88 résultats pour "cogito"
- cogito.
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Jean-Paul SARTRE ET LE COGITO DE DESCARTES
trouvons par le mouvement même où nous nous trouvons. Et, en découvrant cet autre qui est en face de nous,nous découvrons en même temps tous les autres, comme si tous les autres eux aussi étaient déjà là. Enfin,remarque ultime, cet autre n'est pas le simple alter ego du sujet qui se découvre dans le cogito. Il est ce quiconditionne le sujet. Le sujet n'est plus, comme dans les philosophies traditionnelles, un absolu ; il n'est querelativement par rapport à autrui. La reco...
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Vocabulaire:
COGITO, substantif masculin.
? Dans la langue litt?raire et culturelle. L'id?alisme ? la fin exasp?rait Bouvard. ? ? Je n'en veux plus; le fameux cogito m'emb?te. On prend les id?es des choses pour les choses elles-m?mes. On explique ce qu'on entend fort peu au moyen de mots qu'on n'entend pas du tout! ? (GUSTAVE FLAUBERT, Bouvard et P?cuchet, tome 2, 1880, page 102 ). STATISTIQUES?: Fr?quence absolue litt?raire?: 420. Fr?quence relative litt?raire?: XIXe. si?cle?: a) 4, b) 7; XXe. si?cle?: 21, b) 1 765.
- cogito - philosophie.
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Le cogito cartésien.
Ego cogito signifie, en latin, « je pense ». Passant à la postérité, il est curieux de constater que le verbe de laformule cartésienne soit devenu un nom commun : on parle du cogito, on cite le cogito. Ce déplacement de l'actionvers le substantif confirme que l'acte même de penser fait de nous un sujet existant : je pense, donc je suis. Ceque je suis, c'est justement une chose qui pense, un cogito. Dans les Méditions métaphysiques, Descartes décrit lecogito comme étant l'aboutissement d'une vast...
- Vocabulaire: COGITO.
- Définition: COGITO.
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Le cogito est-il le principe premier de nos connaissances ?
La conscience de soi n'est pas connaissance •n·n• Les idées claires et distinctes qui se donnent à moi dans le cogito ne sont pas en moi. Ce sont des réalités éternelles et infinies qui ne peuvent venir que d'un Être éternel et infini: Dieu. C'est en Dieu que nous connaissons D ire que l'âme con çoit un e idée , c'est dire qu 'elle reçoit une idée qui réside en Dieu. •Dieu seul est lumière ( ... ). Il possède les perfectio...
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Texte de Hume : La critique du cogito cartésien
Qu’est-ce que le moi ? Le moi s ’identifie-t- il à la conscience comme le soutient Descartes ? Plus profondément demander : Qu’est-ce qui assure la permanence, l’identité et l’unité du divers de mes représentations ? Peut-on parler d’un subjectum , d’une substance spirituelle qui supporter ait la multiplicité de nos perceptions de notre existence psychique ? La critique de Hume s’attaque implicitement au cogito cartésien. On se souvient que Descartes, dans le Discours de la méthode...
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Sartre et le cogito de Descartes
A) Première grande partie : « Ainsi l'homme [.. .] que j'ai de moi. » Autrui conditionne et mon existence et la connaissance que j'ai de moi. B,) Seconde grande partie : « Dans ces conditions [...] contre moi. » Dès lors, je saisis l'autre comme liberté face à moi. ()Troisième grande partie : « Ainsi [...] autres. » Ainsi s'opère la découverte de l'intersubjectivité, du rapport vivant entre individus. Vous remarquez bien que la progression du texte est extrê mement rigoureuse, que...
- Signification et portée du cogito cartésien ?
- Commentaire: GASTON BACHELARD - La certitude du Cogito
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SARTRE: le cogito et autrui
n'est jaloux ou méchant que parce qu'il y a d'autre hommes qui en sont les objets).C'est ainsi que « l'homme ne peut rien être sauf si les autres le reconnaissent comme tel », car on ne sauraitprétendre qu'on est gentils si tous les autres nous qualifient de méchant. C'est donc l'approbation d'autrui, lejugement que les autres portent sur moi, qui me détermine ultimement aux yeux de tous. L'homme en définitive n'estque ce qu'en disent les autres. Il ne se constitue qu'à travers le re...
