30 résultats pour "banville"
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BANVILLE Étienne Théodore de : sa vie et son oeuvre
laire publié dans son recueil d'articles Sur mes contemporains ( 1869); une étude, partiale mais intéressante sur le plan rhétori que, de J. Lemaitre, dans la première série de ses Contemporains. Lecerre, Oudin et Cie, Paris, 1892; une excellente et chaleureuse analyse d'ensemble de J. Charpentier, Théodore de Banville, L'homme et son œuvre, Perrin et Cie, Paris, 1925. On y ajoutera R. Sabatier, «Banville, le funambule», dans son Histoire de la poésie fr...
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THÉODORE DE BANVILLE
Théodore de BANVILLE 1823 - Moulins 1891 - Paris Dans la lignée de Victor Hugo, Alfred de Musset et Théophile Gautier, Banville excella à la fois dans la prose et dans les vers. Partisan de "l'An pour l'Art", il fut remarqué pour les Cariatides en 1842. Pourtant, jusqu'en 1857 il est encore très peu lu. C'est avec les Odes funambulesques qu'il fait un véritable triomphe et qu'il est reconnu comme l'un des plus grands poètes de son te...
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En vous basant sur l'étude du recueil Demeny de Rimbaud et des lettres envoyées à Georges Izambard et Théodore de Banville par Rimbaud, vous étudierez les centres d'intérêt et les thèmes de prédilection du poète Arthur Rimbaud.
mystérieux tombe des astres d'or » qui se l'approprie : « mes étoiles », comme son seul amour « Par la Nature, -heureux comme avec une femme » et comme une force protectrice (cf « Ma Bohème »). On observe de nombreusespersonnifications de la Nature, qui est associée à l'image de la Femme. Dans « Soleil et Chair », il emploiel'expression « la Nature vivante » et la nature est personnifiée à travers Cybèle.· la Passion : ce thème est très présent puisqu'il se retrouve dans neuf poèmes ainsi...
- GRINGOIRE. de Théodore de Banville (résumé)
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ODES FUNAMBULESQUES, Théodore de Banville (résumé)
de l'évasion hors du quotidie n banal, de l'aspiration vers un idéal de beauté et de pureté. Emblème d'une poésie ludique. qui se déleste de tous les ori peaux du sentimentalisme roman tique. le clown banvillien fait de la jon glerie verbale un art de vivre, et de son esthétique une morale. • Le plus célèbre des recueils de Ban ville (1823-1891) n'est sans doute pas le plus intéressant d'une œuvre beaucoup plus consistante et diverse qu'on ne le c...
- BANVILLE (Théodore de)
- EXILÉS (Les) de Th. de Banville. (résumé)
- Banville, Théodore de - écrivain.
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- THÉODORE DE BANVILLE (1829-1891). A ma mère.
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Théophile Gautier et Théodore de Banville : La littérature plastique et la doctrine de l'art pour l'art
rêvant d'art et de beauté, indifférents à leur époque et dépassés par elle, « aussi libres, aussi solitaires, écritThéophile Gautier, que dans une île déserte de l'Océanie ». En 1836, ils se dispersèrent, non sans regrets.La tradition qu'ils avaient représentée et qui sommeillait, reprend force vers 185o. Dégagée de son excès d'idéalismeet de fantaisie, elle cherche à s'imposer par réaction contre le matérialisme grandissant. A la formule de l'art pourl'art, depuis longtemps prônée par Théo...
- Banville, Théodore deF285D Chabrier, EmmanuelF285C Massenet, JulesF285B Saint-Saëns, CamilleF285A
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LE PARNASSE (Histoire de la littérature)
romantisme (le mot est également de Catulle Mendès), d'une esthétique on ne peut plus romantique, qui, lente ment, s'individualise et s'oppose à des lignées roman tiques divergentes. Le pré-Parnasse Si bien que l'historien du Parnasse est obligé de consacrer l'essentiel de son étude à ce pré-Parnasse plus important que le Parnasse lui-même, à Gautier, à Banville, à Leconte de Lisle, à Baudelaire encore, fer vent admirateur de Gautier, sans p...
