A. Elle en diffère d'abord par son origine, c'est-à-dire par la façon dont elle s'acquiert.Il n'y a rien de systématique, de méthodique, ni même d'intentionnel, dans l'activité par laquelle s'acquiert le savoirempirique. Pourquoi le cultivateur sait-il que le blé ne réussit pas dans sa région ou dans tel de ses champs, quetelle espèce de pommes de terre...
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Peut-on dire que la connaissance scientifique est la connaissance commune devenue plus rigoureuse ?
Le désir de connaître est, en effet, un des puissants moteurs du coeur humain. L'opération par laquelle l'esprit tendà saisir le fond des choses et leur essence, la volonté d'y parvenir, sont quasi coextensifs à l'existence humaineconçue à juste titre comme transcendance : exister, c'est aller vers le vrai, tenter d'expliquer le réel au senspresque étymologique du verbe « expliquer » : explicatio, en latin, désigne l'action de déplier ; explicare signifiedéployer et exposer. Pour le coeu...
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SUJET : Comparer la connaissance vulgaire et la connaissance scientifique. PLAN.
C. - Dans leurs procédés ess en tie ls : il s'agi t 1 ou jours d' observer les faits, même dl) généra liser 1, donc de raison ner au moins par analogie . 2° partie . - Différences A. - dans l'objet : a) La connaissance vulgaire n'est pas exclusivement, mais eli e est surtout Individuelle ; elle est un amas mal coordonné de faits surtout particuliers (sous la réserve de 1 e partie C), donc comple:res et qui paraissent contingents 2, parfois miracu...
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Un écrivain contemporain, pour se justifier d'avoir entrepris une biographie de Victor Hugo, déclare : « La connaissance de sa vie est nécessaire pour comprendre ce génie tourmenté. ». « J'estime — a écrit un autre écrivain — que la connaissance de la biographie des poètes est une connaissance inutile, si ce n'est nuisible, à l'usage que l'on doit faire de leurs ouvrages. » Examinez la question posée par ces deux affirmations et, en vous appuyant sur des exemples empruntés à vos lectu
Pour lui, en effet, l'événement essentiel, c'est son oeuvre même: qu'on songe à la Comédie humaine de BALZAC,Tout le reste est accident. Parfois même — on l'a vu lors de la dernière guerre et de l'occupation de la France parl'armée ennemie — des auteurs entreprennent un travail de longue haleine afin de détourner leur esprit destristesses de leur époque : leur oeuvre, alors, s'élabore complètement en marge de leur vie.C'est d'ailleurs d'une façon générale que l'écrivain fait abstracti...
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La connaissance est-elle sans sujet ?
- La connaissance ne peut pas être indépendante du sujet connaissant ----- ·~[•]~· - Ce qui garantit l'objectivité de mes connaissances, c'est la certi tude que j'ai - acquise soit par raisonnement, soit par expérience -qu'elle est conforme à la réalité. Il est absurde de penser que les connaissances sont indépendantes du sujet qui les conçoit. Le cogito fonde la connaissance P our Descartes , le sujet pensant est le fondement...
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La connaissance scientifique est-elle une connaissance de Dieu ?
La connaissance scientifique n'est pas une connaissanc e de Dieu ·~[•]~· Dieu est transcendant au monde. Par la raison, je peux connaître le monde, mais pas Dieu. Pour connaître Dieu, il me faut recourir à la foi et à la spiritualité. Les vérités scientifiques n'ont pas besoin de Dieu pour garant. Les vérités sont connaissabl e. Je ne peux La vérité dans mon esprit pas le co nn aître, j e peux n'a pas besoin M ale br a n ch e,...
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Pourquoi la connaissance ?
ses conséquences, doit conduire à son propre dépassement. La valeur de la comaissance n'est pas réductible à son utilité: celle-ci doit se comprendre à parti' d'autre chose. Recherche du problème: répondre à la question de savoir pourquoi on cherche à comaître par l'utilité de la connaissance réduit cele-ci à être au service d'autre chose qu'elle : on peut se demander alors d'où vient que la connaissance est utile. Si la comaissance est utile, c'est parc...
