22 résultats pour "amoralité"
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Définition:
AMORAL, -ALE, -AUX, adjectif.
hommes. Un syst?me d'?changes bas? sur ce principe-l? est vicieux, pensait Decraemer, ? et amoral. MAXENCE VAN DER MEERSCH, Invasion 14, 1935, page 468. B.? [En parlant d'une personne] Qui est naturellement indiff?rent aux id?es de bien et de mal?: ? 6. La r?alisation de la justice an?antirait l'id?e m?me de justice. On n'arrive ? concevoir le monde plus heureux qu'en dehors de toute notion de m?rite?: et qui aurait le courage de cette suppression? S'il n'est immoral, il faut qu'il soit a...
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Définition:
AMORAL, -ALE, -AUX, adjectif.
hommes. Un syst?me d'?changes bas? sur ce principe-l? est vicieux, pensait Decraemer, ? et amoral. MAXENCE VAN DER MEERSCH, Invasion 14, 1935, page 468. B.? [En parlant d'une personne] Qui est naturellement indiff?rent aux id?es de bien et de mal?: ? 6. La r?alisation de la justice an?antirait l'id?e m?me de justice. On n'arrive ? concevoir le monde plus heureux qu'en dehors de toute notion de m?rite?: et qui aurait le courage de cette suppression? S'il n'est immoral, il faut qu'il soit a...
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Définition:
AMORALISME, substantif masculin.
ROMAIN ROLLAND, Jean-Christophe, La Foire sur la place, 1908, page 708. ? Chez un individu (confer amoral B)?: ? 4. Decraemer se laissa emporter, fit comme les autres, se paya de cette id?e, de ce mensonge, qu'une fois l'usine en marche et sa situation r?tablie, il verrait ? mettre en accord ses principes et sa conduite. Pour l'heure, s'il ne voulait pas dispara?tre au milieu de cette ?pre bataille, l'amoralisme et la brutalit? ?taient une quasi-n?cessit?. MAXENCE VAN DER MEERSCH, Invasion...
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Définition:
AMORALITÉ, substantif féminin.
MARCEL JOUHANDEAU, Monsieur Godeau intime, 1926, page 124. ? 4. Un chr?tien d?clar? ne saurait aider ? r?pandre ce qui lui fait horreur; car pour lui, il ne s'agissait plus ici d'immoralit? au sens courant du mot, ni d'amoralit?; dans la lumi?re de la Foi, c'est le Mal absolu qui se d?masquait tout ? coup; je serais presque enclin ? ?crire, le Mal qui est Esprit, le Mal qui est quelqu'un. FRAN?OIS MAURIAC, Le Nouveau Bloc-notes, 1961, page 403. STATISTIQUES?: Fr?quence absolue litt?raire?:...
- Définition: AMORALISTE, adjectif et substantif.
- ENCYCLOPEDIE: amoralité / immoralité
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Le bonheur peut il être amoral ?
L'homme est un être sensible et chercher le bonheur l'incite autant à la vertu qu'au vice. Le bonheur est affairede sentiment et de calcul, non de raison et de rigueur morale. Il dépend de conditions qui échappent à notrevolonté.De ce fait, Kant dissocie morale et vertu car le devoir moral ne doit pas avoir d'autres fins que lui-même, ainsi,le bonheur ne peut pas être proposé comme la fin de l'action morale.Pour lui, l'idée du bonheur est « un idéal, non de la Raison, mais de l'imagination...
- Définition: AMORAL.
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- Définition: AMORAL.
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Dans son livre sur Racine, Thierry Maulnier écrit : « Dans des tragédies impitoyables et sauvages, les femmes de Racine sont ce qu'il y a de plus sauvage et de plus impitoyable... » Selon lui, elles l'emportent sur les hommes non seulement « en ardeur, en sensualité, en amoralité, en courage meurtrier et en lucidité, mais encore en poésie. Presque tout ce qui est poétique chez Racine, dans le langage de la passion, est dans la bouche des femmes. » Étudiez le personnage d'Hermione en ap
Mais cette dissimulation n'est pas du vice, comme chez Tartuffe : c'est une forme naturelle de la passion. Hermione ne cesse d'être naïve; elle se représente Pyrrhus comme le héros d'épopée et de roman : Intrépide, et partout suivi de la victoire, Charmant, fidèle enfin, rien ne manque à sa gloire (v. 833-834). Cette tragique illusion provoquera la réaction meurtrière de l'acte IV. II. - LA SAUVAGERIE IMPITOYABLE a) Avec Oreste. — Dans l'acte IV, Hermione domine et ruine à la fois les deux h...
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l'indifférence est-elle immorale ?
déjà parce que je nie, en ne la reconnaissant pas comme telle, la souffrance éprouvée parautrui, mais aussi parce que je suis moi-même aliéné puisque aucun sentiment ne m'anime. · En effet, on pourrait dans cette perspective l'analyse que fait Rousseau à propre de la pitié : « Je ne crois pas avoir aucune contradiction àcraindre, en accordant à l'homme la seule vertunaturelle, qu'ait été forcé de reconnaître leDétracteur le plus outré des vertus humaines. Jeparle de la pitié...