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Le Parnasse (1862-1886) (Exposé – Art & Littérature – Collège/Lycée)
le sonnet !:emploi de ces formes révèle le goût du Parnasse pour la virtuosité et la précision. LE DEUIIÈME PIIIINASSE CONTEMI'OUIN • Le deuxième Parnasse contemporain organisé par Lemerre sur les conseils de Leconte de Lisle paraît en livraisons d'octobre 1869 à juillet 18n , avec une interruption pendant la guerre . Les collaborateurs qui se voient offrir une livraison entière sont Leconte de Lisle, Heredia et Banville . • La deuxième série réunit...
- ODES FUNAMBULESQUES de Théodore de Banville - résumé, analyse
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Théodore de BANVILLE, Odes funambulesques, « Le saut du tremplin ».
31. C'était avec son cher tremplin. 32. Il lui disait : " Théâtre, plein 33. D'inspiration fantastique, 34. Tremplin qui tressailles d'émoi 35. Quand je prends un élan, fais-moi 36. Bondir plus haut, planche élastique ! 37. " Frêle machine aux reins puissants, 38. Fais-moi bondir, moi qui me sens 39. Plus agile que les panthères, 40. Si haut que je ne puisse voir, 41. Avec leur cruel habit noir 42. Ces épiciers et ces notaires ! 43. " Par quelque prodige pompeux 44. Fais-moi monter,...
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Commentaire composé la femme aux roses Théodore de Banville
La Femme aux roses Nue, et ses beaux cheveux laissant en vagues blondes Courir à ses talons des nappes vagabondes, Elle dormait, sereine. Aux plis du matelas Un sommeil embaumé fermait ses grands yeux las, Et ses bras vigoureux, pliés comme des ailes, Reposaient mollement sur des flots de dentelles. Or, la capricieuse avait, d’un doigt coquet, Sur elle et sur le lit parsemé son bouquet, Et, – fond éblouissant pour ces splendeurs écloses ! – Son corps souple et superbe était jonché de r...
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- BANVILLE, Théodore de (1823-1891) Ses vers éblouissent par la virtuosité acrobatique, mais toute pensée en est absente : les Cariatides (1842), les Stalactites (1846), Odes funambulesques (1857), Idylles parisiennes (1871), etc.
- PETIT TRAITÉ DE POÉSIE FRANÇAISE Théodore Foullain de Banville (résumé)
- Banville (Théodore de ), 1823-1891, né à Moulins (Allier), écrivain français.
- Commentez ce jugement de Théodore de Banville sur Baudelaire : « Il a accepté tout l'homme moderne, avec ses défaillances, avec sa grâce maladive, avec ses aspirations impuissantes. »
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Commentez ce jugement de Théodore de Banville sur Baudelaire : « Il a accepté tout l'homme moderne, avec ses défaillances, avec sa grâce maladive, avec ses aspirations impuissantes. »
La volupté Loin de célébrer l'équilibre et la clarté, cette poésie puise donc son charme dans les subtilités d'une sensibilité féline. De cette rêverie langoureuse au culte de la volupté, il n'y a qu'un pas, et l'on sait avec quellesplendeur d'images Baudelaire évoqua la « déité noire » « Statue aux yeux de jais, grand ange au front d'airain. » De cette sensualité pleine de remords, qui tourmente ses semblables, Baudelaire tire l'univers magique du Parfumexotique, de la Chevelure. Quelque mals...
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RIMBAUD Jean Nicolas Arthur : sa vie et son oeuvre
Tout le reste n'est que fragments épars. Des poèmes qu'il parvint très rarement à faire publier, et qui sont loin d'être les meilleurs : . Le premier regroupe des pièces plus ou moins anciennes, parfois riches en réminiscences livresques ( « Soleil et chair>> , « le Bal des pendus>>), parfois un peu appliquées ( > ), mais aussi émues ( > ) et fraîches ( « Sensation >> ). Le second est constitué de pièces entièrement nouvelles, que le «Petit Poucet r...