- Une connaissance inutile est-elle une connaissance négligeable ?
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- La connaissance du réel est-elle une connaissance de la vérité ?
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Qu’est-ce que la connaissance ?
78 PSYCHOLOGIE Dans la perception et la sensation nollis avons la forme la plus élémen taire de connaissance celle qui est à la base de tout notre édifice cognitif et scientifique. Sans doute on ne dira guère que voir un château, entendre un morceau de musique, c'e-st les connaître : si, pour les connaître, il faut les avoir vus, la c
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Ai-je une connaissance de moi même ?
III- Le moi n'est pas objet de connaissance mais condition de possibilité de celle-ci Chez Kant, le moi a une fonction transcendantale, il est condition de possibilité de la connaissance. Il accompagne chacune des représentations. Il n'y aurait pas dereprésentations possibles sans lui. Or, les représentations sont nécessaires àla connaissance. Dans La Critique de la raison pure , on peut lire : « Le je pense doit pouvoir accompagner toutes mes représentations ; c...
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La connaissance du spécifique ?
connaissance du spécifique peut-elle prétendre à la généralité voire àl'universalité ? Quels modes de connaissance spécifiques peuventremettre en cause des modes de connaissance du spécifique ? Une des difficultés première dans la définition de la connaissance estqu'elle se situe d'emblée dans le rapport d'un substantif (« la connaissance ») qui la suppose soit acquise, soit possible en tant quetelle, dans son essence ou sa substance. Or si nous considérons quela connaissance n'est pas sé...
- Connaissance commune et connaissance scientifique ?
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La connaissance de soi n'est-elle qu'une illusion ?
conscientes (morales, esthétiques, sociales) et des désirs qui bousculent et négligent ces règles. Ce second groupede désirs, le sujet les trouverait, s'il en avait conscience, tellement monstrueux, qu'ils ne peuvent parvenir à laconscience que sous une forme voilée, déformée, indirecte : le lapsus, le rêve, ou le symptôme maladif. Le symptôme est donc un compromis entre le désir inconscient et inavouable que je subis, et les normesconscientes et morales que j'accepte. « Le moi n'e...
- La connaissance de soi est-elle plus aisée que la connaissance des choses ?
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Les connaissances des sens
la télévision est différent que si ce serait nous à la place de la personne en question. Malgré que nous pouvons pleurer en regardant un film triste, cela ne sera jamais pareil que si c’était nos sentiments et nos sens. Je peux en déduire que nos sens ont une place primordiale à l’apprentissage de nos connaissances. En outre, nos connaissances ne viennent pas seulement de l’enseignement, ni de notre éducation ni même de notre culture, même si toutefois ces critères nous permettent d’avoir...
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Sensualisme et connaissance
pas l'expérience sensible des choses. La fiabilité dépend du degré de confiance que l'on attribue à une personne qui va nous fournir des connaissances. L’expérience sensible cherche un contact pour fonder sa fiabilité . Les sens sont traités comme un instrument pour obtenir contact et distance avec l'objet . Ils sont l'occasion de contrôler l'essentiel de ce qui est bien reçu de la chose. On peut s'attendre ainsi à ce que toute connaissance objective soit fournie par elle. Nous allons m...
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La connaissance de soi est-elle plus facile que la connaissance des choses ?
PHILOSOPHIE 1! L'INCONSCIENT SUJET 4 SÉRIE ES POLYNÉSIE FRANÇAISE fUI~ 2. Élaborer la problématique. (Demandez-vous pourquoi le sujet sous-entend que la connaissance de soi serait apparemment plus facile. À l'inverse, la connaissance des choses est-elle vraiment plus facile?) J. Construire le plan détaillé. '' ,, ,. ~ '--~ ,, . .,.~ ,., ... ,. ,• '~> ,. •'•'' ,.,,' ~"'"' ,. •'' "'''"'" ~-'" "'"'' .,,, ',.,,' "'''"' ,. ,,, '.., ~' ,.,,, , • .,. ',.,,'" ,...