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Cogito cartesien
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Descartes: Le cogito
d'une ch.aîne de certitudes peut être établi : «Je doute donc je pense.» Et, comme il n'est pas possible de penser sans être, un second maillon peut être accroché au premier: «Je pense donc je suis. » De là, toujours par un enchaînement de raisonne ments, Descartes en vient à prouver l'existence ·de l'âme et l'existence de Dieu. Cette existence de Dieu lui permet de donner un fondement solide à la connais sance...
- Jean-Paul SARTRE: Cogito et Altérité
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- Descartes, Cogito ergo sum : «Je pense donc je suis »
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Explication Cogito Descartes
manifeste mon existence. Cependant vous, qui lisez ces mots, n'êtes pas certain que ce soit réel ou que j'existe puisque la seule chose dont vous êtes sur c'est que vous êtes quelque chose. Suivant ce principe il est quelque part absurde que je vous écrive puisque vous pouvez être encore une création d'un Dieu trompeur qui me fait croire que vous existez. C'est ainsi que Descartes en déduit alors que nôtre seule certitude c'est que l'on est quelque chose. A partir de cette déduction, Descar...
- Lachièze-Rey, Le moi, Le monde et Dieu, p. 50, fait la critique du cogito d'un point de vue idéaliste : rien n'échappe au doute directement
- La vérité du « cogito » : DESCARTES
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Rene Descartes : Cogito Ergo Sum
cherchant à établir une première vérité, qui est indéniable, qu'il se mit à douter de tout, même de son existence. C'est alors, qu'il se rendit compte que pour douter, il fallait exister, sinon quel est le sujet doutant s'il n'existe pas ? C'est ainsi en 1637, dans son oeuvre le Discours de la Méthode, qu'il arrive avec sa célèbre phrase : « Je pense, donc je suis ». Cette oeuvre est séparée en six parties que Descartes déclare comme « Pour bien conduire sa raison, et chercher la vérité dans...
- PODCAST: Le cogito et l'innéisme de Dieu chez DESCARTES
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Cogito, je pense donc je suis
Le texte se déploie en deux paragraphes. Le premier établit que le " Je pense " est une vérité première et le fondement de la philosophie (" Mais...cherchais "). Le deuxième examine la nature de la pensée et du sujet pensant : l'âme est une substance distincte du Dans le premier mouvement du texte, c'est-à-dire dans le premier paragraphe, Descartes découvre, au sein du doute, une première vérité : la réalité indubitable de la pensée et de l'être. (7) Il aboutit à cette...
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Nietzsche, Par-delà le Bien et le Mal, § 17, « Des préjugés des philosophes »
La critique nietzschéenne du cogito cartésien est une des plus acerbes et sévères critiques de ce que Descartes appelle la « première vérité » ou le « premier principe de la philosophie ». L e cogito est le fondement de la métaphysique et le socle de l’épistémologie chez Descartes. Remettre en cause la vérité du cogito c’est s’attaquer à la fondation même de la pensée moderne. Mais la remise en question de l’« ego cogito », du « je doute, je suis » n’est -elle pas une entreprise va...
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- JE PENSE, DONC JE SUIS (cogito cartésien)
- LE COGITO
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sujet.
actif - 1.GRAMMAIRE attribut ergatif nom nominatif passif [1] pronominal 2. PHILOSOPHIE : le mot « sujet » désigne d'une part le support d'un certain nombre de transformations ou de qualités, d'autre part le thème dont on parle et auquel la proposition attribue des prédicats, des propriétés. Ces deux significations se rejoignent, puisque la première renvoie au sujet réel, synonyme de substance, tandis que la seconde s'apparente au sujet logique. Dans le premier cas, le sujet implique une...
