5 résultats pour "cassent"
- LA CHANSON DE ROLAND FRANCK CASSENTI
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Les méchants pots ne se cassent jamais
Ka1eov ciyyos oiJ 1eAâTaL Les méchants pots ne se cassent jamais Ce proverbe, encore attesté dans plusieurs de nos langues euro péennes (cf. Mota 227; Lacerda-Abreu 291), notamment en français (les pots fêlés sont ceux qui durent le plus ou C ·est dans les vieilles c·assero/e s qu'on fait les me illeures soupes) et en italien (Pento/a /èssa dura più a lungo ., c'est-à-dire plus on est malade, plus on a la vie dure ; pour les nombreuses variantes en dialectes italiens, cf. Schwamenthal...
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Boris Vian, Poésies
La paillasse et le châlit La poussière de soleil J'aime le judas qui s'ouvre Les hommes qui sont entrés Qui s'avancent, qui m'emmènent Retrouver la vie du monde Et retrouver la couleur J'aime ces deux longs montants Ce couteau triangulaire Ces messieurs vêtus de noir C'est ma fête et je suis fier Je l'aime, je l'aime Ce panier rempli de son Où je vais poser ma tête Oh, je l'aime pour de bon Il suffit que j'aime Un petit brin d'herbe bleue Une goutté de rosée « Un amour d'oiseau peureux Ils casse...
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Francis Ponge, « L'huître », Le Parti pris des choses
« grosseur » « grossier » et en [fr] « franc ». Ces sons accentuent le caractère ingrat de l’action, de plus l’accent circonflexe de « blanchâtre » reprend celui de l’huîtreet évoque la coquille par « âtre », qui en grec donne « ostracon » et signifie coquille. b) Structure intérieure L’ouverture de l’huître est indiquée par « à l’intérieur » au début du 2e paragraphe, on y rencontre un univers clos et total « tout un monde ». C’est également un objetlibérateur de sensation gustative « à boire e...
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Les laboureurs (Extrait de Jocelyn) - Lamartine
Mais il semble que la nature,Cherchant à l'homme un aiguillon,Ait enfoui pour lui sous terreSa destinée et son mystèreCachés dans son premier sillon!Oh! le premier jour où la plaine,S'entr'ouvrant sous sa forte main,But la sainte sueur humaineEt reçut en dépôt le grain;Pour voir la noble créatureAider Dieu, servir la nature,Le ciel ouvert roula son pli,Les fibres du sol palpitèrent,Et les anges surpris chantèrentLe second prodige accompli!Et les hommes ravis lièrent 75Au timon les boeufs accoupl...