- BANVILLE, Théodore de
- Théodore de Banville
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Commentez ce jugement de Théodore de Banville sur Baudelaire : « Il a accepté tout l'homme moderne, avec ses défaillances, avec sa grâce maladive, avec ses aspirations impuissantes. »
BAUDELAIRE souvent la manifestation de l'impureté, du péché. C'est ainsi qu'il en évoque le «remords posthume» : « Et le ver rongera ta peau comme un remords ». Le mal Baudelaire ne se limite pas à cet aspect du mal. Il approfondit sa peinture des «défaillances» humaines en y joignant des vices que nul jusque-là n'avait évoqués dans des ouvrages de bon aloi : cette franchise l'entraîne devant les tribunaux où furent condamnées des piè...
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Le « Petit traité de poésie française », l'art poétique du Parnasse.
contrarier l'effet du mot final, de bien s'harmoniser avec lui, en formant des résonances variées entre elles, mais dela même couleur générale (conciliation de l'unité et de la variété, p. 9 et 10). La rime trouvée, il n'y a plus qu'untravail de goût et de coordination, un travail d'art qui s'apprend par l'étude des maîtres et par la fréquentationassidue de leurs œuvres. Bien plus, le vrai poète trouve instinctivement non seulement la rime jumelle, mais toutesles rimes d'une strophe ou d'un m...
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Théophile GAUTIER - L'Artiste
Dans son nimbe trilobeLa Vierge et son Jésus,Le globeAvec la croix dessus. Tout passe. -L'art robusteSeul a l'éternité ;Le busteSurvit à la cité. Et la médaille austèreQue trouve un laboureurSous terreRévèle un empereur. Les dieux eux-mêmes meurent,Mais les vers souverainsDemeurentPlus forts que les airains. Sculpte, lime, cisèle ;Que ton rêve flottantSe scelleDans le bloc résistant ! Théophile GAUTIER (publié dans L'Artiste en 1857) Vue d'ensemble Dans cette odelette Gautier expose son idéal...
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Le Parnasse
le sonnet. l'emploi de ces formes révèle aussi considérable. le café du théâtre le goOt du Parnasse pour la virtuosité et de Bobino, la brasserie des Martyrs, la précision. fréquentée notamment par la bohème LE DEUXIÈME PAl/NASSE CONTlMI'OIIA/N • le deuxième Parnasse contemporain organisé par lemerre sur les conseils de leconte de lisle parait en livraisons d'octobre 1869 à juillet 18n, avec une interruption pendant la guerre . les collaborateurs qui...
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Lecture Analytique De Ma Boheme
Ma Bohème 1 59 SITUATION DU TEXTE Ce poème clôt l'ensemble écrit ou recopié à Douai en octobre 1870 et fait partie, comme «Le Dormeur du val», du recueil adressé à Paul Demcny dans l'espoir d'être imprimé à Paris. Il figure, pour la première fois, dans La Revue indépendante Uanvier-février 1889) avec trois autres poèmes encore inédits : «Le Mal», «A la musique», «Sen sation», en illustration d'une étude de Rodolphe Darzens qui avait s...
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Dictionnaire en ligne:
ENAMOURÉ, -ÉE, (ENAMOURÉ, ÉNAMOURÉ) participe passé et adjectif.
— Emploi comme substantif. Se pourchasser en des jeux souples d'énamourés, se caresser de l'aile, se frôler du col et du bec (JOSEPH DE PESQUIDOUX, Chez nous, 1923, page 188 ). B.— Par extension. [En parlant d'une personne, d'une qualité humaine] Qui éprouve, manifeste un goût très vif, une grande estime (pour telle valeur). Mirbeau, (...) le glossateur exalté du génie de Rodin, le pourfendeur des gloires de l'Institut, consacre en 1905, (...) quarante pages d'admiration énamourée à Maillol (LÉO...