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Avons-nous besoin de rêver ?
opposer Freud à Descartes, en considérant ce dernier comme représentant d'une «philosophie du sujet», où lesujet est maître de ses actes et de ses pensées. Rêve et libertéPour Sartre, « l'imagination est une condition essentielle et transcendantale de la conscience. Il est aussiabsurde de concevoir une conscience qui n'imaginerait pas que de concevoir une conscience qui ne pourraiteffectuer le cogito ». Conscience réalisante et conscience imageante sont indissociables. L'imagination est lafon...
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Explication texte Cogito Descartes
dotée de sens qui l'étonné en certains corps. Cependant, le fait qu'un Dieu trompeur ou autre trompeur puissant trompe sans cesse ou même le fait qu'il soit dans un rêve où tout est faussé engendrerait la disparition de notre corps, de nos sens et ainsi de toute connaissance de soi. De plus, il se qualifie de « chose qui pense, c'est à dire un Esprit, un Entendement ou une raison » (l.89/90). D'après lui, l'existence se résume au fait de penser, « je pense donc je suis » et «...
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Quelles sont les présupposés et les conséquences du cogito cartésien ?
soi en tant qu'être capable de pensée, c'est-à-dire de doute, d'erreur, d'imagination, de conceptualisation. C'est à partir de cette certitude première que Descartes, ramené à la seule connaissance d'un Moi qui n'est ni un corps ni une âme mais un carrefour de facultés intellectuel les, va redécouvrir le monde, d'abord à partir des idées qui sont à l'in térieur de ce moi, et surtout de la différence entre les idées. Dieu, lui, jou...
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Sartre, L'existentialisme est un humanisme: Autrui et le cogito
pas seuls au monde, nous croyons pourtant que c'est autour de nous que le monde se constitue, comme si, en tant que sujet, nous étions le centre autour duquel tout devait se dis poser. Mais à mieux examiner sa situation, le sujet se rend compte qu'il n'a pas d'être en tant que tel, mais que, pour être, il est totalement dépendant d'autrui, de son existence, de son jugement, de son approbation. Sartre en donne des exemples concrets. Tout...
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Jean-Paul SARTRE et le matérialisme
aussi s'en sépare. II. Le point de départ est bien identique, mais pas le point d'arrivée. Dans la tradition du « je pense » cartésien etkantien, ce qui est atteint, c'est une subjectivité « rigoureusement individuelle ». Avec le « cogito » existentialiste,ce qui est atteint, c'est une subjectivité qui est plus qu'individuelle, puisque selon l'expression de Sartre on ne sedécouvre « pas seulement soi-même, mais aussi les autres ». Ici, la démonstration n'est pas produite, mais seulement sa co...
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DESCARTES René : sa vie et son oeuvre et fiches de lecture
coutumer à ne voir du monde sensible que l'unique connaissable : la figure et l'extension. A cette seule condition, 1' analyse fera apparaître l'ordre rigoureux commun à la disposition des choses et aux lois innées des mathématiques. Ordre à la fois réel et rationnel que Descartes cherche dans le monde, en s'attaquant à un vaste traité (le Monde; l'Homme) qui étudiera la lumière, le Soleil, les étoiles fixes, les comètes, la Terre, et enfin...
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Le moi peut-il se connaître?
certains que nous sommes des « choses qui pensent », c'est-à-dire des êtres doués de raison.Comme cette raison est réflexive et qu'elle constitue notre moi profond, nous pouvons affirmer quele moi peut se connaître. Il peut se connaître en tant que « chose qui pense », en tant qu'il est unesprit. - Reste à interroger cette évidence cartésienne : la vérité du cogito est-elle si assurée qu'elle résiste à toute critique ? Le cogito ne serait en fait qu'une illusion. 2. -...
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DESCARTES et le cogito
n'est qu'illusion, que mon corps n'existe pas, et que tout ce que je pense, imagine, sens, me remémore est faux. Cedoute est radical, total, exorbitant. Quelque chose peut-il résister ? Vais-je me noyer dans cet océan ? Où trouver« le roc ou l'argile » sur quoi tout reconstruire ? On mesure ici les exigences de rigueur et de radicalité de notreauteur, et à quel point il a pris acte de la suspicion que la révolution galiléenne avait jetée sur les sens (qui nousont assuré que le soleil tournait au...