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La morale nous contraint-elle ?
nous les a données ; il n'y a de vicieux que la civilisation ou industrie morcelée qui dirige toutes les passions àcontresens de leur marche naturelle» (Théorie de l'unité universelle, I, 153 - 1841-1843). [La nature en soi n'est pas morale. C'est pourquoi l'hommedoit opposer sa conscience morale à ses passions et àses instincts. La société ne peut pas être fondée sur la libre satisfaction des passions, mais sur leur régulation.] La nature est amoraleLa morale est en effet contraire à la natur...
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L'indifférence est-elle immorale ?
· Ne rien ressentir devant la misère d'autrui, misère que j'ai pourtant devant les yeux correspond, de fait, à un sentiment tout à fait immoral, et ce à travers deux dimensions :déjà parce que je nie, en ne la reconnaissant pas comme telle, la souffrance éprouvée parautrui, mais aussi parce que je suis moi-même aliéné puisque aucun sentiment ne m'anime. · En effet, on pourrait dans cette perspective l'analyse que fait Rousseau à propre de la pitié : « Je ne crois pas avoir au...
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L'indifférence est-elle un principe pour la morale ?
déjà parce que je nie, en ne la reconnaissant pas comme telle, la souffrance éprouvée parautrui, mais aussi parce que je suis moi-même aliéné puisque aucun sentiment ne m'anime. · En effet, on pourrait dans cette perspective l'analyse que fait Rousseau à propre de la pitié : « Je ne crois pas avoir aucune contradiction àcraindre, en accordant à l'homme la seule vertunaturelle, qu'ait été forcé de reconnaître leDétracteur le plus outré des vertus humaines. Jeparle de la pitié...
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Le marquis de Sade: « On appelle roman l'ouvrage fabuleux composé d'après les plus singulières aventures de la vie des hommes »
français, ayant influencé bon nombre d'artistes et d'autres écrivains. Ainsi il s'interroge sur les différents genres de la littérature, notamment sur les romans, dont il donne la définition suivante: « On appelle roman l'ouvrage fabuleux composé d'après les plus singulières aventures de la vie des hommes ». En analysant cette définition très spécifique on peut donc se demander en quoi celle-ci est relevante pour les romans qui sont apparus jusqu'à la fin du XIXe siècle, comme pour ceux qui son...
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La morale relève-t-elle de la compétence de l'Etat ?
La morale est un ensemble de règle de conduite reconnue comme inaltérables et inconditionnées, mais c'est aussiune théorie du Bien et du Mal, est-ce que ces éléments relèvent de la compétence de cette organisation politiquequi a pour fonction d'assurer la sécurité des citoyens ? Le problème, c'est que nous verrons certainement que lescompétences de l'Etat sont plurielles, et qu'elles ne se réduisent peut-être pas à la morale. Dans un premier temps nous nous demanderons s'il y a une morale de l'E...
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Amoralisme : la valeur de la morale ?
La morale oblige tous les hommes t~[.Ht Les règles morales reposent sur le sentiment, sur la raison ou sur la nécessité de garantir l'ordre social. Elles s'imposent universellement à tous les hommes. L'homme sait chacun peut interro - lat:ion universelle qui vaut intuitivement où ger à tout moment, est pour tou s les hommes. est le bien proprement ce qu'on s elon Rouss ea u, appelle la «conscience Il n'y a pas de l'h omme ne...
- Le désir est-il amoral ?
- Définition: AMORALISME.
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Nécessité de l'Etat et Moralité humaine ?
CORRIGÉ [Introduction] Parce que nous en connaissons quotidiennement la présence, nous oublions volontiers que la construction de l'É tat est historiquement tar dive. Mais, une fois établi, l'État a trouvé de nombreux théoriciens, pour le justifier et montrer à quel point il est nécessaire à la vie harmonieuse des hommes. Parmi ses justif ications possibles, on peut se demander si sa nécessité est due à l'a bsence de morale des hommes. L'État, en ef...
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La Vérité Doit-Elle Être Une Règle Politique?
limitation constitutionnelle du pouvoir soit un rempart suffisant contre le mensonge politique. Si le domaine politique est empruntde mensonges, il faudrait que certains domaines dans la société en soient préservés, afin qu'il y ait un réel contrepoids. Ledomaine de l'enseignement ou de la presse par exemple devraient être des endroits où la vérité et l'impartialité soient de véritablesrègles. Cette impartialité de la presse et des médias, que Hannah Arendt considère comme indispensable, pose de...
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Chapitre 18 de « Rien n'est plus vrai qu'il est glorieux à un prince…dans le mal s'il le doit ». MACHIAVEL
2° L'acte fondateur = Il faut substituer la nécessité à la nature.Nous avons constaté que tout ordre politique voit coexister en lui le bien et le mal. Les hommes ne font le bien ques'ils y sont contraints car rien dans leur nature ne les oriente vers la vertu. Il faut « combattre les hommes ». C'estla nécessité. Cet extrait a pour objet la recherche de la nature des princes. Un certain type de prince est posécomme l'élément fondateur = celui qui invente un ordre politique nouveau. Il représente...