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La connaissance de soi et des choses
Néanmoins la connaissance des choses ne serait-elle pas plus accessible que la connaissance de soi, du fait de leur avantage à détenir, pour la plupart, une définition précise ? Les choses, d’un point de vue général, n’ont pas de conscience. Elles suivent donc un schéma fixe et sont abouties. Leur explicitation est donc plus à même d’être réalisée que la connaissance de soi. En effet cette dernière est en perpétuelle évolution car l’homme ne cesse de penser, d’expérimenter. Et ce phéno...
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La conscience de soi est-elle une connaissance ?
demande DESCARTES. Et la réponse vient aussitôt : "à savoir, une chose qui pense". L'essence, ou encore le fondement substantiel de "je" est ainsi descriptible sous forme d'un objetconceptualisable : une substance pensante, mieux, une res cogitans (chosepensante), dont le caractère de substance permet de déduire des caractèresessentiels : unité, immortalité, mais aussi chose créée, dépendante d'uncréateur infiniment parfait. Je suis essentiellement une âme, disposant d'unel...
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l'art est-il connaissance ?
tout artiste en créant façonne, travaille aux prises avec la matière. L'artiste n'est en effet pas tant enretrait du réel, comme nous l'avions dit auparavant, qu'en un véritable corps-à-corps avec lui. C'est ce quemontre Alain, dans le chapitre 6 de son ouvrage Système des beaux arts . Ce chapitre, intitulé « de la matière » a pour fin de montrer à quel point l'aspect matériel est essentiel dans le travail de l'artiste. Avantde distinguer le travail de l'artiste de celui de l'arti...
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Connaissance historique et connaissance expérimentale ?
les fois que », le physicien est réduit au silence. L'historien, au contraire, aime « ce que jamais on ne verra -deuxfois ». Il parle une autre langue et relève d'une autre conception de la connaissance. 3) La causalité historique n'est pas une causalité expérimentale. a) La cause dans les sciences physiques. S'il n'est pas une notion (lois, déterminisme) qui de l'abstrait au concret ne soit à remanier.celle de cause subit les transformations les plus visibles. Depuis la fameuse criti...
- Peut-on comparer la connaissance de soi avec la connaissance des choses ?
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n'y a-t-il de connaissance que scientifique ?
III. Les limites du modèle scientifique Transition Le dispositif de la science fournit ainsi un modèle très performant de connaissance; mais ne peut-on distinguer desdomaines où il soit possible de parler de connaissance indépendamment de ces procédures ? Connaissance et sens commun. On peut tout d'abord noter que le concept de connaissance tel que l'utilise le sens commun peut garder sa légitimitéà condition d'être limité à sa fonction de repère pour l'action et de ne pas prétendre concurre...
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L'amitié et la connaissance de soi
Aristote commence sa réflexion sur la question de la connaissance de soi en rappelant deux choses : la difficulté et le plaisir qu'on éprouve à parvenir à une réelle connaissance de soi. Cela semble plutôt paradoxal. Première caractéristique de la connaissance de soi : sa difficulté. Si l'on en croit Aristote, « apprendre à se connaître est très difficile ». En disant cela, il ne part pas d'une vérité du sens commun : spontanément, n'aurions-nous pas tendance à dire que la conna...
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La conscience de soi est-elle une connaissance?
connaissance de mon "essence" (ce qui est proprement la connaissance). De ce point de vue donc, même si c'est le mêmesoi qui est considéré, cela serait par deux modalités différentes. Dans un cas (le sentiment) connaissance confuse, dansl'autre, connaissance claire (c'est à dire par des idées) : exemple du musicien qui peut saisir les accords des sons parsentiment, mais il ne les connaît pas par idée comme le physicien qui leur fait correspondre des rapports mesurables. · De...
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L'opinion est-elle une connaissance ?