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Le problème de l'action : le dynamisme psychique et sa portée
-La conscience, ainsi opposable au «donné» auquel elle confère sens pour l'homme, révèle un pouvoir de «distanciation» dont la portée est considérable. Selon Sartre, il y a toujours transcendance de la conscience par rapport à son objet. C'est la conscience qui pose son objet, selon des modalités diverses : la conscience perceptive le pose comme existant, la conscience imaginaire comme non existant, comme image (cf. Sartre. L'imaginaire, Éditio...
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Peut on ne pas être soi même ?
L'enjeu du devoir sera donc de déterminer cette quête essentielle, savoir si l'on doit apprendre à être soi- même et si certains éléments peuvent aider à s'accomplir et déterminer les limites internes, les conditions d'exercicede l'identité.Première Partie : Je suis moi-même et il est impossible de ne pas être soi même 1er Moment : Le moi comme témoin de la conscience de soi. Comment puis-je définir ce qu'est le moi ? Pascal pose ouvertement la question en se demandant cela sansq...
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Discours de la méthode
René Descartes
Le " cogito ergo sum "
Jugeant que j'étais sujet à faillir autant qu'un autre, je rejetai comme fausses toutes les
raisons que j'avais prises auparavant comme démonstrations.
Après cela, je considérai en général ce qui est requis à une proposition pour être vraie et certaine ; car puisque je venais d'en trouver une que je savais être telle, je pensai que je devais aussi savoir en quoi consiste cette certitude. Et ayant remarqué qu'il n'y a rien du tout en ceci : je pense, donc je suis, qui m'assure que je dis la vérité, sinon que je vois très clairement que, pour penser, il faut être, je jugeai que je pouvais prendre pour règle générale, que les choses que nous conc...
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En quoi le soi est-il soi ?
sous le cogito cartésien une structure d'être plus fondamentale, auquel il est inhérent de se rapporter au monde,ces rapports au monde précédent l'apparition de tout étant – y compris de soi – à soi-même. Au lieu de resterauprès de soi, ce soi plus originaire et primitif devient le repère d'une intentionnalité, qui va vers ce qui n'est passoi, mais au delà de soi et auprès des choses.De ce fait, la conception d'un soi qui est sans cesse hors de soi et projeté dans le monde pose problème ; il pa...
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Notion de conscience selon les grands philosophes
Quelques questions d’auto-évaluation ............................................................................................................ 22 Sujets de dissertation ...................................................................................................................................... 22 Introduction Etymologie : conscience vient du latin cum scientia qui signifie « avec science », « qui est accompagné de connaissance ». Rappel : l’opposition entre le désir e...
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Qu'est-ce que faire une expérience ?
distincts dans notre construction logique du monde. Validé, lefait d'expérience devient réalité exemplaire passée au criblede l'établi et de l'exclu. Il réclame une explication complète, une description intelligible qui garantissent saprédictibilité.C'est pourquoi on peut dire que l'expérience comme fait est une conjecture sur des signes. Le sentiment decertitude qu'il produit dans le sujetconstructeur génère des attentes, anticipe des réalités semblables etanalogues par leurstructure. L'expérie...
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Cogito ergo sum
« Je pense, donc je suis » Descartes 1 -LA CITATION Je pense, donc je suis. Pour faire plus savant, on le dit souvent en latin : cogito, ergo sum. Mais cela donne peut-être l'air moins savant que cuistre, dans la mesure où Descartes, 1 'auteur supposé de la formule, ne l'a jamais écrite exac tement ainsi dans les grands ouvrages qu'il rédi gea lui-même en latin. Ce ne sont pourtant pas les énoncés plus authentiquement cartésiens qui manquent...
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Valeur du cogito de Descartes et sa critique ?
La difficulté provient de l'interprétation à donner à ce « je ». Il n'est pas l'individu concret. Ce n'est pas Descartes , homme du XVII ième siècle, c'est tout individu pensant qui peut dire « je pense donc je suis », pour peu qu'il refasse, pour lui-même, l'expérience entreprise.Ce « je » est, par définition, désincarné ; tout ce que je peux affirmer, à ce moment, de l'itinéraire cartésien, c'est mon existence comme pensée, puisque, répétons-le, je dois encore, temporairement, nier l'exi...
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Pourquoi le cogito est-il le signe même de mon humanité ?
La difficulté provient de l'interprétation à donner à ce « je ». Il n'est pas l'individu concret. Ce n'est pas Descartes,homme du XVIIième siècle, c'est tout individu pensant qui peut dire « je pense donc je suis », pour peu qu'il refasse,pour lui-même, l'expérience entreprise.Ce « je » est, par définition, désincarné ; tout ce que je peux affirmer, à ce moment, de l'itinéraire cartésien, c'estmon existence comme pensée, puisque, répétons-le, je dois encore, temporairement, nier l'existence du c...
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Dans quelle mesure y a-t-il une réalité de la conscience ?
Le primat des instincts chez Nietzsche. 2. - Nietzsche accuse Descartes d'avoir manqué de probité philosophique en établissant le cogito . Il écrit dans Par-delà bien et mal (§17) : « une pensée vient quand « elle » veut, et non pas quand « je » veux ; desorte que c'est une falsification de l'état de fait que de dire : le sujet « je » est la condition du prédicat « pense ». Ça pense : mais que ce« ça » soit précisément le fameux vieux « je », c'est, pour parler avecmodération, si...
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Peut-on ne pas être soi-même ?
Transition : Ainsi, il semble que l'on soit toujours soi-même. Et cette thèse est soutenue par deux pointsfondamentaux :a) La connaissance de soib) L'affirmation de soi à l'égard des autres SECONDE PARTIE : Difficultés de la thèse soulevée en première partie Sous-partie 1 Argument : OR d'un point de vue philosophique, la connaissance de soi soulève une difficulté majeure - La connaissance suppose toujours deux choses : un SUJET CONNAISSANT et un OBJET CONNU. (repèreSubjectif/Ob...
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Fiche de cours en philo : LA CONSCIENCE .
Mais, à côté de cette conscience théorique, il est une conscience pratique, naissant de l'activité, correspondant àl'action des hommes. C'est une notion extrêmement importante, que Hegel a bien mise en relief En agissant, nousextériorisons notre moi et marquons le monde de la forme du sujet'. La conscience, ce «pour-soi», devient alors un«en-soi», une chose, ou plutôt un «en-soi-pour-soi». Elle communique sa structure aux objets qui perdent ainsi leurcaractère farouchement étranger et prennent l...
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L'existentialisme est un humanisme, © Éditions Gallimard, p. 57-59.
Textes commentés 51 [ Après avoir répondu aux différents reproches qu'on pouvait lui faire, ! Sartre s'emploie à définir positivement ce qu'est l'existentialisme : il 1 commence par préciser que sa doctrine est la seule à « donner une dignité 1 à l'homme». C'est déjà dire que l'existentialisme est un humanisme, tant i l'humanisme est lié à la reconnaissance de la dignité de l'homme, aussi 1 1 bien à la Renaissance (cf. Pic de la Mirandole, Discours sur...
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Commentaire de la quatrième (IV) partie du Discours de la méthode de Descartes
la philosophie. La nature de l'Esprit et la distinction des substances. Le Cogito nous révèle du même coup notre existence et notreessence. A cette question: que suis-je? il permet de répondre : Je suis une chose qui pense et dont toute l'essenceconsiste dans la pensée, c'est-à-dire une substance spirituelle qui se suffit à elle-même par rapport au corps, unêtre indépendant en soi de la matière, une âme dont la pensée est l'attribut essentiel, dont l'existence est ce qu'il ya de plus notoire et...
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Autrui me connaît-il mieux que je ne me connais moi-même ?
Dissertations 57 l'analyse des « Paralogismes », la conscience pure de moi est une fonction de la pensée en moi, elle n'est donc pas une intuition qui me donnerait à moi-même comme objet. Certes, cette analyse veut réfuter la psychologie rationnelle : mais elle a pour notre propos cette conséquence que l'intuition (sensible et empirique) que j'ai de moi-même n'est pas plus originairement vraie que celle que je puis avoir des objets extérieurs. Du...