« C'est de l'opinion que part, dans sa plus grande partie, toute notre connaissance. Parfois nous avonsun obscur pressentiment de la vérité ; une chose nous parait comporter des caractères de vérité ; -nous avons l'intuition de sa vérité avant même de la connaitre avec une certitude déterminée. » Kant. · Ici il est clair que l'opinion est une valeur pour la connaissance. Elle n'en est pas une, mais elle en est pour autant une origine. Il y a un intérêt avoir des opinions, à juger de la...
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La conscience de soi est-elle une connaissance de soi ?
est synonyme de sagesse. Elle permettrait en effet à l'individu de prendre conscience de ses propres limites, de se lib érer de ses d éfauts, de d évelopper ses qualit és, et, en faisant abstraction de tout ce qui dans le " je " n'est pas personnel, de prendre conscience de sa v éritable identit é et, enfin de compte, de sa libert é. La devise delphique laisse entendre que nous ne nous...
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Sens et connaissance
métaphysique en tant qu'une pensée ou bien en tant que quelque chose qui est seulement pensable, qui ne fait paspartie du réel mais du possible. En réunifiant les propos de Leibniz et de Kant, nous pouvons déduire que lamétaphysique n'est pas une connaissance parce qu'on ne peu pas en faire une expérience sensible qu'est unecondition nécessaire pour connaître. Ce n'est qu'une pensée puisqu'elle fait partie du possible et n'est pas uneréalité objective. Mais n'y a t il pas de...
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La conscience de soi est-elle une connaissance?
principe formel : le sujet ou le support de toutes mes représentations, lequel donne son unité et sa continuité à ladiversité de mes représentations. Quant à savoir ce qu'est ce "je" qui pense, cela relève soit d'une hypothèsemétaphysique (l'existence de l'âme ne peut en elle-même faire l'objet d'une véritable connaissance) soit d'uneconnaissance empirique. Il s'agit alors plutôt d'une connaissance des différents états de la conscience,connaissance nécessairement progressive et i...
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La connaissance a-t-elle des limites ?
B. Les limites de la connaissance : temps, espace, catégories. Comment l'homme pourrait-il appréhender l'absolu? Que peut-il connaître en réalité? Telles sont les questions quenous devons poser.Au XVIII siècle, la critique de l'absolu devient de plus en plus vive et l'idée de limites de la raison s'impose. C'est àcette époque que les sciences de la nature se développent. Or, ces sciences tendent à mettre en évidence l'idéeque la raison doit explorer le champ des phénomènes et rien d'autre. La c...
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La conscience est-elle une connaissance de soi ?
2. Mais c'est confondre le fait et l'essence, et même supposer que le soi est une essence. · Comme le remarque Malebranche : "le sentiment intérieur que j'ai de moi-même m'apprend que je suis, que je pense, que je veux, que je souffre (...) mais il ne me fait point connaître ce que je suis, lanature de ma pensée" Entretiens sur la métaphysique et la religion III. Il faut donc distinguer la connaissance du "fait" de mon existence (la conscience) et la connaissance de mon "e...
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Peut-il y avoir une connaissance qui ne soit pas scientifique?
Savoir, c'est conn aître scientifiquement ·�t ·l�' Nous ne pouvons pas connaître les choses en soi. Nous ne pouvons connaître que les phénom ènes dans la mesur e où ils sont mesurables. Or, la mesure, c'est la science. Seule la science permet d'accéder au savo ir 0 n ne doit recon naître comme vrai que ce que l'on conna ît cc Une connaissance objec tive inmédiate, du fait même qu'elle est qual itative, est nécessairement fautive.» Gaston Bachela...
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La connaissance est- elle libératrice ?
retrouve donc sur un point c'est que la liberté consiste précisément dans la connaissance des causes qui nousdéterminent. TRANSITIONJusqu'à présent nous avons considéré que connaissance et liberté était deux notions à considérer sur un même planà tel point que la liberté pouvait même subir une restriction ou une augmentation du fait de la connaissance. N'est-ce pas là précisément ce qui doit être remis en cause ? Liberté et connaissance doivent-elles êtres mises sur unmême plan ?...